vendredi 15 juin 2012

Femme pas comprendre quoi être un centimètre



" J’ai adoré les pages des agendas au début de chaque mois où on nous dit qu’à ce moment là de la grossesse, le bébé est de la taille d’un grain de riz, d’une canette de soda… Je trouve ça tellement plus parlant que des centimètre.
 Tout cela pour vous dire que si vous chercher un livre qui vous parle grossesse sans vous prendre pour des jambon, c’est celui-ci qu’il vous faut.
Un livre plein d’émotions, de bons conseils, drôle, parfois cash mais qui ne nous prend pas pour des connes."

L'auteur de cette critique littéraire tient un blog qui s'appelle  Les vendredis intellos  et  le livre en question est écrit par  Mère Bordel  qui est certainement une personne très intéressante et bourrée de qualités, là n'est pas la question et je n'ai pas lu le livre, je  m'interroge juste sur   les commentaires qu'il provoque.
J'ai déjà laissé un commentaire méchant chez Olympe, je ne vais pas en rajouter, mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi l'on traque méticuleusement tout ce qui  est ou serait sexiste  dans la pub pour adultes, dans les vêtements, les jouets, tous les objets  pour hommes ou pour femmes de la maternité à la maison de retraite, alors que les "blogs de filles" et les "blogs de mère"  sont pétris de ce sexisme à la noix, assez anachronique en plus. Pensez au nombre de femmes médecins. Considèrent-elles les femmes enceintes comme une majorité de débiles incapable de visualiser une taille de deux ou dix centimètres pour un embryon, pour un foetus ?

39 commentaires:

  1. Je ne crois pas que cette tendance soit particulièrement sexiste : à la télévision, de plus en plus, les journalistes parlent de grandes superficies en “équivalents terrains de football”…

    (La propriété de l'émir Ben Trucmuche fait X hectares, soit l'équivalent de 22 terrains de foot !)

    RépondreSupprimer
  2. Didier, oui mais là c'est une forme de racisme antifooteux, ou de pédagogie pour illettrés de la ville et de ses banlieues qui ne peuvent pas visualiser ce qu'est un are ou un hectare. Le terrain de foot parle mieux à ceux qui ont oublié, aussitôt appris, les petits tableaux de conversion des mesures de longueur, de capacité, etc. On ne dira pas que dans la maison de campagne de l'émir Ben Trucmuche, on pourrait faire entrer le Parthenon ou la cathédrale de Chartes.

    RépondreSupprimer
  3. Suzanne je reviens de que j'ai un moment. :)

    RépondreSupprimer
  4. Suzanne, une blague (sexiste) prétend que si les femmes ne savent pas faire un créneau, c'est que leurs maris les égarent sur la réalité des "20 cm" annoncés.

    Mais l'arnaque ne trompe que les plus naïves. Cela aurait-il échappé à votre sagacité ?

    Amicalement.
    Al.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. hum hum... (il n'y a que les hommes qui mesurent au centimètre près, là...)

      Supprimer
    2. PARDON ?

      Et quelle est votre unité, en l'occurrence ? Le MÈTRE ?

      :D

      Supprimer
  5. Je vais répondre hors sujet. Avec cette histoire de compagne de Hollande qui dit des bêtises dans Twitter, je suis tombé sur des blogs "féministes" (donc défenseurs historiques de Ségolène Royal) critiquant "@Valtrier" : "la première dame de France" ou "La campagne de François Hollande" ne devrait pas patati patata.

    Je répondais très poliment, du genre : heu... Valérie T a dit une connerie mais est-ce que, en tant que féministes, vous ne devriez pas la considérer autrement que comme la compagne François Hollande.

    Les réponses qui m'étaient faites étaient généralement à plier de rire car ils m'expliquaient pourquoi je ne comprenais rien au féminisme ; pas une blogueuse pour reconnaitre qu'elle avait écrit un peu trop vite et tout ça.

    Les féministes sont des gens bizarres.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cette histoire de tweet occasionne effectivement des choses bizarres. Nicolas qui nous donne des leçon de féminisme maintenant ! en ce qui me concerne je n'ai pas écrit mon billet sur le sujet trop vite. Et ce n'est pas parceque VT est une femme que ça l'excuse de faire n'importe quoi.

      Supprimer
    2. Je ne donne aucune leçon. Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu dis ! Je ne vois pas VT comme une femme mais comme un être humain. C'est toi qui semble en train de déclarer que, comme c'est une femme, elle doit être exemplaire.

      Moi, je m'en fous...

      Supprimer
  6. Bizarres, non, mais à géométrie variable, certes.
    Ainsi, je reconnais la méticulosité soucieuse d'Olympe, qui parle souvent des jouets sexés, des fanfreluches, du rose réservés aux filles. J'apprécie qu'elle ne pousse pas le bouchon trop loin non plus. Et là, ces machins ROSES...du ROSE partout. Les p'tits coeurs, les p'tites fleurs, au secours, des Barbie partout... et, comme vous dites, les réactions "mais non, han, t'as rien compris, le féminisme c'est pas ça du tout" qui aboutissent invariablement à "tu me dis ça parce que je suis une femme, un homme, tu ne le critiquerais pas comme ça", c'est gavant. Pensez donc un peu à Simone de Beauvoir, et le rose se tire vite fait. Ce n'est pas incompatible ? Si. SI. Je ne lis jamais la presse féminine (que d'la merde !)

    Pour la compagne du président, eh bien... C'est objectivement la compagne du président. Hollande aurait été le mari de Royal, et le mari d'Elizabeth d'Angleterre, c'est pareil. On ne peut pas considérer que ce sont deux personnes indépendantes qui peuvent étaler des opinions politiques divergentes, pendant que l'un d'eux est en activité, ce n'est pas n'importe quelle activité non plus. Mais ce n'est pas la fin du monde, il y a eu bien pire dans l'histoire des grands de notre pays. (et d'ailleurs).

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Rrr'OS A moELLE21 juin 2012 à 10:46

      Mais bon sang! Qu'est-ce que vous avez contre le rose?
      C'est la couleur du libre arbitre, voyez-vous, le monde a changé et les citoyens doivent en être informés...

      Supprimer
    2. Os à Moëlle: je n'ai RIEN contre le rose. Rien. (Vive Pierre Dac !)

      Supprimer
    3. RrrOS A moELLE21 juin 2012 à 12:25

      Le pseudo était RrrOS A moELLE (tentative d'humour désespérée faisant référence à un autre cas désespéré, dont le blog a pour symbole une fleur...), mais je suis définitivement une quiche avec mon clavier d'ordi.

      Supprimer
    4. Ah, oui, pardon, j'avais mal lu" Rrr'OS", aussi... et je n'ai pas reconnu la citation. C'est moi la quiche. Merci de m'informer que le monde a changé. Tout devient rose. Le rrrose, sélavy.

      Supprimer
  7. Ton article me désole. Tu as laissé un commentaire méchant sur le blog d'Olympe. J'imagine que tu ne prendras pas ombrage de mon commentaire méchant dans ce cas.

    Le sexisme dont tu parles, celui qui est sensé abreuver les blogs de filles neuneu, ça s'appelle la féminité. Et tu en parles comme si c'était une tare. Je suis ingénieur, j'ai de la moustache et je suis capable de te calculer le rendement d'un moteur à explosion, mais quand j'ai vu l'échographie avec l'échelle j'ai pensé "OMG, il a la taille d'une de mes phalanges". Je suis donc, définitivement, une fille qui n'a aucune cervelle. Zut.

    Tu apprendras que l'image, l'illustration a toujours constitué un outil puissant dans l'art oratoire.

    Et tu me fais suer quand tu nous sorts tes arguments sexistes à la "le rose c'est un truc de greluche". Soyons des mecs, comme ça, ça aidera la cause féminine à avancer tiens donc !

    Ton féminisme est sexiste. Parce qu'il continue de dire qu'être une femme, c'est stupide.

    Bien à toi.

    La méchante hystérique (Allez on se console en se disant que si on est si méchant sur internet, c'est à cause de la lâcheté qu'engendre l'anonymat, on aurait pu être copines dans la vraie vie, ou tes amis c'est tous des hommes parce qu'ils sont moins bêtes ?)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Suzanne,

      Vous me l'encadrerez. Merci.

      Supprimer
    2. Avec un ruban rose, of course.

      Supprimer
    3. Elle: bof. Tu n'as pas tort pour la phalange, l'image. Si tu veux. Pour le reste... Tu es vraiment une mormone moustachue avec une culotte rose ?

      Supprimer
    4. Dedans la surenchère de violence, je répondrais : Oui.

      Et Bof Bof d'ailleurs (ça c'est ma contribution au débat)

      Supprimer
  8. Elle: reviens quand tu veux. Tu es ma première commentatrice mormone, n'hésite pas à t'asseoir un moment et à m'engueuler encore.

    RépondreSupprimer
  9. déjà Suzanne je ne prétends ne faire que des billets féministes (d'ailleurs vous vous souvenez peut être que j'ai enlevé ça du titre de mon blog). En l'occurrence j'ai rencontré Mère Bordel IRL, je l'ai trouvé tout le contraire de nunuche . à l'époque où j'étais enceinte il n'y avait que le Laurence Pernoud et je suis sure que j'aurais bien aimé ce genre de livre qui sert à partager et à se rassurer. Aucun objectif féministe là dedans mais c'est assumé.

    Sinon je ne dois pas avoir écrit beaucoup de billets critiquant le rose car j'aime le rose. Si vous pouviez voir mon sac à main vous verriez que la coque de mon iphone, mon portefeuille, mon porte carte, mon vaporisateur sont roses.

    Enfin, j'ai un peu de mal à suivre votre raisonnement sur ce point précis du grain de riz et des centimètres. La métaphore, l'image sont abondamment utilisés par tous les pédagogues du monde depuis la nuit des temps. Les images ont l'avantage de véhiculer davantage d'émotions que les chiffres. je ne pense pas qu'on les réservent davantage aux femmes et je ne vois pas en quoi les chiffres seraient plus respectueux qu'une comparaison

    RépondreSupprimer
  10. c'est déjà bien si j'ai réussi à vous faire rebloguer :-))

    RépondreSupprimer
  11. Olympe: à l'époque où vous étiez enceinte, il n'y avait que Laurence Pernoud... eh bien, Laurence Pernoud me parait bien moins stupide que 99% des blogs de manmans. Peut-être parce qu'il n'y a pas tout ce fatras de pitites fleurs et d'infantilisme et que ça se borne à des conseils pratiques pour ne pas ébouillanter l'enfant et pour bien le langer avec les matériaux de l'époque. Je suis tombée sur un stock de" Femmes d'Aujourd'hui" et "Modes et travaux" des années cinquante soixante, même ça c'est plus intelligent et moins ringard que la presse féminine et pipole de maintenant. Évidemment, l'idéologie qu'ils trimballent n'est pas tout à fait la même, mais l'image la plus dégradée, réifiée, ou infantilisée des femmes n'est peut-être pas où on croit.
    Maintenant, sur l'image et la métaphore qui véhiculent plus d'émotion que les chiffres, je veux bien. Je suis même pleinement d'accord. je ne l'expliquerais pas d'une autre façon à un enfant: "tu vois, ton petit frêre dans le ventre de maman, il est grand comme ta girafe en plastique, là. Surtout si l'enfant est une fille qui deviendra mère à son tour. Pour expliquer à un garçon, je lui ferai prendre son double décimètre et je lui montrerai de vraies images, mais bon, les garçons ce n'est pas pareil. Pour le rose aussi, je m'en fiche. Le rose est la couleur de la fille, du bébé, de la layette, et si tant de filles aiment les petits coeurs, les fleurettes, c'est peut-être inné après tout. Dans leur nature, d'aimer les couleurs douces et tendres, quoi... et l'on serait bien bête d'aller contre leur féminité. (smiley, hein).

    Je ne dis pas non plus que j'ai raison, hein... et je regrette toujours d'avoir osé commenter un blogdefille (je ne parle pas du votre, mais de celui dont j'ai extrait le commentaire en rose) ou la réality-presseducoeur, ça attire même les mormones. (elles ne sont pas toutes habillées de gris marron avec des lunettes moches et vivant en polygamie avec un gosse à chaque sein, elles ?)
    Par ailleurs ma fille a eu autant de Barbies en robe de mariée ou en bikini rose que son argent de poche a pu le lui permettre!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La mormone venait du blog d'Olympe.

      Et les mormones dont vous parlez, c'est des mormones fondamentalistes, membre d'une secte issue de la branche principale de l’Église de Jésus Christ des saints des derniers jours. Celle-là sont effectivement polygame et portent pour certaines d'entre elles des vêtements un peu vieillots. Mais réduire une religion qui compte 14 millions de membres à un groupuscule de 10 000 membres c'est un peu réducteur.

      Y a des mormones championnes olympiques (Torah Bright et Valerie Adams) ou encore auteurs de best seller (Stéphanie Meyer, dommage). J'en connais une qui a été maire et une autre qui a été conseillère municipale dans une commune de taille moyenne (env 40.000 hab), mais ce n'est pas le sujet, n'est-ce pas ?

      Supprimer
  12. « On ne naît pas greluche, on le devient. »

    Momone de Bavoir

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. 'bsolument.

      Tiens, je vais relire "Les mémoires d'une jeune fille rangée", pour la peine. Et moquez-vous donc, malgré tout ce que j'en sais, je reste fan de Momone.

      Supprimer
  13. Elle: popopop... sauf pour me moquer, je ne parlerai pas de vous en disant "la mormone". Chuis pas comme ça. Ni mormonophobe, ou pas encore, mais ça pourrait venir.
    Et puis, être champion olympique ou conseiller municipal ou écrivain ...C'est-y un gage de modernisme, de moralité, de normalité, de quoi parlait-on au juste ? Des scientologues célèbres, il y en a aussi. Des imams qui pensent que les tremblements de terre sont provoqués par l'impudeur féminine aussi. Je connais même un druide qui est professeur dans un Lycée d'Enseignement Professionnel, non loin de chez moi.

    Hélas.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tiens, les druides, j'ai découvert ça la semaine dernière.
      Si la célébrité te dérange, il y a des mormones profs, des mormones femme de ménage, des mormones médecins, des mormones femme au foyer. C'était la liberté de faire ce qu'on voulait que je mettais en avant, pas la célébrité. Pour des choses aussi difficiles que percer dans le milieu littéraire, politique ou sportif de haut niveau, je trouvais que c'était de bons exemples. Et ça collait définitivement pas à l'amalgame que tu faisais (mormone = amish polygame)

      Supprimer
    2. Elle: je crois que j'ai compris ce que tu veux dire. Enfin, un peu compris dans la mesure où la spiritualité, les religions, les Eglises et moi... (ô, religion maternelle qui, au moment de rendre sa barque, de fermer une dernière fois les yeux, offrirait à ses enfants redevenus tout petits, au seuil de la mort, le sein du dernier jour...)

      Supprimer
  14. "Des imams qui pensent que les tremblements de terre sont provoqués par l'impudeur féminine aussi."

    Je prends, j'arrivais pas à les expliquer avant...

    RépondreSupprimer
  15. Il semblerait que pour le test de grossesse,s'il est positif, la bande devienne BLEUE !
    En admettant que dans le cas contraire le signe devienne rose, cela rangerait cette couleur dans le rayon des trucs NEGATIFS ...

    oh, non ! c'est pas possible !!! ... tout ce dégoulinement de rose serait donc nul et non avenu !

    Suzanne, vous avez donc raison.

    RépondreSupprimer
  16. Suzanne, vous me laissez sans voix... non seulement vous critiquez un blog sans avoir seulement pris la peine d'en connaître le fonctionnement (je parle des Vendredis Intellos, qui n'est pas un "blog de maman" mais un blog participatif regroupant effectivement un certain nombre de mamans (mais pas que bien heureusement!) sur les thématiques de parentalité et d'éducation qui, me semble-il, sont des sujets qui appartiennent à toutes et tous); vous commentez chez Olympe sur un ton des plus déplaisant sans même prêter attention aux réponses qui vous sont adressées (dans lesquels je vous indiquais déjà en réponse à votre commentaire l'objet du blog susmentionné dont je suis par ailleurs l'instigatrice) ; vous jugez un ouvrage sur la couleur de sa couverture et les trois lignes qui en ont été extraites; et forte de toutes ces approximations et sans avoir seulement daigné répondre à vos contradicteurs, vous en remettez une couche par ici!!!
    Vraiment, vraiment, je suis sans voix!!! Allons bon, ceci n'est pas digne de l'esprit aiguisé que vous revendiquez!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. On peut également vous juger sur le fait que vous parliez des “mamans” et non des mères, ce qui signale une assez déprimante infantilisation du langage.

      Supprimer
  17. Famille déjantée: oui, et ?
    Je commente chez Olympe depuis longtemps, je pense qu'elle ne se formalise pas de mon ton. Si c'était le cas, elle me le dirait elle même.
    On peut fort bien juger un ouvrage sur une couverture et quelques extraits, sur le ton nunuche de deux paragraphes, on peut juger ce qu'on veut et écrire ce qu'on veut. J'en ai marre des "ouin, vous pouvez pas me juger, vous connaissez pas, vous ne m'avez pas ASSEZ lue". Mais si ! Vous avez lu TOUT mon blog, sans doute, pour me répondre ainsi ? Bien sûr que non. Et le coup de l'esprit aiguisé" que je revendique... pffft...jamais de la vie !" ça "vous laisse sans voix ? Mon Dieu mon Dieu, faut pas !... Faut vous traiter comme une toute petite fafame mimi et fragile qu'est pas capable à répondre à une critique avec des arguments minimum ?Au secours on m'agresse ? Je m'en fous de ces nunucheries infantiles et gentillettes et des ces réactions types "mais tu me blesses dans mon hypersensibilités féminine. ". Vive les féministes à l'ancienne, celles qui mettent la presse féminine à la poubelle ou n'y jettent pas un regard. Un peu de dignité, que diable !
    (aurais-je loupé des commentaires chez Olympe ? J'y cours.)

    Didier: mais TOUT LE MONDE le dit, on va vous parler du papa de Nietzsche et de la maman de François Hollande. On ne comprendra même pas ce que vous objectez. Il y a dans le roman de Carrère "D'autres vies que la mienne" un passage très beau sur l'emploi des mots maman/mère. En évoquant des fillettes dont la mère vient de mourir, il écrit que c'est leur maman qui est morte, et que lui qui n'aime pas qu'on emploie "maman" tout le temps, ne peut écrire là autre chose, enfin, il l'écrit très bien mais je ne peux le citer de mémoire.

    Solveig: merci pour votre passage attentif et léger, comme toujours.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah, mais c'est que j'aime beaucoup être incompris, moi ! Ça me donne de l'importance à mes propres yeux…

      Supprimer
  18. Je n'arrive pas à mettre de commentaires chez Olympe (les aurait-elle fermés ?). Je n'avais pas lu les autres, je ne sais pas comment on s'abonne aux commentaires sur son blog (qui me bouffe la moitié des miens, par ailleurs).

    Donc je réponds en vrac: j'ai lu les commentaires, qui ne me surprennent pas, sauf une phrase qui me choque "j'ai volontairement choisi de ne pas corriger les fautes d'orthographe des contributeurs (même si je les rappelle à l'ordre régulièrement)... le but de ce blog est de permettre à tous, hommes, femmes, parents et non parents de prendre position sur les questions d'éducation (qui sont affaire de tous!) via les livres."
    Comment peut-on volontairement choisir de ne pas corriger des fautes d'orthographe ? ça me dépasse qu'on choisisse le deuxième choix, la sous-langue, alors qu'un petit effort est à la portée de tout le monde.

    Il y a des critiques d'une personne qui a lu le livre. Tiens donc, elle rejoint ce que j'en dis sans l'avoir lu, juste en pressentant l'ouvrage d'après la couverture. L'argument "on nous impose une couverture mercantile et attrape-mouches, mais l'intérieur est vachement bien...euh... EUH.

    "Suzanne, je ne vais pas prendre le temps de lire ton long commentaire, car je ne l'ai pas, je me suis contentée de la diagonale, intro, conclusion." écrit mère Bordel. Moyennant quoi, elle pond un commentaire de trente lignes. Logique. Tu m'critiques mon livre, j'te prends de haut. On dirait une dispute de filles, tiens, ha ha ha.
    Bon, je n'ai pas envie de me disputer avec des filles roses (ça m'atteint pas ce que tu dis, ya que mes copines qu'ont de l'importance pour moi, mon estime de moi n'est pas atteinte par tes méchancetés, nous on est dans l'humour et la légèreté, et blablabla. " Pis les disputes de filles, ça fait marrer les gynophobes, misogynes et phallocentristes qui vont se la ramener avec les femmes, toutes des mères ou des putains. Ils ne savent même pas, les pauvres, qu'à côté de la mère et de la pute, il y a une troisième catégorie de femmes : la Blogueuse Rose.

    RépondreSupprimer

Modération parfois, hélas, mais toujours provisoire, ouf.