vendredi 8 mai 2009

Nu comme un vers











Amis de la poésie, bonjour.





13 commentaires:

  1. Je ne comprends rien, c'est normal ?

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  2. Euh, faut voir.
    C'est juste le S de ver(s)qui m'a fait rire, mais je ris souvent bêtement toute seule. Pendant ce temps là, remarquez, je n'écris pas d'âneries.

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  3. C'est aussi le S de ver qui m'a intrigué, du coup j'ai recherché dans ma tête la signification de ver avec un S.... ce que l'on pouvait en faire à part des poèmes ou peut-être aller vers... oui, mais vers quoi.

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  4. Bon. Je rame et j'ai honte. L'expression, c'est nu comme un ver. (de terre.)Quand j'ai lu "nu comme un vers" (de poème), j'ai trouvé ça joli. Voilà.

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  5. ça, d'accord, mais quel rapport avec le sauna ? Et Libération ? Je comprends vite mais...

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  6. Mère Castor, arrêtez de me torturer, hein : de rapport, yen a pas.
    Je vous raconte. J'étais dans une salle d'attente ce matin, je n'avais aucun livre, et sur la pile de magazines posée sur la table de la salle d'attente, il y avait ce truc infâme et informe, ce Libé mensuel plein de pub pour richards pire que le Figaro madame, ouvert sur un article sur les saunas (dont la température, ai-je appris, monte à 140° tout de même.)
    J'ai vu cette faute, je l'ai trouvée drôle et jolie. J'imaginais un vers de poème tout nu, aussi nu que les hommes roses qui courent sur la page de droite, un petit vers se tortillant comme un ver, un petit vers avec des pieds chaussés comme les mille-pattes de bande dessinées.
    C'est tout.
    (non, la salle d'attente n'était pas celle d'un hôpital psychiatrique et je n'avais pas mis de gnôle dans mon café)

    Règle n°1 du blogage : quand tu t'apprêtes à publier un article, demande-toi s'il a un intérêt quelconque pour une autre personne que toi, sinon, note-le dans un journal intime si tu tiens vraiment à t'en rappeler.

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  7. Merci Suzanne, c'est que lisant d'un oeil distrait cet article (pour bobo, en effet) je n'y avais pas remarqué la faute que vous avez reprise dans votre titre. J'aime votre blog, je ne commente pas souvent (je me rattrape, là) mais je vous lis toujours. Les autres ont des choses plus fines à dire, moi j'ai des gros sabots, la preuve.

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  8. Décidément, ne pas boire ne me réussit pas : je n'avais même pas vu la faute non plus ! Shame on me !

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  9. Mère Castor : les sabots, ça me va (pourvu qu'il y ait de la paille dedans). Fanch Hervé, forgeron finistèrien, disait " le sabot est imperméable aux crachats et écrase très bien la merde"

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  10. Heureusement que la Mère Castor est là, j'ai cru que c'était les flagellation qui vous faisaient marrer !
    :-))

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  11. @ Suzanne et la Mère Castor

    Mais les sabots féminins, en Bretagne, ne sont pas à bourrer de paille, on y met des chaussons - tout doux, si doux - à l'intérieur... Ils ont une jolie découpe sur le dessus avec une bande de cuir. Quelquefois, pour faire plus joli (on est femme ou pas) le cuir est repoussé et s'en découle un joli dessin sur le dessus...
    Je me souviens en avoir porté -ceux de ma mère pour m'amuser - sans pour autant écraser des merdes et ce pour une raison très simple, je chausse très petit et les "merdes" au sens où vous semblez l'entendre, sont très grosses ( des merdes de maintenant quoi !!!)

    @) Monsieur Poireau : la flagellation... hum... oui, oui... bon, je m'en vais, chacun ses goûts.
    Et puis n'est-il une expression (je l'emprunte à quelques ethnies un peu colorées ) qui dit :
    "Bat ta femme tous les matins, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait.."

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  12. Nu comme un vers,
    Qui dit les vérités
    Que nous avons peur,
    D'entendre.

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Modération parfois, hélas, mais toujours provisoire, ouf.