Dorham, mais non, voyons, ce sont des poèmes écrits dans la rue. Vous imaginez, une femme qui le prend et qui rougit, et une autre qui s'approche, et puis une autre, et cent qui s'agglutinent ? Je n'ai pas regardé la carte de près. Il y avait peut-être, comme dans les restaurants où l'on demande un supplément pour la crème chantilly sur la tarte aux pommes, ou pour les champignons sur la pizza, un , cochonneries + 2 €,
Ceci-dit, votre écrivain public se présente effectivement à l’enseigne "l’écrivain des combles"… Des greniers au comble de tout, la porte est ouverte à toutes sortes de perspectives… C’est attendrissant une femme qui rougit. Et pas forcément bandant , je laisse cet a priori à Dorham. Y en a, je te jure…
C'est à dire que je suis encore en pleine force de l'âge, tout, absolument tout me fait bander, un peu de rose aux joues, un débardeur échancré, des jeans trop serrés, une rediffusion doublée en turque de "Plus Belle la Vie", ces gens qui disent "y en a, j'te jure" à tout bout de champs... TOUT !
Et puis, on ne dit pas "a priori", mais "post-Coïtus".
(Suzanne, c'est ma journée conne, vous aurez toutefois remarqué que je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques, je me suis tenu)
"je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques" Vous m'en voyez ravie. Laissez mon wild wide ouest tranquille. On devrait porter plainte contre les gens qui recopient du Jean-Luc Lahaye. Après, on les arrêterait, puis on leur tirerait dessus quand ils essaieraient de s'enfuir. Et ils mourraient, victimes de mauvaise poésie, même pas défendus par les blogs de gauche.
Les photos sont belles ! J'ai ouvert ce billet dans un onglet ce matin: le poète dormait encore, et ce soir il dort toujours… Vous croyez qu'il se réveille une minute de temps en temps pour lâcher un poème?
Coucou, je n'y avais pas réfléchi, mais quand on prend un poète en photo, on doit bien capturer un peu de sa poésie... et c'est vous qui l'avez gardée, toute la journée, dans votre onglet-filet-à-papillons.
C'est pas cher.
RépondreSupprimerEst-ce que le vôtre était cochon ?
RépondreSupprimerDorham, mais non, voyons, ce sont des poèmes écrits dans la rue. Vous imaginez, une femme qui le prend et qui rougit, et une autre qui s'approche, et puis une autre, et cent qui s'agglutinent ?
RépondreSupprimerJe n'ai pas regardé la carte de près. Il y avait peut-être, comme dans les restaurants où l'on demande un supplément pour la crème chantilly sur la tarte aux pommes, ou pour les champignons sur la pizza, un , cochonneries + 2 €,
"Vous imaginez, une femme qui le prend et qui rougit, et une autre qui s'approche, et puis une autre, et cent qui s'agglutinent ?"
RépondreSupprimerTrès bien, c'est le préalable à toute partie fine, Suzanne...
(La poésie sera fête partouze)
RépondreSupprimerJe résume : il suffit de vider le grenier pour créer un atelier dans les combles - c'est ça ?
RépondreSupprimerChristophe: oh, joli !
RépondreSupprimerArrêtez ces sous-entendus graveleux, on va croire que vous confondez vide-grenier et descente à la cave.
RépondreSupprimerMalavita: point ! c'est Dorham qui veut aller au septième ciel , alors que Ch.Bohren s'arrête aux combles ! Moi, je suis très terre à terre !
RépondreSupprimerCeci-dit, votre écrivain public se présente effectivement à l’enseigne "l’écrivain des combles"… Des greniers au comble de tout, la porte est ouverte à toutes sortes de perspectives… C’est attendrissant une femme qui rougit. Et pas forcément bandant , je laisse cet a priori à Dorham. Y en a, je te jure…
RépondreSupprimerPlouc Emissaire: d'accord avec vous.
RépondreSupprimer(Dorham est tout chose aujourd'hui, ça lui fait toujours un drôle d'effet, la poésie...)
Un vide-grenier où les mâles étaient à poutres apparentes, donc.
RépondreSupprimerLe Plouc émissaire,
RépondreSupprimerC'est à dire que je suis encore en pleine force de l'âge, tout, absolument tout me fait bander, un peu de rose aux joues, un débardeur échancré, des jeans trop serrés, une rediffusion doublée en turque de "Plus Belle la Vie", ces gens qui disent "y en a, j'te jure" à tout bout de champs... TOUT !
Et puis, on ne dit pas "a priori", mais "post-Coïtus".
RépondreSupprimer(Suzanne, c'est ma journée conne, vous aurez toutefois remarqué que je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques, je me suis tenu)
"je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques"
RépondreSupprimerVous m'en voyez ravie. Laissez mon wild wide ouest tranquille. On devrait porter plainte contre les gens qui recopient du Jean-Luc Lahaye. Après, on les arrêterait, puis on leur tirerait dessus quand ils essaieraient de s'enfuir. Et ils mourraient, victimes de mauvaise poésie, même pas défendus par les blogs de gauche.
Quelles photos mignonnes : c'est vous qui les avez prises, Suzanne ?
RépondreSupprimerEmma: oui, et merci !
RépondreSupprimerQuoi ? De Gaulle est mort ?
RépondreSupprimerJ'aime bien les photos aussi, et les légendes : ) Très bonne idée de les avoir mises en NetB.
RépondreSupprimerCatherine, elles sont prises directement en N/B.(LX3, mode N/B dynamique) Merci !
RépondreSupprimerLes photos sont belles ! J'ai ouvert ce billet dans un onglet ce matin: le poète dormait encore, et ce soir il dort toujours… Vous croyez qu'il se réveille une minute de temps en temps pour lâcher un poème?
RépondreSupprimerCoucou, je n'y avais pas réfléchi, mais quand on prend un poète en photo, on doit bien capturer un peu de sa poésie... et c'est vous qui l'avez gardée, toute la journée, dans votre onglet-filet-à-papillons.
RépondreSupprimerC'est vraiment pas cher !
RépondreSupprimerB.mode: moins qu'un bouquet de roses... (et puis les fleurs, c'est périssable...)
RépondreSupprimeret les bonbons, c'est tellement bons !
RépondreSupprimerSans S, bon ! Suggestion, vous devriez, chère Suzanne, ajouter une fonction "correcteur" aux commentaires de vos lecteurs...
RépondreSupprimerB.Mode: je ne crois pas que ce soit possible sur blogger.
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