Chère Suzanne, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous. "Opinions raisonnables, arguments ordinaires" me semple plus juste. Mais je peux me tromper.
J'ai honte d'avoir cliqué sur "envoyer" plutôt que sur "brouillon". Je vais boire ma coupe jusqu'à la lie. Après, j'écrirai "comment avoir des tas de commentaires sous vos billets, méthode et savoir-faire, trucs, astuces,"
Le professeur Blackbird, professeur de littérature française à l'Université de Princeton, nous livre son interprétation :
"C'est un bel alexandrin avec césure à l'hémistiche et une scansion 3/3/3/3, qui a donc quelque chose de profondément musical : d'une certaine façon, on peut le voir comme un manifeste stylistique néo-classique, mais il serait évidemment bien étroit d'en limiter l'intérêt à une question formelle. Il est évidemment qu'ici, au-delà du dire en lui-même, quelque chose se dit. Mais quoi ? Le contexte de la parution favorise évidemment certaines interprétations ; en même temps la concision du texte fait qu'il se borne à ouvrir des possibles. Et c'est toute la puissance d'un imaginaire de l'implicite qui, dès lors, se met en branle : quelles opinions ? quels arguments ? et, d'ailleurs de quel ordre est-il question dans 'ordinaires', dans 'raisonnables' de quelle raison ? Oh oui ma chérie, ta bouche est tellement bonne, continue comme ça, hmmm."
Enfin un billet qui a des choses à dire ! Ça fait plaisir, cet îlot de raison dans notre océan de vacuité blogosphérique !
RépondreSupprimerBonjour Madame Merle
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec Monsieur Goux et j'ajoute que c'est votre meilleur billet, d'une concision quasiment divine !
oui bon ça va, hein ! pfffft....
SupprimerLes opinions me paraissent bien ordinaires quant aux arguments, imparables tellement ils sont raisonnables !
RépondreSupprimerBelle journée Suzanne.
Serait ce un billet d’amnésique, à quand les mémoires?
RépondreSupprimerChère Suzanne, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous.
RépondreSupprimer"Opinions raisonnables, arguments ordinaires" me semple plus juste.
Mais je peux me tromper.
J'ai honte d'avoir cliqué sur "envoyer" plutôt que sur "brouillon".
SupprimerJe vais boire ma coupe jusqu'à la lie.
Après, j'écrirai "comment avoir des tas de commentaires sous vos billets, méthode et savoir-faire, trucs, astuces,"
ah ben ça alors !
RépondreSupprimerj'ai même pas écrit le billet, et paf. et maintenant gépaltemps.
Bon, ben merci à mes commentateurs qui font tous le boulot....
Mon MEILLEUR billet, penseront certains.
Pour une fois qu'un billet n'a pas de faute d'orthographe, ici, les commentateurs pourraient être aimables.
RépondreSupprimerOn attend la suite !
RépondreSupprimerLe professeur Blackbird, professeur de littérature française à l'Université de Princeton, nous livre son interprétation :
RépondreSupprimer"C'est un bel alexandrin avec césure à l'hémistiche et une scansion 3/3/3/3, qui a donc quelque chose de profondément musical : d'une certaine façon, on peut le voir comme un manifeste stylistique néo-classique, mais il serait évidemment bien étroit d'en limiter l'intérêt à une question formelle. Il est évidemment qu'ici, au-delà du dire en lui-même, quelque chose se dit. Mais quoi ? Le contexte de la parution favorise évidemment certaines interprétations ; en même temps la concision du texte fait qu'il se borne à ouvrir des possibles. Et c'est toute la puissance d'un imaginaire de l'implicite qui, dès lors, se met en branle : quelles opinions ? quels arguments ? et, d'ailleurs de quel ordre est-il question dans 'ordinaires', dans 'raisonnables' de quelle raison ? Oh oui ma chérie, ta bouche est tellement bonne, continue comme ça, hmmm."
le mono-alexandrin : un nouveau concept ?
SupprimerHé ! Il y a au moins un illustre prédécesseur :
Supprimer"Et l'unique cordeau des trompettes marines"
Ismaël, vous êtes l'hôpital qui se fout de la charité, hein. Quand on clique sur votre pseudo, sur quoi tombe-t-on ? ALORS ?
RépondreSupprimerAlain, vous connaissez le grand carré blanc sur fond blanc, de Kasimir Malevitch ? Oui ? Alors moi, c'est pareil, mais en blogueuse, quoi.