Un homme est lynché par la foule pour avoir fait disparaître le sexe d'une ou plusieurs personnes qu'il venait de saluer, voire simplement de croiser. Il s'agit d'un cas de rumeur particulièrement explosive,[...] abordée comme un fait social normal bon à penser, bon à raconter...
Plutôt qu'une anecdote prêtant à rire, le vol de sexe ne serait-il pas une affaire exemplaire permettant de comprendre l'Afrique urbaine contemporaine, les formes de sociabilité et les modes de communication qu'elle suppose ?
Plutôt qu'une anecdote prêtant à rire, le vol de sexe ne serait-il pas une affaire exemplaire permettant de comprendre l'Afrique urbaine contemporaine, les formes de sociabilité et les modes de communication qu'elle suppose ?
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C'est un entretien à propos d'un livre de Julien Bonhomme
, Les voleurs de sexe : anthropologie d'une rumeur africaine (Editions du Seuil), et c'est très intéressant. On peut l'écouter sur le site de France-Culture. (trentième minute environ après le début de l'émission)
Je me désabonne de ce blog qui met des photos de sexe pour illustrer ses billets. C'est une honte.
RépondreSupprimerCe billet phallogocentrique contient un lien erroné ; l'émission d'hier est là.
RépondreSupprimerTrès belle statuette, polie à la main nue?
RépondreSupprimer"faire disparaître le sexe de quelqu'un", je ne sais pas ce que cela veut dire:
RépondreSupprimerle faire disparaître physiquement ou est-ce une image pour justifier ce qui est injustifiable en Afrique, c'est-à-dire l'homosexualité?
Ce serait rendre quelqu'un responsable de l'homosexualité d'un autre, comme une espèce de sort jeté ? (un quimbois, disent les Antillais)
Malavita: tiens, il y en a un qui suit ! (merci beaucoup)
RépondreSupprimerMarine: écoutez un peu de l'émission, si vous avez quelques minutes, mais je vous explique: c'est un vrai vol de sexe. (ça ne concerne que les hommes.)On, reçoit comme une décharge électrique dans le bas ventre, on a une grande peur qui étreint, les poils qui se hérissent. Le sexe se rabougrit le plus possible et reste tout mou tout le temps. Il faut attraper celui qui a fait le coup et le forcer à vous rendre votre sexe.
L'illustration, c'était un peu dans la prolongation du billet de Didier sur Genet [plus émouvant et pur/qu'une émouvante bite]
Nicolas: si vous me contrariez, j'ai les moyens de vous faire taire, maintenant.
Il en avait été plus longuement question, sur cette même radio et avec le même Julien Bonhomme, dans l'émission de Catherine Clément du 6 janvier dernier (Cultures de soi, cultures des autres, de 21h à 22h [je ne vous mets pas le lien vers la page de ladite émission le susdit jour car, à moins que ce ne soit moi qui me démerde comme un manche, le site de France Culture est ainsi fait que si vous cliquez sur un tel lien vous tombez sur la page de la dernière en date de l'émission en question, soit, actuellement, celle du 13 janvier (il est du reste à parier que les liens que vous nous avez donnés hier n'auront plus, dans quelques jours, le moindre rapport avec le contenu de votre billet)]).
RépondreSupprimerN'est-ce pas du meilleur effet, mon petit enchevêtrement de parenthèses et de crochets ?
Voui Nicolas mais tu aurais peut-être tort...parce que, parce que Suzanne semble vouloir nous en apprendre des choses...
RépondreSupprimeren souhaitant qu'elle ne se mette pas à voler celui de tous ceux qu'elle rencontre dans la rue pour en faire une "collection" privée...
qui finirait par une exposition collective... avec le temps...
avec étiquetage et tout et tout...
Je n'ai pas écouté l'émission (il est un peu tôt quand même !) mais je me pose juste la question d'un point de vue pratique : le voleur de bites, comment fait-il ? A-t-il un sac à pénis avec lui ? Une sorte de carquois sur l'épaule ? Une bourse ? Une besace ?
RépondreSupprimerEt surtout, il fait quoi le monsieur après avec toutes ces queues surnuméraires ?
:-))
Chieuvrou: vous êtes le Raymond Roussel des hôtes de ce blog.
RépondreSupprimerMonsieur Poireau et Jeffanne: au piquet tous les deux! Je parle d'un livre et d'une émission sérieux, et voilà !
Quoi !!!!!
RépondreSupprimerau piquet ??? avec... Monsieur Poireau !!!
@ Monsieur Poireau : ça se conserve dans le vinaigre ces objets précieux... mais Suzanne dit, si j'ai bien compris, qu'ils se rétractent par l'intérieur...
ils se ratatinent quoi...
là ... j'ajoute rien ... sinon en plus du piquet je vais me coltiner le bonnet "d'Anne" de Bretagne
Chieuvrou : comme Suzanne, vous avez négligé l'onglet archives des sites de France Küh.
RépondreSupprimerEuh, j'oubliais Monsieur Poireau... rassurez-vous...
RépondreSupprimerC'est un très grand honneur de partager le piquet avec vous...
Suzanne, je n'ai pas dit mon dernier mot.... et, pour l'humour, merci.
Suzanne, je dois vous faire ce pénible aveu que je suis en fait plus familier de Jacques Rouxel.
RépondreSupprimerMalavita, vous ne faites que confirmer ce qui était déjà pour moi plus qu'une impression : je me démerde comme un manche.
(Sinon, est-ce moi qui ai trop bu hier soir ou bien votre commentaire du vendredi 15 janvier 2010 à 18h13 était-il déjà – ou, plutôt, toujours – en ligne entre minuit et minuit et demie ?)
Chieuvrou : mieux vaut se démerder comme un manche que se déhancher comme un nerd.
RépondreSupprimer(vous croyez que je l'ai trouvé tout seul, ce putain d'onglet ?)
Par ailleurs, je ne dirai pas que vous aviez trop bu à minuit pour voir mon premier commentaire ; en revanche, je suppose que Suzanne était suffisamment sobre pour y réagir à 21:36.
Chieuvrou et Malavita: si vous ne voulez toujours pas ouvrir un blog à vous rien qu'à vous, si un jour l'envie vous prend d'écrire un billet, ou n'importe quoi, mon blog vous est grand ouvert.
RépondreSupprimerJeffanne: je constate qu'il suffit de parler de choses légères, voire olé olé, pour vous voir accourir aussitôt. Vos avances à peine déguisées à Monsieur Poireau ne trompent personne. Jolie mentalité ! Ah, elle est tombée bien bas, la France ! (faire du plat à un Belge en plein débat sur l'identité nationale, moi je dis que c'est honteux)
Suzanne : des choses légères ? Eh oh, on parle d'appendice masculin quand même ! Sûr que ça peut prendre un poids considérable !
RépondreSupprimer:-))
[Je ne suis pas sûr que "appendice masculin" fasse un bon score en recherche Google ! :-) ].
RépondreSupprimerMais non, je rêve...
RépondreSupprimerElle est bien bonne celle-là...
Vous m'infliger une punition hors du commun, hors de France... avec, en prime "une identité nationale à débattre"...
En bonne élève, consciente qu'il faut se racheter quand on a commis une erreur (au passage je me demande bien laquelle) je me soumettais à votre suggestion....
et maintenant c'est ma faute, ma très grande faute... c'est moi qui louvoie vers des chemins égarés, dangereux, équivoques.... à la recherche d'un baton de berger... mais dites-moi... qui céti... qui entraîne les petites filles là... en mettant un bougeoir en tête d'affiches de votre article... Peut-être n'était-ce rien que pour éclairer ma lanterne... Désolée j'ai regardé les "choses" sous un autre angle..
Une petite vengeance, sur mon blog, s'est imposée naturellement... ben quand même !!!
D'une autre manière, je vous remercie de m'aider à me détendre...
Perso, je vous proposerais bien de venir grossir les liens sur mon blog... mais "c'est rien que des bétises"....pas très flatteur n'est-ce pas !!!
S'il vous plaît... je peux ???
Quand je pense que nous parlions de la misère en Haïti juste la veille du séisme. Je l'ai senti venir ou quoi?
RépondreSupprimerJe m'abonne à ce blog qui met des photos de sexe pour illustrer ses billets. C'est amusant ;)
RépondreSupprimerJeffanne: faites les liens que vous voulez (comme dans la chanson sautez, dansez, embrassez qui vous voulez)
RépondreSupprimerPierre: j'irai faire un petit tour sur le vôtre, merci. Mais je suis assez sobre en photos de sexe.
Sobre ? Alors que vous m'avez été présenté par Didier Goux en personne !
RépondreSupprimerMarine: je vais me méfier de vos commentaires de démiurge maintenant...
RépondreSupprimerAh non ! Avec Didier, ce n'est pas demi murge !
RépondreSupprimer« mon blog vous est grand ouvert »
RépondreSupprimerC'est très gentil à vous, cependant, en dehors de mon grand combat rillettier et de mon anti-jacobinisme primaire, je manque cruellement de sujets d'intérêt.
(Cela étant, je reconnais qu'il suffit parfois d'en tenir un bon pour faire un blogue très couru.)
Suzanne,
RépondreSupprimerje ne sais si j'ai l'esprit "mal tourné" comme vous le dites sur mon blog...
C'est sûr qu'aux yeux de certains, je suis jugée en long, en large et en travers...
En réalité, japprécie juste ce que la nature nous a donné sans entrer dans le jeu de certaines personnes qui crient "au péché" à chaque fois que l'on parle de sexe et qui s'esclaffent chaque fois qu'elles voient un homme...
En fait "le péché" on le voit toujours chez les autres.... soi : on est toujours parfait...
perso, je préfère ne pas être parfaite, cela me va mieux...
D'ailleurs, je trouve très désagréable, maintenant que je suis seule, d'être épiée à chaque geste que je fais... à chaque regard que je pose... comme si j'étais un sujet à évaluer...avec ou sans caution...
C'est vrai... le voisin d'à côté est venu dénneigé mon trottoir et celui d'en face, l'entrée, un autre est allé chercher mon pain...
etc...
Que voulez-vous ... je crois être quelqu'un d'assez aimable et l'on me rend la pareille...
Je n'ai pas d'arrière-pensée, il y a suffisamment de gens qui en ont à ma place...
J'aime les "mots" de quelque nature qu'ils soient...
alors... j'en fais juste un jeu..
Jeffanne: réponse sur votre blog.
RépondreSupprimerChieuvrou: ah, non, on ne parle pas de rillettes ici. Pas juste avant le printemps qui précède l'été qui est la saison des maillots de bain. C'est trop gras
Bin là, je suis assez occupée, Suzanne.
RépondreSupprimerJ'essaie de tout remettre en ordre là bas, mais j'ai du mal...
Justement, en prévision de l'été, sachez que l'application de rillettes en couche fine sur les coups de soleil est aussi efficace que la Biafine.
RépondreSupprimerMalavita: je connaissais les escalopes de veau pour éclaircir le teint et raffermir le visage, mais là... POUACR.
RépondreSupprimerPouacr... Pouacr... Tout de suite les grands mots.
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