Chez Nicolas, c'est triste ce matin. On parle de la mort d'un petit homme qui n'a pas eu beaucoup de chance dans la vie et qui a fini la sienne tout seul.
On sort de chez Mademoiselle S avec l'odeur du barbecue dans les cheveux ; c'est normal, c'est l'été. Mademoiselle S jette un regard furieusement féministe sur la burqa et nous parle avec son talent habituel des vrais problèmes, ne nous trompons pas de problèmes. Joli filet de plume, cette vilaine Mlle S. (et je n'avouerai jamais que j'aime beaucoup certains de ses commentateurs, surtout quand ils vont au grand galop)
Crêpe Georgette s'est fendue d'un très long billet dont le sujet est "pourquoi il ne faut pas punir une femme qui porte la burqa". C'est argumenté, intéressant, sérieux, et bien écrit.
Le Procureur du Peuple combat avec de plus en plus d'ardeur le réactionnariat qu'il détecte partout partout partout. Il n'a fait que quatre fautes dans son dernier billet , ce qui est très peu si on compare à d'autres mais assez ballot pour un "fétichiste de l'orthographe"
De très jolies photographies chez Catherine, qui a très bien saisi le lever du jour et ses brumes laiteuses, et merci aussi à Audine pour son "Graciles" qui m'a donné envie de rechercher tous les mots qui expriment une nuance de vert.
Sinon, j'ai découvert Un prof vide son cartable, de Charly un blog de prof vif et amusant.
On sort de chez Mademoiselle S avec l'odeur du barbecue dans les cheveux ; c'est normal, c'est l'été. Mademoiselle S jette un regard furieusement féministe sur la burqa et nous parle avec son talent habituel des vrais problèmes, ne nous trompons pas de problèmes. Joli filet de plume, cette vilaine Mlle S. (et je n'avouerai jamais que j'aime beaucoup certains de ses commentateurs, surtout quand ils vont au grand galop)
Crêpe Georgette s'est fendue d'un très long billet dont le sujet est "pourquoi il ne faut pas punir une femme qui porte la burqa". C'est argumenté, intéressant, sérieux, et bien écrit.
Le Procureur du Peuple combat avec de plus en plus d'ardeur le réactionnariat qu'il détecte partout partout partout. Il n'a fait que quatre fautes dans son dernier billet , ce qui est très peu si on compare à d'autres mais assez ballot pour un "fétichiste de l'orthographe"
De très jolies photographies chez Catherine, qui a très bien saisi le lever du jour et ses brumes laiteuses, et merci aussi à Audine pour son "Graciles" qui m'a donné envie de rechercher tous les mots qui expriment une nuance de vert.
Sinon, j'ai découvert Un prof vide son cartable, de Charly un blog de prof vif et amusant.
traîner
RépondreSupprimerdes tout juste
par moments
Je ne vois pas la quatrième.
Merci !
RépondreSupprimerBen et moi, je sens le pâté ? J'ai vendu du beurre aux Allemands pendant la guerre ?
RépondreSupprimerAntonia : dans le titre
RépondreSupprimerNicolas: pas de quoi !
Didier : vous, vous bénéficiez d'une incitation PERPETUELLE à aller vous lire. C'est ça, l'inconvénient, tant de qualité habitue le badaud au meilleur. Soyez donc mauvais et faiblard de temps à autre.
Et vous n'avez rien écrit aujourdhui, d'abord.
@ Suzanne : j'admets ne pas bien comprendre votre animosité contre Manuel, alors qu'il est bien plus proche de vos idées que Fabrice et moi.
RépondreSupprimerÉtonnant, tout de même...
Mathieu,
RépondreSupprimerC'est peut-être le plus soupe-au-lait...
@ Nicolas : soupe au lait, Manuel ?
RépondreSupprimerNnnooonnnnnnn...
J'aimerais bien que vous me disiez quelles sont "mes idées", Mathieu.
RépondreSupprimerprenez mes commentaires sur votre blog (sur ce qui touche à l'éducation, par exemple).
Quant à Manuel,avec son ton impératif, imprécateur, ses remarques humiliantes, sa vision manichéenne de tout et ses éternelles auto justifications (l'Homme Qui n'a Jamais Tort) il pourrait avoir exactement les mêmes opinions politiques que moi, défendre une même cause, que ce serait exactement pareil.
merci suzanne :)
RépondreSupprimerValérie : c'est normal, il vous arrive parfois de n'être pas trop mauvaise :)
RépondreSupprimer(hop, je m'absente pour la journée, je ne réponds donc plus aux commentaires, pardon)
C'est bon. La taulière s'est barrée. On peut raconter des conneries...
RépondreSupprimerMatthieu : le problème de Manuel, ce ne sont pas ses idées mais son sectarisme et, je me répète, son côté Fouquier-Tinville.
RépondreSupprimerJ'ai toujours pensé que, en raison de vos moqueries ("il est de droi-teu ! nananè-reu !"), il doit avoir tendance à en rajouter dans le progressisme le plus échevelé, afin de se dédouaner auprès de vous deux (je veux dire : Fabrice et vous) qui avez choisi le confort d'être de gauche.
Suzanne : comment ça, vous vous absentez POUR LA JOURNÉE ? Mais voulez-vous bien revenir ici tout de suite !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerUn peu de clémence ! Elle est peut-être au bistro, ce qui est très louable.
@ Suzanne et Didier : je crois surtout que Manuel réagit parce que c'est avec lui que vous êtes les plus durs.
RépondreSupprimerJe ne pense pas qu'il cherche à se justifier par rapport à nous. Il connaissait très bien les risques de ce blog collectif, et il s'assume totalement.
Pour vos idées, Suzanne, je vous laisserais les développer vous-mêmes. Vous le faites d'ailleurs très bien.
Didier, "choisir le confort d'être de gauche" ??? Qu'est-ce que cela veut dire ? Je vous rappelle quand même que la droite dirige très largement ce pays et que le seul président de gauche récent était issu de cette même droite. Le confort est du côté des dirigeants, il me semble...
De plus, choisit-on vraiment ses idées ou les subit-on ? Lourde question...
Mathieu,
RépondreSupprimerComme les vieux sont au bistro, j'interviens. Manuel n'est pas dur qu'avec Suzanne et Didier.
Pendant nos échanges (chez vous comme chez moi), à propos de la burqa, il n'a jamais dit "bon, c'est vrai, j'y vais un peu fort" mais a toujours chercher à se justifier, à en ajouter, toujours en ajouter, sans laisser le moindre pousse de terrain, sans un simple "oups ! Désolé, je me suis trompé dans le lien".
A la fin, ça gave parce qu'on se sent pointé du doigt (ou on sent les autres pointés).
@ Nicolas : il a pourtant écrit ça, le 21 juin :
RépondreSupprimer"En effet, je viens de m'apercevoir que j'avais mis le mauvais billet en lien...
Gouvernement ou non, cette initiative me déplaît, et c'est ce que j'écris dans mon billet, ça te dérange?
Pour le coup du LOmig, j'y ai peut-être été un peu fort, je te l'accorde..."
Bon, maintenant, je ne suis pas Manuel, et je ne veux pas le défendre, ni tenter de vous réconcilier.
C'est le problème des vieux : ils ont plus de temps pour aller au bistro...
Mathieu,
RépondreSupprimerIl n'a pas changé le lien et il m'a "accordé" un vague "j'ai fait un peu fort".
Tu as oublié de commenter ici (et donc de t'abonner aux commentaires). Si son dernier commentaire n'est pas une fin de non recevoir...
Mathieu,
RépondreSupprimerPas de soucis ! Je n'ai rien contre Manuel... Mais depuis cette affaire, je le connais un peu mieux !
Par ailleurs, je n'ai quasiment pas donné mon avis sur la burqa mais juste sur la mise en place d'une commission parlementaire.
La pauvre Suzanne qui ne voulait plus entendre parler de burqa...
Merci Suzanne.
RépondreSupprimerMathieu,
RépondreSupprimerPar ailleurs, oups ! Je ne voulais pas te demander de choisir entre Manuel et moi ! Ni même de dire du mal de ton pote...
Il se trouve que pendant le week-end, je me suis retrouvé avec des salves de deux types que j'aime bien, Rimbus et Manuel.
@ Nicolas : ce n'est pas la question, c'est que je pense que vous le méjugez, mais enfin...
RépondreSupprimerMathieu,
RépondreSupprimerTu vois l'ami, nous on voit le "personnage" du blog. On ne "juge" (heu... y'a pas procès) que le "personnage".
Et le jugement n'est pas aussi négatif que tu pourrais le penser. On constate un fait.
Tiens ! J'ai dit soupe au lait. Et alors ? Je ne suis pas le dernier à partir au quart de tour pour une connerie...
Mathieu: Je ne vais pas me mêler des différents Nicolas/Manuel.
RépondreSupprimerPersonnellement, je m'en fiche un peu de Manuel. Je ne vais sur son blog que pour rire de sa mauvaise foi, de ses attaques. (réactionnaire frustré du bulbe, qu'il m'avait dit, je ne remonte pas l'historique pour trouver l'emplacement exact).Disons que je le trouve assez prévisible et que je m'amuse de ses vantardises. Quand on traite les autres de frustrés du bulbe (c'est à dire de gens pas intelligents, non ?) et qu'on se pare soi-même d'un "fétichisme de l'orthographe" assez pointu pour en faire un billet alors qu'on écrit... euh, disons qu'on est largement perfectible, moi ça me fait rire. Grand amuseur, le Manuel. Peut-être très sympa dans la "vraie" vie, mais alors pas du tout sur le Net. Qu'il soit de droite ou de gauche, je ne vois pas ce qui peut en transparaître dans ses écrits, et ça n'a aucune importance à mes yeux, on ne fait que papoter. Il provoque, il attaque, il profère des jugements méprisants à l'emporte-pièce, eh bien il récolte quelques remarques ou quolibets en retour, ce qui n'est pas dramatique. On ne va pas vous le casser, ce petit.
@ Nicolas : je n'ai pas trouvé la salve de Manuel très violente, à part la comparaison avec LOmiG, mais il l'a reconnu, et je n'ai pas vu celle de Rimbus.
RépondreSupprimer@ Suzanne : mouais, en fait, vous êtes un peu tous pareils, finalement. L'un jette un os, les autres se ruent dessus et répliquent par plaisir, le jeteur d'os riposte brutalement, les autres répondent tout aussi brutalement.
Tant que tout le monde s'amuse, ça va, et qu'on en reste dans le simple papotage entre personnes de bonne composition. Cependant, tout cela a-t-il un intérêt ?
Manuel fait un billet qui ne vous plaît pas, soit, même si j'admets ne pas bien comprendre ce que lui comme vous avez à vous accrocher à ce point à cette histoire d'orthographe, mais enfin... Bref, vous frappez la première sur Manuel sous ce billet-là, en réponse à un commentaire de Fabrice. Pourquoi ? Vu que vous le considérez comme bloqué, comme vantard, comme méprisant à votre égard, quel intérêt ? Peut-être histoire de présenter vos propres convictions, sans doute aussi ancrées que celles de Manuel et ne souffrant point de discussion. C'est d'autant plus piquant que vous êtes d'accord avec Manuel, mais vous raillez l'aspect donneur de leçon du billet, en lui donnant une leçon sur son niveau d'orthographe.
Finalement, je crois que vous êtes bien plus proche tous les deux que vous voulez bien le dire. D'ailleurs, votre dernier commentaire est rempli de jugements.
Sur ce, j'arrête là. Je me suis mêlé de conflits qui ne me concernaient pas. Si Manuel lit ce billet, il pourra venir discuter avec vous de ces sujets...
"mouais, en fait, vous êtes un peu tous pareils, finalement. L'un jette un os, les autres se ruent dessus et répliquent par plaisir, le jeteur d'os riposte brutalement, les autres répondent tout aussi brutalement."
RépondreSupprimerMathieu: c'est quoi, cette histoire d'os ?
Il y a des mois que je me dispute avec Manuel, que je viens l'embêter sur son blog, qu'il me rembarre avec une certaine énergie et que je reviens à la charge.
En plus, je confonds souvent Manuel et Fébrice, c'est dire si je les lis attentivement. Ils ont bien raison de me trouver superficielle dans l'analyse de leurs billets.
Enfin, bref, vous avez fait votre devoir de loyauté.
Matthieu : je parle des idées de la gauche, pas de l'équipe au pouvoir (ce qui n'a aucun intérêt), des idées "sociétales" de la gauche : antiracisme institutionnel,Europe à tout crin, éloge de l'introuvable "multiculturalisme", mise au pinacle de toute minorité déviante quelle qu'elle soit, femellisation du monde, etc. En ce sens, la gauche a même réussi à gangrener la droite, qui tient désormais un vrai discours de gauche sans même s'en apercevoir. Bref, les idées de gauche sont dans le sens du vent... y compris à droite.
RépondreSupprimerMatthieu encore : le meilleur exemple de ce que je viens de dire (droite gangrenée par les "idées" de gauche), c'est encore Manuel, finalement !
RépondreSupprimer@ Didier : c'est marrant de dire que l'Europe est de gauche. C'est plutôt une idée chrétienne-démocrate à l'origine. Mais ce que vous constatez est un fait et démontre sans doute la valeur supérieure de nos idées !
RépondreSupprimerSmiley, smiley !
Désolée d'interrompre un débat fructueux..
RépondreSupprimer(quand je serai revenue, Mathieu aura été repéré et tiré du blogage par Sarkozy qui lui offrira un sous secrétariat d'Etat dans l'Education de sa Vlème République.)
après lecture articles et com :
RépondreSupprimerNi Suzanne, ni Monsieur Goux ne sont des tendres... allez donc savoir pourquoi... mais bon chacun ses trucs...
Jeffanne: je passe six blogs en revue en complimentant cinq d'entre eux. Le ton n'est pas convenable ?
RépondreSupprimerBof, ce n'était qu'une généralité sans grande importance, à propos d'un com qui me surprenais..... je n'ai pas dû le comprendre et, en conséquence, j'ai probablement marché dans le mauvais sens...
RépondreSupprimerJe ne viendrais pas chez vous si je ne vous appréciais pas...
Commentaire écrit pendant que la taulière était en vacances...
RépondreSupprimerJe frappe avant d'entrer, mais apparemment la taulière est en vacances...
Ca m'a beaucoup amusé de lire ces petits commentaires sur moi.
Je ne vais pas me justifier, ni même répondre à ce qui a été dit, Mathieu est un excellent avocat.
Il y aurait juste ce petit truc qui m'agace avec cette nécessité que vous avez à me mettre à droite saupoudré de gauche.
Manuel : oui, j'étais partie j'avais fermé les commentaires.
RépondreSupprimerJe vous ai assez embêté comme ça. Vous avez remarqué que je vous ai enlevé de ma blogroll, après que vous ayez "mis les choses au point" ?
En outre, je n'ai pas envie d'ennuyer un "fétichiste de l'orthographe" tel que vous. Je suis loin de posséder une grande maîtrise de la langue comme vous, voyez-vous, je blogouille comme je peux.
Par contre, je serais bien en peine de vous vous mettre à droite, ou à gauche, ou je ne sais où, vu que je m'en fiche car ce n'est pas du tout un critère d'appréciation des blogueurs pour moi. Je vous ai contredit, irrité, bouffé le cyberespace avec mes stupidités réactionnaires : eh bien c'est fini, je vous lâche la grappe, le mou, les basques et tout ce que vous voulez ! Bonnes vacances !
...après que vous avez, pas "ayez", pardon.
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