mercredi 5 août 2009

Dans La revue de presse de Dalyna, on censure à tour de bras


Vivent la discussion, le dialogue, l'échange, la confrontation d'idées... Hein, t'as dit quoi ? confrontation d'idées ? Savapalatête ?

Alors voilà : il était une fois un blog, qui s'appelait (non, qui s'appelle) la revue de presse de Dalyna. Il est tenu par Dalyna, une jeune journaliste, ou aspirant-journaliste, je ne sais pas. Enfin, un blog dont le titre d'un article, d'un billet, est " Il est interdit d'interdire... d'interdire". Le billet est signé Johnny Frenchman. C'est un billet que je trouve plutôt pas mal, rien à redire, ni sur la forme, ni sur le fond, je suis d'accord avec ce qu'écrit le billetteur. Ben alors, c'est quoi le problème ?

Ce qui m'a fait tiquer, c'est le commentaire du même Johnny Frenchman, par association avec la discussion que j'ai en ce moment avec monsieur Bart à propos d'un sujet de la même famille.
"on ne discute pas le fait que porter le voile soit un problème : c’est un problème qu’il faut résoudre. question : comment le résoudre ?
réponse de pragmatique crétin : en l’interdisant. ce faisant, le crétin agissant engendrera d’autres problèmes qu’il n’avait pas même entrevu comme pouvant être liés à celui qui l’aveuglait… c’est comme cela que la démocratie occidentale à la française (inspirée des états-unis, de l’angleterre et de l’allemagne), produit les conditions de la dictature qui se met en place démocratiquement… l’avantage, c’est qu’en continuant comme ça, les semeurs d’interdits obtiendront une révolution qui leur vaudra leur tête, au figuré comme au propre"

J'ai écrit un commentaire (poli, toujours poli) à peu près comme ceci : "Qui est le plus grand interdicteur, celui qui veut couper un voile, ou celui qui veut couper la tête "? J'obtins une réponse de Dalyna : "le voile, toujours le voile, tu te lèves avec le voile, tu manges avec le voile, tu te couches avec le voile, c'est l'obsession des racistes comme toi, le voile" (je ne garantis pas l'exactitude de la phrase, mais l'esprit y est).

Que pensez-vous qu'il advint ? Ben Dalyna a coupé la tête à mon commentaire. Schlack. J'étais prévenue, remarquez.
Elle ira loin, cette petite. Elle tire déjà très bien, du haut de son mirador.




43 commentaires:

  1. Je confirme, parce que j'ai eu le temps de lire le commentaire et la réponse avant effacement. De la part d'une donneuse de leçon montée du cul autant que du col, ça fait sourire...

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  2. Tiens, je vais peut-être aller y troller un brin, moi, chez la fraülein kapo...

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  3. Didier : impossible de troller (quel mauvais esprit !), il y a modération des commentaires.

    La censure pure et dure, je n'arrive pas à comprendre. Effet bizarre à chaque fois, quand je fais un commentaire ironique, critique mais jamais injurieux. Bon, je reviendrais trente fois à la charge, là, je comprendrais, mais les coupeurs de commentaires se nuisent à eux mêmes. Je n'ai pas de conflit personnel avec les participants de ce blog, moi. J'aime bien discuter, polémiquer, c'est tout. Les censeurs m'énervent.

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  4. Ah cette censure, cette peur de la contradiction, cette confusion entre l'attaque parfois outrancière (ça c'est moi) et la haine, ce manque de discernement, bref cette intolérance au nom de la tolérance, je l'exècre.

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  5. Le cher et dur du bulbe "brillant chercheur" qui lui sert de mari ne s'est pas gêné pour revenir à la charge vingt fois chez moi par contre. Une curieuse conception du partage et de la réciprocité qu'ils prêchent!
    La censure pratiquée est une facette de l'hypocrisie. Parce que c'est bien le Frenchman qui a mis le voile sur le tapis, et non pas Suzanne qui n'a fait que donner son opinion. En bonne logique, c'est à son cher et dur du bulbe que Dalyda aurait dû réserver sa hargne d'indigène frustrée.

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  6. Floréal : "indigène" ? Hop hop hop, je m'en fiche, moi. Ce n'est pas le propos. Dans ce cas précis, c'est contre la censure automatique "tu ne penses pas comme moi, je refuse ton opinion et toute discussion", que j'en ai, c'est tout". Je ne veux couper la tête à personne, en tout cas. Pas même la parole, alors...

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  7. §as moi. Je ne m'en fous pas. Parce que ce sont bien les indigènes, à l'intar des "Indigènes de la République" et de toutes les islamo-gauchistes qui les soutiennent, qui promeuvent le "féminisme musulman".

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  8. Floréal : je ne vais pas faire de long paragraphe, mais nous n'avons pas le même avis sur tout.
    Et là, je parlais de censure et d'intolérance (et de coupeurs de tête).
    D'une part, déjà, l'indigène, c'est celui qui est originaire du pays dans lequel il se trouve. Les Indigènes de la République ont fait une faute de sens en se nommant comme ça... Le soi disant féminisme musulman type islamogauchiste est une entourloupe (pour ne pas dire une triste et vaste connerie), nous sommes bien d'accord, mais je ne veux pas qu'on s'en prenne sur ce modeste blog aux interlocuteurs (même si ce sont des connards de première mouture, des ahuris de la comprenette, des censeurs décapiteurs , des raéliens anencéphales ou des islamofachistes dysorthographiques)zut je ne sais plus ce que je voulais dire, donc : Je ne veux pas qu'on balance aux gens qu'ils sont des indigènes, ou qu'on leur dise qu'ils sont bien comme tous les arabes qui soutiennent, promeuvent, etc, etc, etc.

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  9. Je fais une différence entre "autochtone" et "indigène". Je ne vais cependant pas farfouiller dans l'ADN ni les chromosomes de qui que ce soit.

    Si certains autochtones ont décidé de se comporter comme des indigènes, je les considère comme tels. Je ne veux pas être césairifiée, rééduquée à la schlague ni bougnoulosophée, fut-ce par de "brillants chercheurs" et autres "sociologues" aussi neutres qu'un administrateur wikipédien ou qu'un fonctionnaire de la Halde, comme le disent très clairement sur leur site pourri les zindidiotes de la rébusplique.

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  10. Billet fort intéressant. Alors comme ça, il est interdit d'interdire?

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  11. Je viens d'y poster un commentaire : 'il est où le commentaire de miss Suzanne?'. En attente de modé.

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  12. Purée, y a des fois, on est bien content de ne plus bloguer.

    Dorham,
    tous des cons sauf Suzanne !
    (sincère)

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  13. Tiens, d'ailleurs, c'est amusant parce que précisément, je m'étonnais chez Audine que l'on puisse être contre le port de la burqa et également contre le principe de précaution ; ça me semble un "deux poids deux mesures" plutôt étrange. Au moins, Dalyna est cohérente dans son propos, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.

    Allez,
    je retourne d'où je viens, je crois que je n'ai rien dérangé, juste le petit chien en platre vert qui regarde désormais par la fenêtre. Il avait besoin de prendre un peu d'air.

    Ayé, j'ai blogué en août.

    C'était bien.

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  14. Homer : votre commentaire a été validé... mais pas le mien qui posait la même question (mais avec un soupçon d'ironie...).

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  15. @ Dohram

    "Je suis crétin voilà ma chance, mon espérance et mon soutien", n'oublies pas de le chanter tous les jours en cantique à l'heure du bénédicité...

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  16. @Didier Goux: oui mais j'ai pas de réponse... J'insiste?

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  17. Je m'étonne d'autant plus de la censure dont vous avez été victime, que l'article incriminé va dans le bon sens. Il est devenu coutumier dans ce pays de légiférer au moindre fait divers. Dommage que l'auteur de ce pamphlet se soit arrêté au milieu du gué.
    Moi qui suis un libéral pur et dur (Adam Smith et tout le bazar), je pense qu'il faudrait sérieusement alléger nos innombrables codes pour ne garder plus que les lois fondamentales (genre dix commandements, c'est bien assez).Ainsi on s'étonne que dans un pays où le contrat de travail ressemble à un contrat de mariage, les employeurs hésitent à embaucher. Même étonnement dans l'immobilier où l'on préfère s'asseoir sur un revenu d'appoint plutôt que de louer un appartement vacant à moins d'obtenir des garanties que peu de gens réunissent. Il me semble que si on se contentait de règles simples du style"Tu payes, je loue. T'arrêtes de payer, tu te casses",le parc des immeubles locatifs connaîtrait une croissance notable et les loyers chuteraient. Je suis vulgaire? Tant mieux! C'est comme ça dans la plupart des pays au monde.
    Autre exemple: vous êtes au chomage, avez plus de cinquante ans, donc socialement mort avec la perspective d'agoniser physiquement encore une quarantaine d'années. Vous avez quelques économies et vous vous dites, tiens pourquoi ne pas monter une petite entreprise? Hein? Pourquoi? Je vous le demande. Tout simplement parce que dans le système corporatiste qui est le nôtre, il est pratiquement impossible de s'y retrouver dans la jungle juridique mise en place par le code du commerce.J'estime que tout individu désirant exercer une activité ne portant préjudice ni aux personnes ni aux biens devrait pouvoir le faire s'il en a la compétence. Ben essayez un peu pour voir...
    Quant au secteur des loisirs, là c'est n'importe quoi. J'estime que si une personne est assez stupide pour vouloir se lancer d'un pont avec un élastique pourri aux pieds pour aller s'écraser cent mètres plus bas en poussant un cri effroyable, c'est SON problème! La multiplication des lois et des règlements en la matière ne fait que donner une fausse sensation de sécurité aux utilisateurs. Descendre une rivière en crue sur un bout de plastique, aller en mer, aller dans les airs, faire de l'alpinisme, c'est D-A-N-G-E-R-E-U-X, surtout si on n'y connait rien, lois ou pas lois. Un long apprentissage est la seule garantie de mettre toutes les chances de son côté, ce qui ne veut pas dire qu'on va s'en sortir vivant. Mais non, les gens veulent le grand frisson tout de suite, sans risques, bien entendu. Eh bien ce n'est pas possible!
    Même les blogs n'échappent pas à cette fringale règlementaire. Et c'est là que je rejoins votre article, histoire de préciser que je ne suis pas hors sujet.
    Donc, on choisit de passer de l'ombre à la lumière en publiant son blog. Lumière plus ou moins tamisée chez les uns, spots de 100000 volts chez les autres, mais lumière quand même.Finis les conciliabules entre époux, les apartés entre amis. Non! Dans son blog on se met à nu, devant tout le monde.( Bruit d'une chemise qu'on déchire et d'un torse qu'on dévoile) Et là, on voudrait que tout le monde s'extasie, oh comme vous êtes belle, que vous êtes beau, quelle poitrine, quels pectoraux! Aussi, quand dans ce concert de louanges se cache une moue dubitative, un rire sarcastique, on en appelle à la haute autorité afin qu'elle sanctionne l'insolente, qu'elle punisse l'importun et surtout on demande des moyens, toujours plus de moyens, des modérateurs, des détecteurs, des bloqueurs afin que plus jamais pareille énormité ne se reproduise.

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  18. à Manutara : un petit tour ici
    http://www.auto-entrepreneur.fr/
    peut permettre d'éviter des discours enflammés sans objet.

    Sinon, tout de même, chacun fait ce qu'il veut avec son blog, ses commentaires, les images et les textes, et tout ça.
    Je ne vois pas pourquoi TOUT LE MONDE serait OBLIGE de choisir la liberté d'expression totale sur son propre blog.
    Il n'y a pas de règle (tiens tiens, qui se plaint qu'il y en a déjà trop au fait ?), et c'est tant mieux.

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  19. Ah ouais Audine,
    vas-y balance le statut auto-entrepreneur, moi, je balance l'exonération ACCRE et le cumul emploi-retraite libéralisé !

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  20. Manutara,

    « réglementaire » avec un accent aigu, je vous prie.

    (euh... désolé pour cet interventionnisme langagier... mon côté stal, sans doute)

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  21. Bon, j'ai lu tous les commentaires d'aujourd'hui:

    Bravo et merci à Homer.

    Floréal : traiter Dorham de crétin, franchement... (moi j'en voudrais bien cent fois, mille fois plus, des crétins comme ça)

    Dorham : mais on n'est qu'au début du mois d'août et déjà vous êtes out ?

    Manutara : comme je le dis plus haut, ce n'est pas l'article qui m'a fait réagir, mais le commentaire qui promet la décapitation à ceux qui veulent interdire. Couper la tête à ceux qui veulent couper le voile, etc, ça fait un peu Reine d'Alice au Pays des merveilles. Je n'en fais pas toute une affaire non plus, juste un billet moqueur.
    Par ailleurs, ce que vous dites sur le risque et la prise de risques se défend, mais j'y mettrais un gros bémol : quand il s'agit d'enfants (par nature incapable d'apprécier le risque), il ne faut pas mettre en danger leur vie ou leur intégrité physique en comptant sur le hasard ou la divine providence pour éviter les accidents. (Question de bon sens le plus souvent. Que des adultes fassent du parapente au dessus de l'autoroute ou ne se nourrissent que de rillette de Tours un portable sur chaque oreille en fumant trente cigares par jour, grand bien leur fasse. Mais obliger les gens à attacher leur enfant sur le siège arrière, à ne pas peindre les murs des immeubles avec de la peinture au plomb, en quoi cela nuit-il ?

    Audine : oui, chacun peut décider de ce qu'il fait, et qui il censure sur son blog. Il n'y a pas de règlement général, mais un peu de politesse ne nuit pas. J'aime bien ceux qui font l'éloge de l'échange, de la différence, et qui ne supportent pas qu'on pense différemment, qu'on les chahute un peu. (On ne rigole pas avec les Révolutionnaires de la Juste Pensée, surtout s'ils sont sociologues)

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  22. Merci Chievrou!
    Audine, oui vous avez raison. Dans le fond, je m'en fiche un peu. Ici (aux Marquises), les gens fument comme des cheminées, boivent comment des trous, conduisent sans permis, sont racistes sans complexes, se débrouillent toujours pour ne pas mourir de faim sans se demander si leur activité est réglementée ou non.
    Cerise sur le gâteau, il n'y a pas de musulmans donc pas d'histoires de chiffons. Il faut dire que dans toute l'océanie, l'animal fétiche est le ...cochon et le cochon c'est bon, surtout cuit à l'étouffé dans un four marquisien.

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  23. Suzanne: c'est bien ce que je dis. Il faut être complètement malade pour autoriser par exemple une gamine agée d'une dizaine d'années de faire de l'hydro machin chose: ça demande une bonne et LONGUE formation et surtout une force physique qu'un enfant est loin d'avoir. Mais ça c'est la responsabilité des parents, responsabilité à laquelle ils renoncent se sentant protégés eux et leur progéniture par tout un fatras de lois inéfficaces. La nature s'en fiche des lois. Le retour à moins de lois et plus de bon sens ne nuirait pas.
    Dans son post, Dalyna évoque les différentes possibilités pour éviter qu'un enfant ne se blesse en grimpant à un arbre, tout y passe:interdire de grimper aux arbres, enlever l'échelle, couper l'arbre, supprimer, les récréations, supprimer l'école en fin de compte. Elle n'envisage toutefois pas la possibilité suivante: apprendre aux gamins à grimper aux arbres.C'est une question de bon sens, pas besoin de loi pour ça. Si?

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  24. Manutara : oui oui, nous sommes d'accord. Mais allez expliquer ça à notre bouillonnant président : si t'as bobo, appelle Sarko. Et blang, bling, trois jours après, nous aurons une commission d'étude en vue de l'élaboration d'un projet de loi qui envoiera en taule les gens qui laissent leurs pots de fleurs sur le rebord de leur fenêtre les jours de grand vent.

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  25. Suzanne,

    Ha ! Ha ! Ha ! Très drôle, vraiment ! Ha ! Ha ! « Qui ne se nourrissent que de r... »

    (hum, non, je ne céderai pas à cette nouvelle provocation)
    -

    Manutara,

    Je vous en prie. Pour une fois que je peux aider quelqu'un.

    (oui, oui, je sais, je suis en retard d'un ou deux commentaires, et on n'y comprend plus rien, mais bon, il faut quand même bien que je réponde) -

    Cela dit, si je puis me permettre, la viande du cochon est parfois nettement meilleure cuite à l'évaporée qu'à l'étouffée.

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  26. Suzanne,

    Point trop n'en faut et puis je pars dans peu de temps en vacances. Il y a quelque chose qui me turlupine vraiment dans la "réacopshère" ((dans laquelle je ne vous inclue pas, of course) ; je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi ni comment on peut vous taxer de racisme obsessionnel... mais bon, laissons cela de coté, vous êtes raciste et je suis idiot et c'est bien ainsi, le monde en est certainement meilleur et bien plus rassurant, ne trouvez-vous pas ?), ce sont ses règles sous-jacentes qui définissent (encloisonnent) une soi-disant aspiration à la liberté totale (en fait, un ersatz de liberté, puisqu'il y a presque toujours confusion entre liberté de vouloir et liberté(s) de faire, de se mouvoir ou de dire).

    Il faut détruire les tabous du modernisme, enfoncer les portes fermées par la "bien pensance" mais on assiste en réalité à une inversion du processus avec prééminence de nouveaux tabous (la repentance par exemple, comme si vous ne deviez pas vous repentir de faire du mal à autrui, comme si l'être humain n'était qu'un ectoplasme incapable de volonté, arbitrairement mû, que seule la morale ou la raison peut punir, indépendamment de lui-même pour ainsi dire).

    Tout cela est absurde et je n'ai plus envie de lutter contre cela, parce que je vois trop bien que pour nombre de guerriers de cette nouvelle idéologie, le débat constitue le substitut d'une forme de thérapie.

    On voit bien que la discussion sera sans fin. Par exemple, prenez Floréal, vous lui expliquez quelque chose sur la notion d'indigène qui est indubitable, avéré, éclairé. Et simple comme seule une évidence peut l'être. Elle s'empresse de vous signifier qu'elle a sa propre définition de la chose et qu'elle fera comme bon lui semble.

    Comment discuter ?
    Est-ce de la bêtise ? Ce serait rassurant, mais voyez-vous, je fais l'effort de comprendre et la compréhension peut révéler quelques sujets de profonde inquiétude. Car non, ce n'est pas de la bêtise, mais de la mauvaise foi.

    Alors oui, j'en ai, je crois, fini des éternels débats.

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  27. Je l'ai dit et redit à plusieur reprises et sur différents blogs...
    J'ai toujours eu cette impression :
    Si l'on ne pense comme le blogueur, on est forcément pas bien, idiot peut-être ou je ne sais quoi..
    Comment peut-on échanger des idées à partir de là ?
    A quoi cela sert de faire ou de pondre un article s'il n'y a pas de débats ?
    On peut quand même avoir des idées différentes du blogueur sans, pour autant, être con... je ne sais pas moi... mais dans la plupart des cas, j'analyse ces articles et j'en tire souvent beaucoup de choses bonnes (ou que perso je crois bonnes) que j'ajoute à mes idées personnelles... déformation professionnelle sans doute " Surtout ne pas juger sans savoir" était un peu la devise de l'étude...
    Il y a peu de temps je disais à table, que je ferais bien -sur le conseils de mes parisiens de garçons- un petit blog pour voir...
    La réponse des gens qui me connaissaient bien a été celle-ci...
    "peut-être que cela serait bien pour toi, qui ne peut guère bouger, mais tu n'es pas assez "hypocrite" pour cela... Sais-tu qu'il faut toujours "brosser les gens dans le sens du poil" pour intégrer un circuit fermé... et être agressif pour ne pas se faire manger... ou encore être protégé et défendu par quelqu'un... sinon aucune chance...

    -ben non, je ne le savais point...

    Bonne journée Suzanne...je crois que vous comprenez très bien ce que je veux dire... ou tout au moins le soupçonnez...

    @ Dorham : bonjour, dommage que tu ne sois plus là mais, d'un autre côté, je comprends aussi

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  28. Heureusement que point trop n'en faut sinon c'était pire. Dorham est absolument incapable d'exprimer un concept clairement, surtout dans un post. Il faut qu'il délaye jusqu'à ce que ça en devienne délétère, de sorte que quand bien même il aurait quelque chose d'intéressant à dire, on en a marre avant d'arriver à la fin de sa prose et on hausse les épaules devant tant de boniment entortillé où le superflu le dispute à l'inutile.

    En somme, il me reproche de ne pas m'appeler Céline, de ne pas donner dans la bonté bonne selon Hugues Aufray et le catéchisme. Bein non. Et je ne m'appelle pas non plus Louis Ferdinand.

    Désolée d'avoir chahuté votre chouchou, Suzanne.

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  29. Nom d'une trompette de Jéricho,
    Y'à une option "chouchou" ici...
    Comment faut-il s'inscrire, chère Suzanne ????

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  30. Jeffanne,

    Faut être beau tout nu !

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  31. Floréal : vous chahutez qui vous voulez, ce n'est pas mon problème, même sur mon blog, même si je ne suis pas d'accord, mais l'insulte, bof bof. Et si Dorham fait de longs posts, hésite, précise, fignole dans la nuance, ça ne veut pas dire pour autant que... et puis merde, tiens. Je n'ai pas envie de m'expliquer une quel quantième fois, je n'ai pas le temps, je le ferai plus tard.

    Jeffanne, je vous lis, faites gaffe. Arrêtez de draguer les hommes nus ici, je n'ai pas envie de me faire classer X.

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  32. Suzanna, décidément j'adore ce que vous écrivez ! J'admire votre sens de la répartie, et votre sens de la justice. Heureusement que vous avez ouvert un blog.

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  33. @ Dorham
    hum... tu prends des risques...je dirais même beaucoup de risques...et permets-moi de te taquiner.... es-tu sûr que je sois "quelconque" toute nue....
    Tiens, en prime, bisous à toi, beau mec....

    @ Suzanne
    Votre humour joyeux peut faire perler des petites larmes de bonheur dans les yeux de certaines gens qui ont beaucoup de soucis... merci...

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  34. Emma et Jeffanne, vous êtes trop gentilles, voilà.

    Chieuvrou : j'ai suivi votre lien. Eh bien dites-donc, on savait causer et s'amuser en ce temps-là. (en 2007.) Je voulais juste vérifier que vous aviez bien mis une batteries d'alertes sur le mot "rillette". Tourangelle ou mancelle, cette catastrophe diététique devrait bénéficier du principe de précaution évoqué plus haut. (La "brune confiture" se précipite comme un missile exocet dans les coronaires...)

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  35. Euh, Suzanne que m'a-t-il pris d'italianiser votre prénom ? Le résultat me plaît bien, mais c'était tout à fait involontaire !

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  36. Emma : ce qui me fait remarquer que les pseudonymes ou prénonymes féminins de ce post sont jolis : Floréal, Audine (est-ce que c'est un prénom porté ?)Jeffanne ...

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  37. Je trouve ça un peu fort de parler de "tirer du haut d'un mirador", juste parce qu'on vous a censuré votre commentaire... la blogueuse est chez elle, elle fait ce qu'elle veut, et ne veut pas entendre que le voile est dégradant pour les femmes. La censure en dit long sur son auteur, certes : c'est le cas de toutes les censures.

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  38. Papotine : vouloir décapiter les gens "au sens propre" vous semble plus sympa ?

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  39. Le problème, ici, c'est qu'il y a trop de gonzesses intelligentes : quand on a raté une ou deux marches, on n'arrive plus à remonter la pente.

    Et, en plus, y a Dorham, putain !

    Pfff... dodo...

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  40. Non, mais pas la peine de surenchérir dans l'horreur. Ce genre de propos décridibilise vos dires. C'est d'autant plus dommage que, sur le fond (le voile déshumanise/annihile les femmes), je suis d'accord avec vous.

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  41. Euh... oui, d'accord, Papotine.

    Je ne vois pas où j'ai surenchéri dans l'horreur (en parlant de mirador à quelqu'un qui vous promet la guillotine, peut-être ?).

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  42. Voilà, c'est ça. On parle guillotine, on répond mirador. Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? prison, chachot, torture, chambre à gaz !

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  43. Papotine, je vous imagine en train de me regarder sévèrement par-dessus de jolie petites lunettes rouges. Vous êtes mon institutrice de CM2, celle qui me grondait toute la journée, n'est-ce pas, et vous trouvez que je ne me suis pas améliorée du tout (en orthographe, si, quand même un petit peu,hein ?) depuis le temps où vous me punissiez pour bavardage et questions insolentes. Comment avez-vous fait pour me retrouver ? Savez-vous que j'ai gardé mon cahier de poésies ?

    À Saint-Jean-Brévelay notre école publique
    Était petite et très, très pauvre : des carreaux
    Manquaient et pour finir c'est qu'il en manquait trop
    Pour qu'on mette partout du carton par applique,

    Car il faut voir bien clair lorsque le maître explique.
    Alors le vent soufflait par tous ces soupiraux
    Et nous avons eu froid souvent sous nos sarraus.
    Par surcroît le plancher était épisodique,

    Et l'on sait qu'avec l'eau du toit la terre fait
    Des espèces de lacs boueux d'un bel effet.
    Pourtant j'ai bien appris dans cette pauvre école :

    Orthographe, calcul, histoire des Français,
    Le Quatorze juillet, Valmy, la Carmagnole,
    Le progrès, ses reculs, et, toujours, son succès.

    Guillevic

    Alors ?

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Modération parfois, hélas, mais toujours provisoire, ouf.