...Les enfants marchent sur le trottoir, le cartable sur le dos.
Les balayeurs entassent les feuilles mortes. Ils ont des balais en plastique vert, dont les brins imitent le genêt. Des balais en genêt synthétique.
Les enfants prennent leur élan, sautent dans les tas de feuilles, s'agenouillent ou s'allongent dedans, les brassent, les jettent, les éparpillent.
Les balayeurs font des moulinets avec leur balai, crient, injurient, menacent, recomposent le tas d'à côté. Le bus décharge une cargaison d'enfants, l'école est au bout de la rue. Le vent s'en mêle et les feuilles tourbillonnent. Les enfants bondissent, agitent les bras comme s'ils voulaient s'envoler.
Un énorme chien noir surgit, flaire les roues du camion 'Propreté de la ville" où le vent soulève les feuilles, pisse abondamment, s'accroupit et lâche une bouse abondante. Le balayeur la ramasse dans sa pelle, la pose au sommet d'un tas de feuilles et la recouvre légèrement. Puis, souriant, il traverse la rue, s'appuie sur son balai, et attend.
Les balayeurs entassent les feuilles mortes. Ils ont des balais en plastique vert, dont les brins imitent le genêt. Des balais en genêt synthétique.
Les enfants prennent leur élan, sautent dans les tas de feuilles, s'agenouillent ou s'allongent dedans, les brassent, les jettent, les éparpillent.
Les balayeurs font des moulinets avec leur balai, crient, injurient, menacent, recomposent le tas d'à côté. Le bus décharge une cargaison d'enfants, l'école est au bout de la rue. Le vent s'en mêle et les feuilles tourbillonnent. Les enfants bondissent, agitent les bras comme s'ils voulaient s'envoler.
Un énorme chien noir surgit, flaire les roues du camion 'Propreté de la ville" où le vent soulève les feuilles, pisse abondamment, s'accroupit et lâche une bouse abondante. Le balayeur la ramasse dans sa pelle, la pose au sommet d'un tas de feuilles et la recouvre légèrement. Puis, souriant, il traverse la rue, s'appuie sur son balai, et attend.
***
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C'est quand vous écrivez (comme) ça que je tombe pour vous (mon côté feuille d'automne).
RépondreSupprimer(Et si vous me dites "Du balai !", je reviens.)
Chr Borhen: merci !
RépondreSupprimerQuel instantané ! On s'y croirait presque...Sales gosses.
RépondreSupprimerbiz
Excellent ! je l'aime, ce balayeur, je l'aime... c'est mon frère...
RépondreSupprimerEn rentrant de l'école la gamine a fait sa petite figure de gymnastique préférée. Elle monte en courant, rentre, en courant, dans la chambre de ses parents où son père lit peinard un bouquin, allongé sur son lit. Et elle plonge à coté de moi en criant "Papa !".
RépondreSupprimerCe matin j'ai déposé les couettes parentales au pressing, en précisant que cette merde était d'origine canine et qu'avec ma femme, nos pratiques sexuelles sont tout ce qu'il y a de plus banales.
Retrouvez moi le nom de ce balayeur que je lui règle son compte.
Didier : sale type ! asocial! atrabiliaire! monstre ! pédophobe !
RépondreSupprimerCorto : pareil, mais un peu moins fort
Pierre R.R: enfin un papa normal !
Suzanne, donnez moi seulement son prénom, à ce maudit balayeur, car je connais son nom de famille : "c'est mon frère" signé Didier Goux.
RépondreSupprimerPRR : allez mourir, bordel ! Je suis un bisounours adorable et je vous merde !
RépondreSupprimerJ'allais dire que je ne savais pas que Didier Goux était balayeur à ses heures mais je vois qu'il s'est quasiment dénoncé lui-même.
RépondreSupprimerSavoureuse tranche de vie !
Gouxchiste !
RépondreSupprimerPRR,
RépondreSupprimerC'est joli !
Pierre RR: je ne suis pas une balance, non mais !
RépondreSupprimerZoridae : merci. Vous verrez, si la réincarnation est un truc qui fonctionne, Didier se réincarnera en nounours offert au premier anniversaire d'un aîné de famille nombreuse.
Suzanne,
RépondreSupprimerUne gros nounours ou un hochet ? J'hésite !
"Savoureuse tranche de vie" ?? je trouve ça merdique.
RépondreSupprimerPapotine,
RépondreSupprimerJ'ai failli faire le même jeu de mots que toi !
"Il détestait les enfants. Un homme qui déteste les enfants ne peut pas être foncièrement mauvais!"
RépondreSupprimerW.C.Fields
hmmm : je crois que ce n'est pas un jeu de mots de la part de Papotine, mais un avis de lectrice au premier degré.
RépondreSupprimer(why not ?)
Cultive ton jardin : "et les chiens" ! vous avez oublié les chiens !
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerMoi j'ai pris ça pour un avis sur mon commentaire... Qui est la plus parano ?
Zoridae: j'accepte tout à fait qu'on puisse me dire que ce texte est merdique, ya pas d'souci !
RépondreSupprimer(et puis, Papotine, elle fait rien qu'à m'engueuler, alors... C'est une vieille GROGNON)
RépondreSupprimer"Didier pédophobe", j'adore !!
RépondreSupprimerZoridae, Suzanne : mon commentaire était bien pour vous deux, avec, en prime, un jeu de mots ! je ne me prends pas autant au sérieux que ça. Mais quand même, devant cette pluie de louanges, je ne pouvais pas rester coite : Suzanne me traite de vieille grognon, mais ce texte est l'illustration même de la grognonnerie ! le balayeur n'est pas malin, il est juste aussi mesquin et méchant que les enfants sont vivants. Et le comble, c'est que c'est censé être décalé et politiquement incorrect.
RépondreSupprimerPapotine : Bien sûr que le balayeur réagit hors de proportion avec ce que les enfants lui apportent comme tourment, il aurait fallu que je le précise, que je dise qu'il est très vilain?
RépondreSupprimer"le comble, c'est que c'est censé être décalé et politiquement incorrect." Ah bon ? Vous voyez ça à quoi ? Parce que telle n'est pas mon intention, pas du tout, et je ne vois pas ce qui permet de le supposer.
Et, Papotine, vous pouvez me dire ce que vous voulez, mais Zoridae est une personne aimable, et ce genre de remarque impolie... ben c'est impoli.
RépondreSupprimerPapotine,
RépondreSupprimerMais c'est bien comme ça que je l'ai vu le balayeur, méchant et mesquin ! Il me semble que le texte de Suzanne ne prenait pas partie même si dans les dernières lignes on la sent jubiler un peu... Peut-être.
Bref...
Zoridae: c'est le balayeur qui jubile.
RépondreSupprimerBalmeyer n'aime pas les enfants ?
RépondreSupprimerMalavita: Balmeyer est une espèce de monstre
RépondreSupprimerméchant avec les enfants, spécialement avec les pauvres petits enfants handicapés.
Zoridae : oui, un peu beaucoup...
RépondreSupprimerSuzanne : je ne cherche pas à être impolie, juste sincère, mais je peux aussi me dispenser de venir déposer mes noisettes ici.
Test (de changement d'avatar)...
RépondreSupprimerPapotine: venez me gourmander tant que vous voudrez. Le problème, pour ce textulet comme pour les photos de Marseille, c'est que je ne comprends pas vos critiques. Vous me diriez, là, que c'est du sous-Delerm poussif avec dix répétitions du mot feuilles, j'opinerais. Mais je ne vois pas pourquoi vous croyez que je me réjouis du fait que ces enfants vont être dans une sale situation.
RépondreSupprimerPar ailleurs, je n'en fais pas un fromage ! Je braille assez contre les anonymes et les petites cours de potes pour ne pas apprécier vos remarques telles qu'elles vous viennent à l'esprit.
Ce n'est qu'un blog.
Didier : il est un peu bizarre, votre jus d'ananas.
RépondreSupprimerSuzanne : Je braille assez contre [...] les petites cours de potes pour ne pas apprécier vos remarques
RépondreSupprimerTiens, au fait, et si vous écriviez un appel à billets ou commentaires sur "Pourquoi faut-il absolument louer Didier Goux, dans une certaine blogobulle, même si on doit le traiter de trolleur ou de fasciste ou de parasite ou de sale raciste/machiste/sexiste/homophobe/réactionnaire " ? Soit on adhère à ses propos, soit on s'en désolidarise, mais j'ai un peu de mal à comprendre comment on peut honnêtement dire qu'il est possible d'accepter tout ce qu'il écrit sous le prétexte que ce serait le trolleur attitré d'un blogue qui se prétend le premier blogue politique. Vous bannissez les discussions entre potes, vraiment ? Je crains que vous n'ayez affaire à des remarques de ma part et elles ne seront pas piquées des vers, je vous préviens. Je peux ratisser alors toute votre blogoliste et vous regretterez ce propos.
Dominique : non, je ne bannis pas.
RépondreSupprimerJ'apprécie beaucoup de gens pour ce qu'ils ont de bien (de mon point de vue), pour ce que je pressens de ce qu'ils ont de bien (de mon point de vue toujours), mais il n'y a personne, dans mes relations de blog, avec qui je me sente "âme sœur".
Vous pouvez dézinguer ma blogoliste, et alors, ça vous apportera quoi ? Vous m'aurez montré que je fréquente des gens qui, par certains aspects, sont complètement cons, écrivent comme des porcs, ont des idées louches, que sais-je encore et que, d'ailleurs, moi-même... Je pourrais en faire autant, et me dézinguer tout de suite après. Je n'en aimerai pas moins certains pour autant, parfois pour de toutes petites choses.
"Soit on adhère à ses propos, soit on s'en désolidarise,"
Vous, peut-être, moi, non. Ce n'est pas une question d'adhésion, de solidarité. Tout ne rentre pas dans des petites cases. Il n'y a pas d'un côté mes amis, de l'autre mes ennemis, et surtout pas en fonction de leurs opinions politiques manifestes ou sous jacentes.
Je ne sais plus qui (Balmeyer ou Dorham) disait qu'on ne peut pas bloguer sans accorder à celui qui vient discuter avec vous un certain crédit de bienveillance. C'est pourquoi rien n'est pire, pour moi, que le refus de discussion, les insultes, la méchanceté censureuse et excommunatrice. Je ne veux pas choisir mes cyberfréquentations en fonction de ce qu'en pensera tel ou tel blogueur influent, ni en répudier un parce qu'il n'est pas dans la lignée des autres. Manquerait plus que ça.
Je vous ai peut-être répondu à côté de la plaque...
Dites donc on discute bien gravement chez vous Suzanne !
RépondreSupprimerSuzanne : Dominique : non, je ne bannis pas.
RépondreSupprimerL'ai-je demandé ? C'est vous qui avez déclaré bannir les discussions entre potes. Et pourtant... Les chaînes, les clins d'oeil à la blogoliste, les liens obligatoires, les classements Wikio, les principaux fournisseurs de trafic, cela ne fait pas discussion de potes et surtout mafia ?
Suzanne : J'apprécie beaucoup de gens pour ce qu'ils ont de bien
Nous devons être nombreux dans ce cas. Cela nous avance beaucoup.
Suzanne ; Vous pouvez dézinguer ma blogoliste, et alors, ça vous apportera quoi ?
Mais regardez-la ! Elle est remplie de gens qui s'entrecitent en s'attribuant des pseudo-rôles dans une joyeuse bande de copains qui célèbrent leur classement Wikio et leurs citations dans Vendredi, à laquelle vous êtes contente d'appartenir. Vous déclarez être contre la connivence et en fait vous mettez les deux pieds dedans.
Suzanne : Vous m'aurez montré que je fréquente des gens qui, par certains aspects, sont complètement cons, écrivent comme des porcs, ont des idées louches, que sais-je encore et que, d'ailleurs, moi-même...
Oh non ! Vous fréquentez l'élite de la blogobulle à laquelle je ne saurais jamais appartenir et vous savez répondre en utilisant ses codes. Moi, je suis parti rejoindre la plèbe depuis un moment et j'ai suffisamment médit des blogueurs influents pour que je ne puisse plus être bien considéré par eux, puisque tout cela est une affaire de reconnaissance interne dans un clan auquel il faudrait appartenir et vous tournez surtout dans ce clan avec tous les tics du clan.
Suzanne , Je n'en aimerai pas moins certains pour autant, parfois pour de toutes petites choses.
L'important est son plaisir et son sens de l'honnêteté. Le reste est superficiel. Mais on ne peut trouver de plaisir et d'honnêteté dans les chaînes. Je suis très déplaisant et j'en suis désolé. Il n'y a pas que Didier Goux à ne pas être politiquement correct.
Dominique : J'ai dit ce que j'avais à dire à propos des textes bourrés de liens, de Vendredi, je ne comprends pas pourquoi vous m'engueulez à ce sujet. C'est comme si vous vous évertuiez à me dire que c'est très mal de rouler en 4/4 alors que j'ai une mobylette. Enfin, moi je sais pourquoi je viens sur votre blog, mais cette histoire d'élite de la blogobulle me semble largement surévaluée. Je ne vois pas les gens qui fréquentent la république des blogs ou autres manifestations comme une franc maçonnerie hermétique, et en fait, comme je n'y vais pas... bref.
RépondreSupprimerVotre blog, avec ses linguistes, ses professeurs à la langue irréprochable, me semblerait bien plus proche de ce que je me fais comme idée d'une élite (ce n'est pas un reproche, bien évidemment).
Dominique: et en plus, vous répétez que "je bannis"... et vous partez là dessus. Mais je n'ai jamais dit que je bannissais, AU CONTRAIRE. J'ai dit "je braille contre", ce qui n'est PAS DU TOUT pareil.(à cause de vous, je me relis, en me demandant ce que j'ai écrit comme idioties ou maladresses pour susciter une pareille attaque.) C'est vous le prof, vous le professionnel du langage, non ?
RépondreSupprimerQuel beau billet, bravo!
RépondreSupprimerJul : merci. Je suis allée faire un saut sur votre blog: archives depuis 2003, un des plus anciens que j'ai vus jusque là.
RépondreSupprimerSuzanne : Vous ne voyez pas pourquoi je trouve vos photos de Marseille malhonnêtes ? vous ne voyez pas pourquoi on *sent* que vous *jubilez*, vous aussi, avec le balayeur ? Zoridae l'a senti aussi. Si cette jubilation n'est pas voulue, c'est que votre texte est encore plus mauvais que je ne pensais.
RépondreSupprimerVous dites "brailler" contre les "petites cours de potes" mais le plus souvent les commentaires se limitent à des pluies de louanges, il me semble... sans parler des "chaînes", les bien nommées.
Je vous fais le crédit de vous apercevoir de tout ça, avec un peu de recul.
(Je prête Papotine et Dominique, ayant un peu servi mais en excellent état de fonctionnement, à tous ceux qui ont envie de se faire raboter l'ego)
RépondreSupprimer(Je prends. Mon égo et moi, nous opinons qu'une réprimande, c'est toujours de la considération. Et puis Dominique connaît déjà le chemin, alors...)
RépondreSupprimerCela étant, mieux vaut raboter l'égo que garrotter les beaux.
RépondreSupprimer(non, non, ne m'accablez pas, c'est juste pour être averti par courriel des derniers développements de cette plaisante controverse)
Ainsi comme ça, on m'invite à aller voir ailleurs alors que l'on affiche toujours le lien vers mon dernier billet, tout comme pour celui de Papotine ? Je croyais pourtant que vous appréciez les gens qui ne pensent pas toujours de manière politiquement correcte (comme on dit dans les blogues qui veulent se pousser dans les classements Wikio ou qui aspirent à publier dans Marianne2 et Vendredi).
RépondreSupprimerDe deux choses l'une : ou vous ne supportez plus mes interventions et alors il est inutile de maintenir le lien vers mon blogue et le dernier billet, ou vous me tolérez comme poil à gratter un peu déplaisant, mais il est inutile et dangereux de me refourguer à vos amis (je foutrais bien le bazar chez Didier Goux en une semaine s'il n'y mettait pas halte tout de suite et ce serait du gros bazar, du sévère avec armoires renversées et matelas retournés, mais comme je ne suis pas trolleur il peut dormir tranquille...)
Vous aussi pouvez dormir tranquille, persécuter une personne pour un défaut remarqué n'est pas trop dans mes habitudes. J'exprime juste mes réticences face à des contradictions et il me semble que vous en avez encore beaucoup (ce qui fait que vous devez vous attendre à bien des messages déplaisants de ma part si je continue à vous lire). Si j'écris chez vous, c'est parce que vous acceptez - du moins en apparence - que je porte une parole qui n'est pas tout à fait la parole admise et vous me la refuseriez ?
Papotine et Dominique aiment donc les blogueurs sans contradictions, sans défauts, discrets, effacés aux fréquentations idoines, au discours et à la langue policés... Bof... Que d'ennui dans tant de perfection !
RépondreSupprimerJe n'aime pas les tripes (le plat), et si quelqu'un essaie mille fois (enfin, disons dix, mais trois seraient déjà beaucoup) de me dire que j'ai tort d'aimer les tripes, de cuisiner des tripes, de faire vivre l'industrie de la tripe, je lui conseillerais d'aller en débattre avec quelqu'un qui aime vraiment les tripe, vu que moi, voyez-vous, non non non, je ne mange pas de tripes. Dans cette logique, jamais non plus je ne ferai de publicité pour les tripes, et, franchement, si quelqu'un mange des tripes devant moi, je m'éloigne, je n'aime pas l'odeur des tripes.
RépondreSupprimerAlors, pourquoi venez -vous me reprocher de manger des tripes, de faire la promotion des tripes, de participer à l'effondrement de la gastronomie mondiale en promouvant la culture de la tripe, comme si j'appartenais au Grand Ordre de la Tripe, que j'étais un de ses fers de lance, de ses héraults, ou de ses Eminences Grises ?
Vous allez merétorquer que, quisque une fois par an, je mange de l'andouillette (l'andouillette, encore, je peux, quand elle est bien sèche, longuement cuite à la braise douce), c'est que je suis une tripophile qui s'ignore ou pire, une tripophile sournoise qui ne veut pas avouer sa tripophilie honteuse.
Vous allez me dire que je connais des mangeurs de tripes, que j'en fréquente avec plaisir, que j'ai même des copains qui en vendent. Si j'avais la moindre velléité d'honnêteté gastronomique, je bouterais les tripolâtres hors de mon blog, que je fustigerais les tripophiles, et même les gens qui rêvent de tripes la nuit une fois tous les dix ans. Une andouillette, qu'est-ce donc, sinon de la tripe en forme, du concentré de tripe ? Je suis donc d'une violence tripophile inouïe, indicible et je devrais songer à me détriper l'imaginaire, mais surtout, je devrais éliminer d'urgence tous les mangeurs d'andouillettes de mes relations, sinon vous allez de ce pas arroser d'essence les pavillons des tripovores et donner leurs enfants à manger aux loups.
J'aurais pu faire plus court et vous répondre une ixième fois que je n'ai RIEN à voir avec Vendredi, Marianne2, etc, et que pour le reste, mettez donc vos menaces à exécution, si vous êtes chiche de le faire. Et je garde qui je veux dans ma bloguerolle, qui me sert de pense-bête.
*
Que ceux qui reçoivent les commentaires par mail m'excusent pour ces effaçages et répétitions, mais j'ai un problème avec le bloc notes ou la mise en forme de Blogger ce matin. (Ou alors, j'ai mis trop de café dans mon calva)
(et, Dominique and Papotine : je ne refuse pas votre parole contestratrice, je la trouve tellement bonne que je j'aimerais bien la partager avec d'autres. (pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie, table toujours servie à l'internet-café, chacun en a sa part et tous l'ont tout entier)
RépondreSupprimerIrène : oui mais vous c'est pas du jeu, z'êtes leur chouchoute, leur personna grata, leur terra cognita.
contestatrice.
RépondreSupprimerVous êtes sur la voie de la rédemption si vous reconnaissez la violence symbolique qu'il y a à déguster des viscères animaux.
RépondreSupprimerC'est un élément constitutif de l'habitus de certains blogueurs dominants qu'il conviendra de rééduquer dans un avenir proche, une fois qu'on aura déconstruit certaines traditions culinaires pour le bien de l'humanité souffrante.
Salutations hygiéno-diététiques.
Malavita : avec un peu d'aide, je vais progresser, et, qui sait, m'amender ?
RépondreSupprimer@ Suzanne: Erreur. Dominique vient souvent commenter chez moi, et parfois pour y porter la contradiction ou me faire remarquer des erreurs dans mes billets. Mais Papotine (à moi que je me trompe complétement) n'y est jamais venue.
RépondreSupprimer@ Zoridae: Aïe, aïe. Pourquoi s'imaginer que si on n'aime pas les tripes, on est forcément végétarien? Entre les deux, il y a de la marge...
Irène : ne me dites pas aussi que vous êtes inscrite au Wikio, et que vous publiez dans Vendredi. (Sinon, vite, de l'ail et un crucifix.)
RépondreSupprimerSi, si. Je ne me souviens plus quand je m'étais inscrite à Wikio, mais ça devait être au tout début. Je n'ai pas trop suivi par la suite. Et quand Vendredi m'a sollicitée pour republier un de mes billets, j'ai accepté.
RépondreSupprimer(Je me réserve le droit de ne craindre ni l'ail, ni l'eau bénite, à la façon des vampires asiatiques.)
Irène,
RépondreSupprimerHélas ce n'est pas moi qui ai écrit ce beau commentaire sur les tripes, mais la maitresse de ces lieux, Suzanne !
Par le sang du Christ, j'ai raté un nombre considérable d'épisodes, moi, ici !
RépondreSupprimerMonsieur de Champignac : s'il vous chante de venir foutre le feu chez moi, vous serez le bienvenu. Comme à peu près tout le monde. D'ailleurs, j'aime beaucoup ce que vous faites.
(D'ailleurs, je vais de ce pas vous incorporer à ma blogroll, juste pour vous agacer un peu.)
Ne nous étripons pas !
RépondreSupprimerC'était pour Irène et Zoridae, parce que, hein, le Champignacien et Didier, un bel étripage vaudrait le spectacle.
RépondreSupprimerOui, si vous trouvez des places, je suis preneuse aussi Suzanne !
RépondreSupprimerZoridae, serions-nous cruelles, hmmm ?
RépondreSupprimerCurieuses plutôt !
RépondreSupprimerMais enfin, Mesdames, pourquoi voudriez-vous que nous nous étripassions, M. de Champignac et moi-même ?
RépondreSupprimerC'est le Comte qui l'a dit ! Et moi, je crois qu'il ne sera pas chiche, et qu'après vous irez boire un coup en traitant les femmes d'allumeuses et de fouteuses de bazar.
RépondreSupprimerAh, ah, Didier Goux a un frère balayeur !
RépondreSupprimerElle est excellente, celle là.
:D