Je cherche un adjectif qui ressemble à hystérique, mais pour les hommes. Il n'y en a pas. Prostatique ? Bof. Tant de mâlitude, de violence machiste, de bêtise testotéronée, c'est non seulement incommensurable, mais innommable. Voilà, c'est dit. Ce blog, n'y allez pas. Je le mets en lien, mais ne cliquez surtout pas. Votre journée en serait gâchée. Vous ne croiriez plus en l'Homme, au progrès, en rien. Vous lui assureriez une publicité qu'il recherche, hélas, par tous les moyens. Vous créeriez, entretiendriez, nourririez un buzz nauséabond. Regardez ce que les féministes ont fait d'O...n, ce petit crétino-rappeur inconnu qui se tape grâce à elles une entrée en fanfare au Printemps des Courges.
Nous vivons une époque détestable.
Un blog de branleurs ?
RépondreSupprimerSuzanne, vous y allez bien vous sur ce blog pourquoi pas nous ?
RépondreSupprimerMerde ! je ne savais pas que j'avais été flashé !
RépondreSupprimerSinon, après "nauséabonds", vous avez oublié : "digne d'une sombre époque que l'on croyait révolue". Comment voulez-vous qu'on vous prenne au sérieux, après ça ?
RépondreSupprimerOlympe, ah, non, je n'irai plus jamais ! Je vous laisse vous débrouiller avec ces primitifs anencéphales. Un bataillon de féministes ne les ferait pas évoluer d'un iota, à mon avis.
RépondreSupprimerDidier : nauséabond, c'est assez fort comme ça. Un adjectif bonbon. Et puis, l'époque qu'on croyait révolue, là, ça ne va pas. Je vous vois venir avec votre grosse perche stigmatisante.
RépondreSupprimerOui et puis Suzanne vous n'allez pas vous faire dicter votre vocabulaire par un mâle nauséabond quand même.
RépondreSupprimerC'est une époque révolue ça.
Je cherche un adjectif qui ressemble à hystérique, mais pour les hommes.phallocrate adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel phallocrates )
RépondreSupprimerDefinition :
1. dont le comportement est autoritaire et dominateur à l'égard des femmes [Remarque d'usage: souvent péjoratif]
Synonyme: machiste
Synonyme: sexiste
Je n'ai pas cliqué ! La petite photo m'a suffit... beurk.
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerSi tu savais ce que je vais en faire de ma grosse perche !
Signé : Didier Goux.
Malavita : non non, il n'y a pas dans phallocratie le côté maladif de l'hystérie. Si les femmes sont hystériques, c'est qu'elles ont un utérus qui leur monte au cerveau et les rend folles.
RépondreSupprimerBitophrénie, Vergeophrénie ?
Catherine : vous avez bien fait.
RépondreSupprimer(quelqu'un peut gronder Nicolas ? Moi j'abandonne )
RépondreSupprimerAudine : bien dit, nom mais... il ferait beau voir, tiens !
RépondreSupprimerMoria, s. f. (lat. morio, bouffon).
RépondreSupprimerTrouble mental caractérisé par un mélange d'excitation euphorique et de jovialité avec disposition à la plaisanterie, signalé par Bruns et Jastrowitz dans les tumeurs du lobe frontal.
Si on trouvait une corrélation entre tumeurs frontales et hormones mâles, ça pourrait coller...
Nausée ? Ah bon ?
RépondreSupprimerOui, Jacques.
RépondreSupprimerMalavita : je retiens votre "moria" (comme quoi il y a des tumeurs presque bienfaisantes), mais les hormones mâles n'ont rien à voir là dedans.(hélas pour eux). La psychiatrie est encore un truc inventé par les hommes, c'est pourquoi tous les noms de maladie sont féminins. C'est dégoûtant.
RépondreSupprimerNon. On dit "une chaude lance" et "le sida" ce qui est la preuve que les choses sérieuses sont pour les hommes.
RépondreSupprimerOn dit LE Sida parce qu'à l'origine, on croyait que c'était une maladie d'homosexuels (qui, comme chacun sait, ne sont pas tout à fait des hommes). Et puis, il était question de maladies psychiatriques. Encore un commentaire hors sujet comme ça, et je vous modère. Non mais !
RépondreSupprimerMlle S. suggérerait sûrement "sévèrement burné" comme équivalent à "hystérique"... :-)
RépondreSupprimerSuzanne : c'est vous qui êtes hors sujet : la moria ne relève pas de la psychiatrie, mais de la neurologie.
RépondreSupprimerAh ah ! Elle ne fait plus le malin, la Suzanne, maintenant !
RépondreSupprimerGouine Mum : et l'équivalent du syndrome de conversion chez le mâle "sévèrement burné", ça ressemble à quoi ?
RépondreSupprimerMalavita, c'est bien ce que je disais: la moria n'est pas pas une maladie psychiatrique, c'est pourquoi ça ne va pas, je voulais trouver un pendant masculin à l'hystérie (qui elle, est psychiatrique) et donc, pas une maladie provoquée par une tumeur. (sinon, il y a l'hystrionisme, mais l'étymologie est sexiste, si, si.)
RépondreSupprimerParité à tous les étages, yapad'raison. (non mais)
( si ça se trouve, Malavita est psychiatre en vrai dans la vraie vie, et moi je pontifie comme si de rien n'était)
RépondreSupprimerS'il n'existe pas de pendant masculin à l'hystérie, c'est abomifreux : ça implique des différences naturelles entre mâle et femelle, on tombe donc dans l'essentialisme aveugle nauséabond des heures les plus sombres de notre histoire.
RépondreSupprimerCoup de bol existentiel, on décrit des cas d'hystérie masculine.
(si j'étais vache, je dirais que ça signe le déclin de l'Occident)
Malavita : mais pas du tout ! C'est juste une maladie inventée par gynophobie, du temps où Charcot et Freud faisaient des tas d'expériences douteuses en faisant tourner les tables et parler les morts.
RépondreSupprimerD'ailleurs, il semblerait que cette maladie existe de moins en moins, c'est dire, un peu comme la crise de foie ou la surdité due à la masturbation, et d'autres petits troubles comme ça.
Attation !!
RépondreSupprimerFreud était un cocaïnomane cosmopolite ; vous savez bien que ces gens-là ne sont pas comme nous...
Charcot, en revanche, était un vrai Français.
Malavita : ah, je n'avais jamais envisagé les choses sous cet angle. Mais maintenant que vous le dites...
RépondreSupprimer(on offre Lacan à la Suisse ?)
on offre Lacan à la SuisseContrepèterie ?
RépondreSupprimerSuzanne, je suis pliée de rire... je ne me risque pas à mettre un grain de sel de plus dans cette joute verbale... Dame dame... veux pas faire éclater la marmite... moi... surtout si je mets dedans tous les éléments énumérés ... quel pot-au-feu de mots, savoureux à souhait...
RépondreSupprimerQuelle photo...
Etait-il donc "facteur" ce gus pour soupeser ainsi son anatomie...(c'est un peu une phrase comme celle-là que l'on dit dans la France profonde)
Je me sauve, je dirais des bêtises
qui ne seraient sûrement pas appréciées par tous ces bloggeurs
par trop sélects ... des bloggeurs que j'aime bien en plus...
Pourvu que je puisses m'arrêter de rire....
Que cela fait du bien de se détendre...
Il y aurait donc l'hystérie féminine et...
RépondreSupprimerle flegme et l'élégance naturelle masculins ?
(Je viens de jeter un oeil aux deux autres tenanciers de ce blog de plouc (pas le vôtre Suzanne), c'était bien tenté mais personne ne va me croire)
Merci pour le lien.
RépondreSupprimerPourquoi ne pas utiliser le terme hystérique pour les hommes ? Je l'utilise pour ces comportements, d'une part c'est tout à fait approprié, et second effet c'est vexant pour les machos qui associent systématiquement féministes et hystériques !
RépondreSupprimerJe ne vois pas pourquoi utiliser un autre terme, il convient parfaitement.
Amicalement
Tiens ! J'ai reçu un mail m'indiquant qu'un message avait été déposé ici :
RépondreSupprimer"Nicolas a dit…
Un blog de branleurs ?
22 avril 2009 11:08 "
.
Tu l'as dit, bouffi."
Il a disparu.
Nicolas : je venais fermer les volets, et j'ai supprimé ce commentaire insuffisamment argumenté, à mon avis. J'engage la dame à aller murmurer chez vous des mots d'amour plus poétiques que ces derniers.
RépondreSupprimerMince ! vous avez même attiré la Gouine Mum ? Tous aux abris, bordel !
RépondreSupprimerDidier : mais non, pourquoi ? Tant que les gens sont discutants...
RépondreSupprimerMalavita : je suis nulle en contrepèteries, et même quand on me les a expliquées, je ne les trouve pas drôles en général.(Mais que cela ne vous retienne pas !)
RépondreSupprimerJe crois que ça l'a énervée !
RépondreSupprimer"(quelqu'un peut gronder Nicolas ? Moi j'abandonne )"
RépondreSupprimerPas moi non plus.
Faut être de sa rue pour qu'il vous accepte dans sa bande de rigolos. Passé le coin, t'es une étrangère immigrée, mais de celle qu'on ne veut pas voir rôder vers chez soi.