(Cela étant, vous avez raison, je me rappelle surtout l'avoir fait dans mes jeunes années, notamment, avec d'autres garnements de mon quartier, à la porte de « la bonne femme qu'est pas commode » de la cage d'escalier du bout de notre hachélème. Cette dernière habitait certes au rez-de-chaussée, cependant, vu qu'il n'y avait pas alors d'interphones au bas de nos immeubles, il fallait quand même, pour atteindre la sonnette en question, monter une dizaine de marches. Autant dire que cette pitoyable facétie dont je rougis encore aujourd'hui avait des allures d'acte quasi-héroïque qui, rétrospectivement, m'étonne moi-même.)
Désolé, c'était trop tentant.
RépondreSupprimerJe vous vois assez bien, petit garçon, appuyer sur les sonnettes dans la rue et vous enfuir en courant...
RépondreSupprimerPourquoi seulement petit garçon ?
RépondreSupprimer(Cela étant, vous avez raison, je me rappelle surtout l'avoir fait dans mes jeunes années, notamment, avec d'autres garnements de mon quartier, à la porte de « la bonne femme qu'est pas commode » de la cage d'escalier du bout de notre hachélème. Cette dernière habitait certes au rez-de-chaussée, cependant, vu qu'il n'y avait pas alors d'interphones au bas de nos immeubles, il fallait quand même, pour atteindre la sonnette en question, monter une dizaine de marches. Autant dire que cette pitoyable facétie dont je rougis encore aujourd'hui avait des allures d'acte quasi-héroïque qui, rétrospectivement, m'étonne moi-même.)