Ils devraient faire un tour dans un centre vraiment naturiste (pas le Cap d'Agde) et on reparlera après. Ils seront un peu plus prudent et modestes dans leurs discours. Montrer sa teub, mais pourquoi donc et en quoi serait-ce une menace ? Si tout le monde montre la sienne, on en revient un peu à la réalité. Modeste, modique, modérée.
J'ai fréquenté un temps la plage naturiste du coin, c'était fort agréable et très familial.
Depuis c'est devenu parait-il un baisodrome homosexuel, et m'intéresse donc moins.
Je ne comprends par contre pas le rapport avec de la modestie, il ne semble pas que ni Dorham ni moi n'ayons prétendu en avoir une exceptionnelle (du moins dans nos commentaires au billet de la Suzon).
Suzanne, sur la photo on voit mal votre zob. En plus ce matin, j'avais décidé de bosser et maintenant, va falloir que je trouve un billet à faire en réponse, c'est malin !
Franssoit, les filles n'ont pas ce que vous dites, mais un p'tit truc charmant. Et faites donc un billet, faites, faites, fêtes, ça nous distraira des sombres burcatastrophes.
Dorham, pour mon premier petit boulot de lycéenne, j'ai travaillé dans un hospice. Il y avait une vieille dame quasi centenaire qui était une ancienne modèle. Elle posait pour les cartes de collection et les revues coquines. Elle avait gardé beaucoup de clichés et les montrait volontiers, après avoir repeigné ses rares cheveux blancs et accroché sa broche en or en forme de papillon. Ses enfants étaient morts avant elles. Quand elle est morte à son tour, le personnel de l'hôpital a collé partout dans le couloir ses cartes, ses photos, ses lettres d'amour avec des fleurs séchées. On poussait les vieux en fauteuil entre deux haies de seins blancs; de cuisses un peu dodues, et de jolies toisons rousses.
Ils devraient faire un tour dans un centre vraiment naturiste (pas le Cap d'Agde) et on reparlera après. Ils seront un peu plus prudent et modestes dans leurs discours. Montrer sa teub, mais pourquoi donc et en quoi serait-ce une menace ? Si tout le monde montre la sienne, on en revient un peu à la réalité. Modeste, modique, modérée.
RépondreSupprimerMontrer son petit merle ?
RépondreSupprimerAppas: C'est mignon.
RépondreSupprimerDominique: ces freluquets vous répondront "parlez pour vous" !
(trompettes de la renommée...)
t'as passe ton bac en 1910 ou en 1911?
RépondreSupprimerDisparitus : ah, mes humanités...
RépondreSupprimerAprès le voile, le poil. Suzanne, j'aime votre blog : analyse sérieuse puis dérision...
RépondreSupprimerDominique :
RépondreSupprimerJ'ai fréquenté un temps la plage naturiste du coin, c'était fort agréable et très familial.
Depuis c'est devenu parait-il un baisodrome homosexuel, et m'intéresse donc moins.
Je ne comprends par contre pas le rapport avec de la modestie, il ne semble pas que ni Dorham ni moi n'ayons prétendu en avoir une exceptionnelle (du moins dans nos commentaires au billet de la Suzon).
Suzanne, sur la photo on voit mal votre zob. En plus ce matin, j'avais décidé de bosser et maintenant, va falloir que je trouve un billet à faire en réponse, c'est malin !
Franssoit, les filles n'ont pas ce que vous dites, mais un p'tit truc charmant.
RépondreSupprimerEt faites donc un billet, faites, faites, fêtes, ça nous distraira des sombres burcatastrophes.
Et non épilée, siouplaît ! Une vraie femme, quoi...
RépondreSupprimerA ces années folles ont succédé ces années des folles. Beurk !
RépondreSupprimerTouffue, la prof de Latin Grec
RépondreSupprimerVous êtes belle Suzanne...
RépondreSupprimer(Dominique, je dis ça parce que je me suis pas lavé depuis 6 mois... tu vois bien que c'est une menace)
Dorham, pour mon premier petit boulot de lycéenne, j'ai travaillé dans un hospice. Il y avait une vieille dame quasi centenaire qui était une ancienne modèle. Elle posait pour les cartes de collection et les revues coquines. Elle avait gardé beaucoup de clichés et les montrait volontiers, après avoir repeigné ses rares cheveux blancs et accroché sa broche en or en forme de papillon.
RépondreSupprimerSes enfants étaient morts avant elles. Quand elle est morte à son tour, le personnel de l'hôpital a collé partout dans le couloir ses cartes, ses photos, ses lettres d'amour avec des fleurs séchées. On poussait les vieux en fauteuil entre deux haies de seins blancs; de cuisses un peu dodues, et de jolies toisons rousses.
On attend le côté pile (pas épilé).
RépondreSupprimerAppas : ne me provoquez pas !
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