vendredi 29 avril 2011
Oublions le pêcher !
J'ai repéré ce matin un titre aguicheur dans la bloguerolle de Nicolas : Lâche moi la vulve.
Hop, un petit saut.
Je partage le point de vue de l'auteur, que je remercie pour l'éclat de rire qu'a provoqué chez moi la lecture de la fin du billet:
"C'est à l'aulne de cette crise de la foufoune que l'on mesure à quel point notre société est profondément malade."
Les fautes d'inattention comme celle-ci peuvent être très poétiques. Merci donc au Monolecte..
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Je vous ai dénoncé conformément à nos accords secrets.
RépondreSupprimerQuelle balance !
RépondreSupprimer(son billet est bien)
En cherchant une contrepèterie avec le titre aguicheur j'ai découvert le verbe lucher (Frotter la dentelle avec la luche ; cette opération lui donne du lustre).
RépondreSupprimerNe reste plus qu'à trouver des valves en dentelle et on pourra s'écrier : "Luche moi la valve!"
Suzanne,
RépondreSupprimerIl me fallait bien un prétexte pour vous twiter discrètement sous la table suite à notre conversation d'hier.
Les billets du Monolecte sont toujours très bien. C'est dommage qu'elle soit de droite. Paf. Aie. Pardon.
Malavita: je n'ai trouvé nulle part le verbe lucher
RépondreSupprimerL'amour de la contrepèterie n'excuse pas le faussaire en hapax opportunistes, inventions fantastiques ou étymologies douteuses.
Nicolas: mais tout le monde devient de droite, à vous fréquenter. Tous les gauchistes authentiques le certifient.
RépondreSupprimerOui, mais le gauchiste authentique est persuadé que lui seul est de gauche. Avec Agnès (le Monolecte) et CSP, évidemment.
RépondreSupprimerLe succès de Sa Pontifiance Monolectale parmi les blogueurs, même de gauche, reste pour moi un grand mystère. Je trouve son écriture soviétique à force de grisaille.
RépondreSupprimerMais bon.
On est à gauche, quand on est au NPA?
RépondreSupprimerMoi je croyais qu'on était juste prof.
Didier, dans ce billet pourtant elle plaide pour le poil!
RépondreSupprimerhttp://artflx.uchicago.edu/cgi-bin/dicos/pubdico1look.pl?strippedhw=lucher&dicoid=LITTRE1872
RépondreSupprimerAh ben, pour une fois, je vais peut-être aller (essayer de) le lire, alors !
RépondreSupprimerErreur poétique (trois aunes égalent quatre verges paraît-il) et même étymologie pour aulne et aune, le latin alnus. Continuez, ne lâchez rien !
RépondreSupprimerNon, désolé, malgré le sujet, sa prose me tombe des yeux…
RépondreSupprimerAh, c'est drôle, moi qui viens justement de m'interroger sur la crise de la mâlitude... (les gens regardent trop la télé et lisent trop de magazines ; ça nuit grave à la santé mentale)
RépondreSupprimerje dois avouer qu'une fois de plus je suis d'accord avec Didier (ça devient inquiétant...), mais je n'ai sans doute pas le talent de ce dernier pour me permettre de juger le style du billet en question.
RépondreSupprimerMoi aussi je suis d'accord avec Lucia qui est d'accord avec Didier, je développe une allergie grave au Monolecte, et ses discours aussi longs que pontifiants.
RépondreSupprimerUne vraie purge.
Sous prétexte d'être LA gauchiste, elle raconte parfois des conneries, et il est impossible de porter la contradiction, elle connait LA VERITE (je fais référence à sa critique de la recodification du code du travail).
Je me sens en droit de juger son style : il est lourd, imbu de son importance, et ses billets sont illisibles.
Malavita: j'admets, j'admets... (merci!)
RépondreSupprimerMtislav: merci aussi... je vais regarder pourquoi l'arbre et la mesure ont la même étymologie.
(et coudrier, ça vient de coude, coudée ?)
Lucia et Didier: je vous trouve bien sévères, pour ce billet.
Si vous commencez à critiquer Agnès, je vais être obligé de lire ses billets. Alors arrêtez ! (smiley, hein)
RépondreSupprimerSinon, moi aussi, j'imbu un peu trop ce soir.
Ah, Audine aussi... illisibles: z"y allez fort, tout de même !
RépondreSupprimerJe trouve aussi ces jugements un peu sévères, même si je trouve le fond du billet un peu sot.
RépondreSupprimerDorham : ah mais non ! sur le fond, s'opposer à la déforestation sauvage, c'est au contraire très tendance. Rendez-nous les touffes d'antan, Flora la belle Romaine, étoussa.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimernon, rien à voir. Je suis à donf pour le poil, d'ailleurs, j'en ai absolument partout, y compris dans la main... Ce que je voulais dire, c'est que les hommes comme les femmes ont tendance à sentir leur sexe en crise tous les 4 matins, les premiers sous prétexte que changer des couches les émascule, les secondes sous prétexte qu'elles subiraient un diktat de la beauté...
Je trouve cette généralisation absurde et ridicule. Il suffit d'être indépendant.
Il suffit d'être indépendant.
RépondreSupprimerEh oui.
Ah oui, là d'accord.
RépondreSupprimerSoyons indépendants plutôt que diarrhéiques !
(Et on retourne au boulot avec le sourire…)
Finalement, je suis allé lire le billet du Monolecte. J'ai l'impression de ne pas vivre sur la même planète. Il y a une phrase qui m'échappait ("maintenant que tes nichons surdimensionnés par la magie du bistouri peuvent tuer un reptile irascible"). J'ai suivi le lien sans oser regarder la vidéo : une bimbo qui se serait fait mordre son sein siliconé par un serpent alors qu'elle tournait une publicité, vous étiez tous sans doute au courant.
RépondreSupprimerAu fait, votre balance fait elle aussi des fautes d'orthographe.
Mtislav: Je sais, pour la balance.
RépondreSupprimerL'orthographe, sur les blogs, c'est comme le temps qu'il fait. Bonjour, vous avez fait une petite faute, là. Ah, oui, bonjour, ça m'arrive en effet. Oh, ya pas d'mal, sinon, il est bien le texte. Ah, oui, merci, et vous, justement, ce participe... Tiens, mais c'est bien vrai! ah la la, je critique l'orthographe des autres, et la mienne, vaut mieux pas en parler...Eh mais pardi, c'est à cause de l'iphone, qui nous détraque toutes nos écritures... L'iphone, il a bon dos, c'est pas lui qui mets un t à la place d'un s au futur, tout de même...oui, bon, hein, je rentre mon linge, il va pleuvoir. On rallumerait bien le poële.
Il a une verge de poétie
RépondreSupprimer(et là, je cherche la contrepèterie... chuis trop nulle)
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