C'était la Sainte Anastasie hier ! Décidément, j'en loupe toujours une! Bonne fête à tous les blogs qui ont censuré mes commentaires, à Mlle S, à Dalyna, aux Femmes Engagées Dégagées Tout simplement, et à d'autres encore que j'oublie sans regret, dont les ciseaux étaient moins clic-claquetants.
Je profite de ce billet pour adresser mes condoléances sincérissimes à monsieur Chieuvrou pour la mort (d'un arrêt cardiaque, semble-t-il, la vie nous joue parfois de ces tours inattendus) de Patrick Topaloff. Séchez vos larmes, petit Chieuvrou, ce chanteur qui aimait tant le bonheur ne voudrait pas vous voir aussi désespéré. Il vous aime de là-haut et veille sur vous. Son ombre tutélaire vous enveloppe déjà d'un amour éternel, et lorsque vous le rejoindrez au paradis, les anges qui connaissent toutes ses chansons vous les fredonneront et vous berceront pour l'éternité.
Topaloff rejoint son fidèle associé Sim, reformant dans la splendeur éternelle des cieux le mémorable duo de « grise, grise, ma chemise grise, où tu l’as mise ». Mais dans nos cœur, la couleur n’est pas grise, mais le noir, comme une chemise noire.
RépondreSupprimerLa taulière fait tellement de lien vers elle-même qu'elle finira première au Miko ?
RépondreSupprimer(arrêtez de commenter, Balmeyer, faut que j'aille mettre un mot sur la critique de trente pages que Dorham a tricotée sur un écrivain dont je n'ai pas réussi à lire un seul livre en entier, et j'essaie de trouver un truc intelligent mais pas trop genre qui se la pète pour lui dire que je trouve sa critique bien comme tout mais qu'elle ne me donne pas envie, bien au contraire, d'essayer de me replonger dans ces romans-là, qui sont bien trop intellos pour moi. Je ne dirai pas ennuyeux, je ne voudrais pas qu'il se sente lecteur isolé solitaire et maudit tout seul dans un monde de cochons incultes et gavés d'eau de vaisselle à qui l'on a beau jeter des perles, rien à faire, à part bavasser sur des blogs ils ne savent rien faire d'autre.)
RépondreSupprimerNicolas: oui, je suis le Sollers des blogs, je m'autocite à donf. (ben, je cite les billets où je me plaignais de leur censure, les liens vers les blogs-mère sont déjà dedans.)(et puis, qui clique sur les liens, d'ailleurs ?)
RépondreSupprimerPersonne...
RépondreSupprimerTopaloff pour l'éternité, ça fout les miquettes !
RépondreSupprimerSinon, je confirme : De Lillo est chiant...
Tiens ! Z'êtes vivant, vous ?
RépondreSupprimerUn bel article...
RépondreSupprimeravec un lot de consolations....
Jeffanne : ha haha !
RépondreSupprimerJe suis un lecteur isolé solitaire et maudit tout seul dans un monde de cochons incultes et gavés d'eau de vaisselle [à part Didier, qui boit de l'acide chlorydrique] à qui l'on a beau jeter des perles, rien à faire, à part bavasser sur des blogs ils ne savent rien faire d'autre...
RépondreSupprimerDidier, DeLillo est chiant ? Vous dites ça alors que vous défendez bec et ongles un écrivain qui nous fait 300 pages sur le pré ensoleillé mais pas trop qu'il y a derrière son château ?
RépondreSupprimer(taratata, il a même pas de verre à m'envoyer dans la gueule, là !)
Suzanne, vous devriez pourtant savoir qu'il n'y a pas plus intolérant que les blogs de gôche. Moi j'ai été jetée en à peine deux semaines!
RépondreSupprimerMarine: ce n'est pas parce que ce sont des blogs de gauche, mais des blogs euh, comment dire... limités, bornés.
RépondreSupprimerDorham: vous comparez des écrivains aussi dissemblables que... qu'eux. Mais nous louons votre critique, remarquez.
Suzanne,
RépondreSupprimerC'était juste pour blaguer. Je n'ai jamais lu une ligne de R.C. ; d'ailleurs Didier est déjà couché à cette heure, ma blague a rebondi contre le mur comme une balle de tennis dégonflée... Je vais aller suicider Balmeyer de ce pas...
(Pour le reste, j'ai remarqué et ne m'offusque jamais qu'on aime pas ce que j'aime ; c'est même l'inverse, comme vous devez vous en douter, narcissique comme je suis)
Marine,
RépondreSupprimerVous savez, je me suis fait censurer aussi ; sur des blogs de gauche et de droite. Je trouve in fine que la conversation politique sur internet a ses limites. C'est, comment dire...épuisant. Faut savoir consommer ça avec modération.
En fait si un grand centre de loisirs "De Lillo" s'ouvraient, avec un parc d'attraction et un bonhomme dedans déguisé avec une combinaison de De Lillo, Dorham aurait vraiment les boules.
RépondreSupprimerJ'essaie d'imaginer une combinaison "DeLillo". Echec. Traitez Dorham d'élitiste hermétique (émétique aussi, c'est dans l'air du temps) pendant que vous y êtes.
RépondreSupprimerbon, je ne réponds plus aux commentaires avant ce soir.
J'aime bien tous mes commentateurs, mais c'est le printemps.
Dorham : JE trouve De Lillo chiant (presque autant que Pynchon), mais je n'en suis pas plus fier pour autant : c'est sûrement un manque, chez moi, un défaut de fabrication.
RépondreSupprimerDe même, Malcolm Lowry m'emmerde, et je ne le crie pas sur les toits.
Didier,
RépondreSupprimerL'appréciation littéraire n'est pâs affaire d'appréciation personnelle mais parfois, en effet, on ne peut pas faire autrement.
De la même façon, j'évite de trop claironner que la moindre note d'un opéra de Mozart (à part Don Giovanni) me hérisse le poil.
ah, ah, ah... oui, oui...
RépondreSupprimerPauvre Dorham, va... il est cerné, apparemment l'attaque part de tous les côtés....
il a raison faut éviter de donner une appréciation personnelle dans bon nombre de lectures que l'on fait, de même sur les auteurs....
au moins on est tranquille même si l'on paraît idiote ...d'ailleurs c'est ma technique de défensive et de protection étant donné que mon seul vêtement c'est l'humour.... un mur de protection bien efficace contre les attaques multiples
Juste pour dire que je n'ai rien censuré du tout, mais que, du jour au lendemain, je n'ai plus vu le commentaire de Suzanne sur mon blog...
RépondreSupprimerQuel commentaire, Papotine ? Je n'ai rien ôté de vous. (Enfin, je ne crois pas)
RépondreSupprimerJeffanne, mais non, pourquoi "pauvre Dorham"? Ce n'est pas lui qui a écrit ce roman.
RépondreSupprimerMais il en parle comme... un livre
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