Philippe Meyer parle d'Iffendic dans sa chronique matutinale !
Nous ne perdrons pas de vue que les enfants [...] peuvent dissimuler une nature inquiétante. Ainsi [...] dans le village d'Iffendic la supérette locale affiche depuis quelques jours un écriteau qui proclame "pour des raisons de sécurité les mineurs de moins de douze ans non accompagnés ne sont plus acceptés dans le magasin." C'est que les gérants du lieu ont constaté une recrudescence spectaculaire des vols de bonbons et de friandises par des gamins de cinq ou six ans.
Comme disait Alphonse Allais: "Il y a des moments où l'absence d'ogre se fait cruellement sentir !"
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Source de l'image: blog Eric dessine
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Je m'abonne aux commentaires pour voir si c'est trollé comme l'autre jour.
RépondreSupprimerFichez le camp de mon blog, espèce de voyeur. Commentatroll vous-même.
RépondreSupprimerTiens, Philippe Meyer ! Encore un que j'ai connu tout jeunot… Je l'ai eu comme simili-prof en 1978, 1979. Les années suivantes, on se voyait régulièrement à l'opéra, entre deux actes.
RépondreSupprimer(Mais quel snob imbuvable, ce Didier Goux ! Virez-le, bordel !)
Didier: quelle chance !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup beaucoup Philippe Meyer.
Didier,
RépondreSupprimerSi Suzanne vous vire, juste après moi, il ne va plus rester grand monde : Dorham ? La pauvre...
Nicolas: paltemps de vous répondre comme vous méritez, je joue au Grand jeu "toi aussi deviens un intégriste de la laïcité" et je prépare des décoctions d'huile pimentée pour aller en asperger les oeufs de Pâques dans mon Super U local.
RépondreSupprimerC'est vrai, quoi, ça devient insupportable ces atteintes à la laïcité dans l'espace public. à bas les œufs de Pâques, vivent les œufs d'avril !
Il est où le commentaire de Malavita que j'ai reçu par mail ? (Suzanne, vérifier vos spams, pour voir).
RépondreSupprimerLe laxisme des bobos soixante-huitards d'Iffendic fait doucement rigoler à Angers , où on prend au sérieux la délinquance en culottes courtes.
RépondreSupprimerBizarre: reçu par mail aussi, mais pas dans les spams.
RépondreSupprimerMalavita, essayez de ne pas faire de liens "propres", pour voir. Hier, je croyais que c'était à cause du lien vers la vidéo, mais non...
Sinon, je suis bien de l'avis de Malavita: cet acte de délinquance juvénile fait froid dans le dos.
C'est arrivé !
RépondreSupprimerC'est moi qui l'ai remis...
RépondreSupprimerSuzanne : oké, j'essaye sans mettre de liens.
RépondreSupprimer(mais vous ne m'ôterez pas de l'idée qu'un bon lien vaut mieux que deux tutorats)
Ça marche !
RépondreSupprimerIl est mignon ce billet ! Mais je vais quand même alerter la WOF (Word Ogre Foundation) que vous cherchez à empoisonner les derniers ogres.
RépondreSupprimerLe Coucou
RépondreSupprimerVous connaissez sans doute:
Un brave ogre des bois, natif de Moscovie,
Etait fort amoureux d'une fée, et l'envie
Qu'il avait d'épouser cette dame s'accrut
Au point de rendre fou ce pauvre cœur tout brut.
L'ogre, un beau jour d'hiver, peigne sa peau velue,
Se présente au palais de la fée, et salue,
Et s'annonce à l'huissier comme prince Ogrousky.
La fée avait un fils, on ne sait pas de qui
Elle était, ce jour-là, sortie, et quand au mioche,
Bel enfant blond, nourri de crème et de brioche,
Don fait par quelque Ulysse à cette Calypso,
Il était sous la porte et jouait au cerceau.
On laissa l'ogre et lui tout seuls dans l'antichambre.
Comment passer le temps, quand il neige, en Décembre,
Et quand on n'a personne avec qui dire un mot ?
L'ogre se mit alors à croquer le marmot.
C'est très simple. Pourtant c'est aller un peu vite,
Même lorsqu'on est ogre et qu'on est moscovite,
Que de gober ainsi les mioches du prochain.
Le bâillement d'un ogre est frère de la faim.
Quand la dame rentra, plus d'enfant ; on s'informe.
La fée avise l'ogre avec sa bouche énorme :
As-tu vu, cria-t-elle, un bel enfant que j'ai ?
Le bon ogre naif lui dit : Je l'ai mangé.
Or c'était maladroit. Vous qui cherchez à plaire,
Ne mangez pas l'enfant dont vous aimez la mère.
Victor Hugo
Merci des bons conseils, mais n'ayant plus de cour à faire, je pourrais croquer sans crainte, si je n'avais perdu l'appétit!
RépondreSupprimerMis en musique et chanté par Julos Beaucarne !
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