lundi 20 septembre 2010

Oh, oui, fais-moi un petit poème...



C'est le vide-greniers, la braderie.



Il y a des vieux journaux, des vieux vêtements,



un vieux fusil,


un chien fatigué,


une peluche triste,


et un écrivain public qui vous fait un poème en une minute, pour huit euros.




27 commentaires:

  1. Est-ce que le vôtre était cochon ?

    RépondreSupprimer
  2. Dorham, mais non, voyons, ce sont des poèmes écrits dans la rue. Vous imaginez, une femme qui le prend et qui rougit, et une autre qui s'approche, et puis une autre, et cent qui s'agglutinent ?
    Je n'ai pas regardé la carte de près. Il y avait peut-être, comme dans les restaurants où l'on demande un supplément pour la crème chantilly sur la tarte aux pommes, ou pour les champignons sur la pizza, un , cochonneries + 2 €,

    RépondreSupprimer
  3. "Vous imaginez, une femme qui le prend et qui rougit, et une autre qui s'approche, et puis une autre, et cent qui s'agglutinent ?"

    Très bien, c'est le préalable à toute partie fine, Suzanne...

    RépondreSupprimer
  4. Je résume : il suffit de vider le grenier pour créer un atelier dans les combles - c'est ça ?

    RépondreSupprimer
  5. Arrêtez ces sous-entendus graveleux, on va croire que vous confondez vide-grenier et descente à la cave.

    RépondreSupprimer
  6. Malavita: point ! c'est Dorham qui veut aller au septième ciel , alors que Ch.Bohren s'arrête aux combles ! Moi, je suis très terre à terre !

    RépondreSupprimer
  7. Ceci-dit, votre écrivain public se présente effectivement à l’enseigne "l’écrivain des combles"… Des greniers au comble de tout, la porte est ouverte à toutes sortes de perspectives… C’est attendrissant une femme qui rougit. Et pas forcément bandant , je laisse cet a priori à Dorham. Y en a, je te jure…

    RépondreSupprimer
  8. Plouc Emissaire: d'accord avec vous.

    (Dorham est tout chose aujourd'hui, ça lui fait toujours un drôle d'effet, la poésie...)

    RépondreSupprimer
  9. Un vide-grenier où les mâles étaient à poutres apparentes, donc.

    RépondreSupprimer
  10. Le Plouc émissaire,

    C'est à dire que je suis encore en pleine force de l'âge, tout, absolument tout me fait bander, un peu de rose aux joues, un débardeur échancré, des jeans trop serrés, une rediffusion doublée en turque de "Plus Belle la Vie", ces gens qui disent "y en a, j'te jure" à tout bout de champs... TOUT !

    RépondreSupprimer
  11. Et puis, on ne dit pas "a priori", mais "post-Coïtus".

    (Suzanne, c'est ma journée conne, vous aurez toutefois remarqué que je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques, je me suis tenu)

    RépondreSupprimer
  12. "je n'ai pas encore fait de commentaires sur les gens qui vivent dans vos zones désertiques"
    Vous m'en voyez ravie. Laissez mon wild wide ouest tranquille. On devrait porter plainte contre les gens qui recopient du Jean-Luc Lahaye. Après, on les arrêterait, puis on leur tirerait dessus quand ils essaieraient de s'enfuir. Et ils mourraient, victimes de mauvaise poésie, même pas défendus par les blogs de gauche.

    RépondreSupprimer
  13. Quelles photos mignonnes : c'est vous qui les avez prises, Suzanne ?

    RépondreSupprimer
  14. J'aime bien les photos aussi, et les légendes : ) Très bonne idée de les avoir mises en NetB.

    RépondreSupprimer
  15. Catherine, elles sont prises directement en N/B.(LX3, mode N/B dynamique) Merci !

    RépondreSupprimer
  16. Les photos sont belles ! J'ai ouvert ce billet dans un onglet ce matin: le poète dormait encore, et ce soir il dort toujours… Vous croyez qu'il se réveille une minute de temps en temps pour lâcher un poème?

    RépondreSupprimer
  17. Coucou, je n'y avais pas réfléchi, mais quand on prend un poète en photo, on doit bien capturer un peu de sa poésie... et c'est vous qui l'avez gardée, toute la journée, dans votre onglet-filet-à-papillons.

    RépondreSupprimer
  18. B.mode: moins qu'un bouquet de roses... (et puis les fleurs, c'est périssable...)

    RépondreSupprimer
  19. et les bonbons, c'est tellement bons !

    RépondreSupprimer
  20. Sans S, bon ! Suggestion, vous devriez, chère Suzanne, ajouter une fonction "correcteur" aux commentaires de vos lecteurs...

    RépondreSupprimer
  21. B.Mode: je ne crois pas que ce soit possible sur blogger.

    RépondreSupprimer

Modération parfois, hélas, mais toujours provisoire, ouf.