Ma bloguerolle est un petit port où s'amarrent vos navires aux voiles changeantes. Le vent qui souffle dans les haubans chante en ritournelle des chansons bébêtes, emmêlant les titres de vos billets.
Mieux que Nostradamus: Victor Hugo!
Vous la sentez, l'insécurité qui revient ?
Monsieur Dorham sur l'autoroute de la connerie
Evenement (ne l'oubliez pas !)
la Marseillaise en patois
J'aime
L'avion
Le Durcisseur
Pardon, avez-vous vu la démocratie?
Abonné absent (momentanément)
Tas de fumier
A très vite !
Embrasse-moi, idiot.
***
(titres des billets, aujourd'hui à 15h30)
Tiens, j'me r'connais !
RépondreSupprimerAh ba comme ça, c'est clair !
RépondreSupprimerJoli de faire rimer Bloguerolle et Porquerolle...
RépondreSupprimerY'a pas de billet à moi, dans ce truc ?
RépondreSupprimerHermès ce n'est pas Porquerolles, sur la photo, mais un des plus jolis ports de Bretagne, celui (tout petit) de Doëlan sur mer.(Finistère)
RépondreSupprimerComme Hermes: j'ai tout de suite pensé à Porquerolle, avant de voir la photo.
RépondreSupprimerLa photo d'illustration, c'est un port, dites-vous. Un port breton, oui. La lumière. Finistère ? Côté malouin ?... Dinard ? Où ?...
RépondreSupprimerTiens moi aussi, je me reconnais !
RépondreSupprimerLediazec.... il est bête lui ou quoi ? il sait lire lui ou quoi ? il sait lire jusqu'au bout des phrases ?
RépondreSupprimerCher petit Lediazec chéri, relisez le commentaire de 18h32. oui oui, jusqu'au bout. Puis répandez-vous en plates excuses que je ferai semblant d'accepter tout en me disant que ah, bien, parfait, ce blog, mon blog, manquait un peu d'innocents, en ce moment... (hé hé hé,paf, pif, comment qu'elle l'agresse, le pauvre, et pour si peu...)
Pour l'édification de sire Lediazec (j'aurais peut-être du mettre un smiley plus haut, on ne sait jamais.)
RépondreSupprimer- sire, c'est un Breton
- Comment le savez-vous ?
- Il a pissé dans l'escalier
(c'est un dialogue de je ne sais plus quel film)
J'avais au début comme l'impression de reconnaître une calanque, quoique sans possibilité de la nommer... Mais j'avais peur de passer pour un couillon.
RépondreSupprimer@Suzanne. Vous me plaisez, savez-vous ? J'adore parfois jouer à l'innocent, bien que, de temps à autre, le con l'emporte sur le reste. Nul n'est parfait. On dit que l'étourderie relève de la distraction et que cela confère un certain charme, tant que la chose ne devient point chronique...
RépondreSupprimerJe vous bise !
« C'est un dialogue de je ne sais plus quel film »
RépondreSupprimerÀ mon avis, il y a de grandes chances que le film en question soit l'excellent Que la fête commence, de Bertrand Tavernier.
Bingo !
RépondreSupprimerAh, merci Chieuvrou. Le marquis de Pontcallec, bien sûr...
RépondreSupprimerLediazec, bisons nous d'amour !