"Suzanne est un troll. Elle parle à la manière du spectacle une langue vide. On y perçoit un rien qui profite aux grands crimes de ce monde.
Vous êtes a un âge sans doute bien avancé. Peu de chances qu'on vous voit dépasser autrement la problématique de la vague. Sacrée débile...
Dans ce vaste champ de ruines qu'est le vieux monde il reste Suzanne...
Vos idées n'excèdent pas cette aliénation séculiaire. Vous parlez du point de vue d'un autre temps. Vous êtes déjà momifiée..." *
(Isa)
Vite vite, c'est là
Pour la dernière phrase, il manque juste un pied pour faire un alexandrin, dommage !
Age avancé, âge avancé, j't'en ficherai, moi...C'est quoi, ce racisme anti-vieux ?
Alors que...
Un alexandrin ? C'était pas douze syllabes, avant ?
RépondreSupprimerOui Nicolas: je pensais à
RépondreSupprimerdans ce vaste champ de ruines/ où meurt notre vieux monde
Je suggère:
Dans ce grand champ de ruines où meurt notre vieux monde
Une vieille Suzanne parle une langue vide.
On y perçoit un rien, un verbiage immonde
Un langage pousse-au-crime. Ce troll est trop stupide.
(mais est-ce à moi de faire tout le travail?)
Pour les détails techniques, voyez avec Didier Goux. Moi, la poésie, heu...
RépondreSupprimerDepuis que Didier s'est acheté une tondeuse, il blogue moins.
RépondreSupprimer(vous aurez quand même constaté que la poésie, moi non plus, ce n'est pas mon truc ...)
Oui, vous êtes bien un troll, on en devient un vrai quand on retourne à son chez soi pour faire une note sur le mal que l'autre a dit de soi.
RépondreSupprimerY a d'la nourriture quoi.
Sinon,
blablablablablablabla
blablabla
blablablabla,
voilà ce que j'en ai pensé.
Un débat sur le voile. Ah ça oui, ça commence à dater (elles sont du même temps que vous en fait ; comme quoi on peut être jeune et vieux).
Modestement, je peux dire que le temps n'a pas de prise sur moi, je suis entièrement plongé dans la contemplation, dans l'éternel.
Suzanne, c'est la gloire ! Et je comprends mieux, en voyant la photo, pourquoi mon Luminaire Céleste avait très envie de vous rencontrer...
RépondreSupprimerDorham: c'est malin, j'ai honte de blogger maintenant. En fait, je trouve ça rigolo sur le coup, quand on me traite de satan de troisième zône, surtout en pensant que si je discutais en regardant un rosier grimpant dans un jardin public avec le bloggueur en face, on ne se rendrait même pas compte ni l'un ni l'autre qu'on est ennemis mortels.
RépondreSupprimerOuahhhh ! Vous êtes placée où sur le top 50 des élues mondiales?
RépondreSupprimerCatherine, chuuut (en vrai, quoi qu'aussi blonde, je ne suis pas aussi... comment dire... elle est un peu trop jeune et vulgaire, non ? non ? ah, si....)
RépondreSupprimer"c'est malin, j'ai honte de blogger maintenant"
RépondreSupprimerMais non, pourquoi donc ?
Vous faites ça aussi bien voire mieux que d'autres...
Suzanne, c'est ce que les hommes aiment, non ? Enfin, qu'ils regardent avec des yeux de crapauds-morts-d'amour...
RépondreSupprimerMieux que le top 50, sirène chez Bolloré ^^
RépondreSupprimer"elle est un peu trop jeune et vulgaire, non ? non ? ah, si....)".
RépondreSupprimerOui, et sûrement très très conne:)
Catherine et Marine, oui!
RépondreSupprimer(mais depuis que le monde est monde...)
Vous oubliez la référence à la leçon de Deleuze "maman la vague m'a fait mal"...
RépondreSupprimeroui l'argument de l'age avancé est une façon inélégante de vous envoyer promener. vous aurez votre revanche Suzanne Ronsard déja l'annonçait
RépondreSupprimerDonc, si vous me croyez mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleure la vieillesse
Fera ternir votre beauté.
il va de soi que cela ne concerne que les donzelles puisque les hommes eux se bonifient en vieillissant
Olympe: oui.
RépondreSupprimerJe réponds la même chose chez Mlle S; ça me frappe toujours, limite si ça ne me coupe pas le sifflet, qu'un tel argument intervienne dans une discussions d'idées, sur le Net. En plus, c'est souvent asséné avec force, comme si c'était ce qu'il y a de pire, le truc qui tue: tu es vieux.
Ce type d'argument n'est guère étonnant de la part de quelqu'un qui écrivait "J'ai beau m'évertuer à le rappeller pas la moindre fille à mon actif alors que mon père, 66 ans, électeur de Sarkozy, homme aisé colectionne les maîtresses de mon âge...".
RépondreSupprimer(sur entrailles.fr le 13/08/08)
Ah tiens la dame sur la photo (enfin toi) attend son gyneco. Enfin je crois.
RépondreSupprimerNote que j'y ai eu droit sur mon blog avec un galopin qui a souligné que, si je ne comprenais pas Orelsan, c'était du à mon âge avancé. (bon après il a mis Ferré et Sardou dans le même panier et là tout s'est gâté).
Voilà qui me donne envie de chanter "Marquise, si mon visage à quelques traits un peu vieux,
RépondreSupprimerSouvenez-vous qu'à mon âge vous ne vaudrez guère mieux."
:)
CC
Œdipus: je vois que ce brillant commentateur vous a frappé au point de vous faire prendre des notes... Jolie citation, merci! Du coup, si je me dis que Isa a 17 ou 18 ans, il a le temps d'évoluer un peu, et je lui souhaite de tout cœur de trouver une "fille à son actif".
RépondreSupprimerValérie: forcément, l'âge venant, on devient dûr de la comprenette. D'ailleurs, il faut être en excellente condition physique pour mettre en œuvre le programme, les promesses d'Orelsan dans son hymne superbe à l'amour déçu. Un vieux de plus de trente ans qui ferait tout ça sans échauffement, il risquerait le lumbago.
Mince, j'ai dû faire hors sujet,
RépondreSupprimeril me semble que mon deuxième commentaire n'a pas passé la censure ! J'y parlais pourtant de Spinoza, un mec vieux, mort de surcroît, qui pense sans doute comme un con, et de l'école aussi, mais ça ne doit pas être le sujet.
D'ailleurs, quand il s'agit de se poser de vraies questions, dans le genre, tiens mais oui, c'est quoi donc l'école pour de vrai ? et à quoi ça sert donc ?, c'est la débandade si vous me passez l'expression.
Mieux vaut en effet déplacer le débat.
Suzanne: si Isa avait 17 ou 18 ans, il n'aurait rien de remarquable.
RépondreSupprimerIl a 40 (quarante) ans.
Non seulement vous êtes de malhonnête, mais vous jouez la grande vertueuse et disons-le vous vous repaissez d'être d'une persécution qui n'existe que dans votre imagination. Car vous avez, à dessein, coupé l'intégralité du commentaire. Qui est "Pauvre femme.... Qui ne dépassera jamais le premier niveau de connaissance. reportez-vous aux cours de Deleuze "maman la vague m'a fait mal"... Vous êtes a un âge sans doute bien avancé. Peu de chances qu'on vous voit dépasser autrement la problématique de la vague.". Qu'à votre âge avancé vous en soyez encore à une problématique enfantine passe encore, mais que vous utilisiez votre délire de persécution pour vous faire plaindre de vos amis, c'est à eux de s'en inquiéter...
RépondreSupprimerIsa
Oedipus Rex maintenant.. Vous avez mis en branle vos services de renseignements. L'affaire va loin et vous avez été malhonnête dès le départ ou vous êtes malade.
RépondreSupprimerC'est soirée "echange de troll" ?
RépondreSupprimerOuaouh!
RépondreSupprimerIsa: vous ne savez rien de mon âge avancé ou pas. Curieux, cette façon de s'obstiner. Vous avez un problème avec les vieux ?
Par ailleurs, je ne me sens pas du tout persécutée par vous, et je ne vous en veux pas le moins du monde: je me moque de ce que vous écrivez, ce n'est pas la même chose.
(psst: bonne chance avec Mlle S !)
Dorham: je l'ai vu, votre commentaire. (je savais bien que vous feriez un long et sérieux commentaire)
Kitus, c'est Isa, ou j'ai deux mécontents, là ?
Nicolas: jaloux, va !
William Burroughs pratiquait génialement le cut-up. Suzanne le pratique médiocrement: dans le but pathétique de s'attirer l'apitoiement de ses amis...
RépondreSupprimerIsa, tu vas venir sous combien de pseudos différents répéter la même chose ? Les gens qui ont envie de lire les 345 lignes de commentaires sur le sujet en cours peuvent consulter l'original sur Les entrailles de Mlle S. (mais le suprême des extraits du jour est ici)
RépondreSupprimerVous étiez prévenue que vous iriez vers toujours de négations...
RépondreSupprimerSuzanne : wouaouh ! je suis jaloux ! tous ces commentaires ! Et même cet Isa que tout le monde veut avoir comme troll, et que vous êtes seule à avoir réussi à attirer ! Il faut que vous sachiez qu'Isa, un jour, est tombé sur un livre de Deleuze (que plus personne ne lit, comme vous le savez). Lui, il en est resté là, il n'en revient pas. Du coup, il cite. a contre-temps, à contre-exemple, à contre-n'importe qui, c'est sans importance : ce qui compte, dans un commentaire, c'est de placez le nom magique : DELEUZE. Après ça, il est content le p'tit Isa : il a fait son boulot, il a montré qu'il connaissait un auteur (ce qu'il prend pour un auteur, c'est à dire).
RépondreSupprimerBon, sinon, oublions ce retentissant imbécile, et revenons aux choses importantes, c'est-à-dire à l'alexandrin.
« Dans ce grand champ de ruines où meurt notre vieux monde »
Une syllabe de trop, dans celui-ci, désolé d'avoir à vous le dire. Il faut travailler.
Quant à dorham, ne lui en veuillez pas : il a femme et enfants, qui résisterait à une pression pareille ?
Didier: s'il n'y avait que Deleuze! Quinze posts d'Isa, quinze citations. Je pense qu'il invente la plupart de ces citations, d'ailleurs.
RépondreSupprimer"Comme l'écrivait Machin-chose..."(mais tu ne l'as pas lu, tu es trop bête pour comprendre)
Pour l'alexandrin, j'ai recompté sur mes doigts
Dans ce grand champ de ruines =6 (à moins de dire ru-ines)
Où meurt notre vieux monde =6 (à moins de dire vi-eux)
Je n'en veux jamais à Dorham: même quand il a le ton sec ou quand, au contraire, il fait des paragraphes si longs, si longs, il est gentil et accueillant.
Tiens, j'ai supprimé des commentaires avec des gros mots.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerC'est vous qui m'en voulez, je ne peux quand même pas m'engueuler qu'avec vous...
Suzanne,
(oui, finalement, pas de censure) Vous allez être ravie, j'ai encore fait plus long et plus sérieux. A paraître prochainement :)
Suzanne : le mot ruines étant au pluriel, vous devez prononcer le e et faire la liaison du s :
RépondreSupprimer« Dans ce grand champ de rui-nes z'où meurt notre vieux monde
Du coup, il devient très laid !
Ah, oui, vous avez raison ! Bon, il était très laid sans ça. Et puis, si c'est un champ de ruines, c'est qu'il est déjà mort, le vieux monde. Le champ de ruines, c'est le vieux monde, alors, il ne reste plus personne , sauf...
RépondreSupprimerLa solitude, vaste, épouvantable à voir
Partout apparaissait, muette vengeresse.
(Victor Hugo, hélas)
Je ne voudrais pas jouer les chieurs de service, mais, faisant suite à Didier Goux, je signale (respectueusement) que :
RépondreSupprimerUne vieille Suzanne parle une langue vide
ça fait treize syllabes. Quant à :
Un langage pousse-au-crime. Ce troll est trop stupide
ça en fait quatorze.
Pour le reste (qui n'a certes rien à faire ici, mais, vous m'excuserez, je n'ai pas les idées bien claires, ce soir), vos arguments concernant l'expression "gens du voyage" ne m'ont guère convaincu. Si ça ne vous fait rien, je vous en recause chez le sieur du Plessis dès que j'ai retrouvé mon chemin pour m'y rendre.
Chieuvrou : Je vous crois sur parole, je ne recompte pas.
RépondreSupprimerC'est ça, l'alexandrin moderne. Il faut vivre avec son temps. On mange les E, on hache un peu le reste et au final, pas de souci, on a de l'alexandrin slammé. Vous ne connaissiez pas ? Non ?
Pas d'accord, Chieuvrou
RépondreSupprimerOn dit :
U-ne-vieill-e- Su-zann'/ par-l'un- e-lan-gue-vid'
Ce qui fait douze, et n'enlève rien à la grâce superbe de cette poésie très relevée.
Isabelle T.
Isabelle T., désolé de vous contredire, mais l'élision de l'e muet final n'est permis, à ce qu'il me semble, que devant une voyelle ou, bien sûr, à la fin d'un vers. La prononciation que vous suggérez (U-ne-viei-lle- Su-zann'/ parl'-u-ne-lan-gue-vid') revient par le fait à transformer ce qui se voulait un alexandrin en deux hexasyllabes.
RépondreSupprimerJ'ajoute que le fait que « Suzanne » soit un prénom ne change rien à l'affaire, comme l'illustre d'ailleurs, à titre d'exemple, le petit poème suivant de Charles Guérin (1873-1907) :
Les chats trempent leur langue rose
Au bord des soucoupes de lait ;
Les yeux fixés sur le soufflet,
Le chien bâille en songeant, morose.
Et tandis qu'il songe et repose
Près de la flamme au chaud reflet,
Les chats trempent leur langue rose
Au bord des soucoupes de lait.
Dans le salon, seul le feu glose ;
Mère-grand dit son chapelet,
Suzanne dort sur un ourlet,
Et dans le lait, paupière close,
Les chats trempent leur langue rose.
L'élision n'est permise, voulais-je naturellement dire, et plus encore écrire.
RépondreSupprimerMerci Chieuvrou pour ce charmant petit poème qu'on imagine tout a fait recopié dans son cahier de poésies par un écolier qui tire la langue, avec l'illustration sur la page d'en face...
RépondreSupprimerIsabelle: c'est Chieuvrou qui a raison, évidemment.
J'essaierai de faire attention la prochaine fois.(Vivent l'alexandrin et la prosodie!)
Les qualificatifs "petits" pour "limaces" et "cons" renvoient à la prétendue supériorité qu'on tire de son âge, avancé. A ce compte là la riposte est bien evidemment à la hauteur. Les gens qui s'étonnent de la cruauté en temps de guerre sont de grands naïfs encore.
RépondreSupprimerEt cette naïveté est tout compte fait "touchante".
Le temps que vous avez passé dans les bras des hommes Suzanne, d'autres l'ont passé à lire infatigablement. Ils en tirent quelques citations là où où l'on tirait. Avez-vous eu du plaisir. Puissiez-vous encore en avoir.
Erratum: "Ils en tirent quelques citations là où l'on vous tirait."
RépondreSupprimerKitus-lsa : eh, on est très bien dans les bras des hommes, vous savez ! Au moins aussi bien que dans les pages d'un livre. Vous verrez, quand vous connaîtrez ces petits plaisirs de l'existence...
RépondreSupprimerbon, je suis donc chez la fameuse Suzanne....
RépondreSupprimer:)
ce que vous racontez-là m'intéresse, il m'est arrivé à peu près la même avec wildo suite à un échange assez "musclé" à propos d'un doc.sur la prostitution (bref) et j'ai été surprise que pour défendre ses arguments et me déstabiliser (normal) elle utilise les ficelles de base d'un macho "de base" en me définissant comme "femme mûre"....elle , féministe revendiquée.
curieux.
Et donc je suis d'accord avec vous.
Sauf MmeClooney que Suzanne n'a pas été traitée de femme d'âge mur. On s'étonnait simplement qu'à son âge elle en soit encore à la problématique du premier genre de connaissance Deleuzien "ah maman la vague m'a fait mal". Mais si vous persistez à croire que c'est à votre maturité qu'on s'en prend c'est que vous l'assumez bien mal et que vous vous sentiez ainsi persécutées relève de la pathologie et pas de la rhétorique.
RépondreSupprimerMais chère kitus/isa, nous parlons donc de la même chose...je faisais aussi référence à ce commentaire là que je trouvais très juste :
RépondreSupprimer"...ça me frappe toujours, limite si ça ne me coupe pas le sifflet, qu'un tel argument intervienne dans une discussions d'idées, sur le Net. En plus, c'est souvent asséné avec force, comme si c'était ce qu'il y a de pire, le truc qui tue: tu es vieux."
C'est tout, pour le reste, c'est gentil de vous inquiétez mais je vais gérer...
Mrs Clooney, bonjour.
RépondreSupprimerlsa est un homme apparemment,un "il" . De ce qu'il raconte quand il courtise les demoiselles sur le blog de Mlle S, il a/aurait une quarantaine d'années. Je l'ai pris d'abord pour un tout jeune homme qui essayait de faire des phrases brillantes comme un oiseau qui gonfle ses plumes sur la branche, en face des oiselles. Il n'aime pas les vieilles femmes, mais vieille ça commence assez jeune chez lui. A 27 ans, on a "déjà" 27 ans. Je ne vois pas de mal en soi à draguer des filles les plus jeunes possible, à flirter, roucouler, vive l'amour .
Mais bon, qu'est-ce qu'il raconte comme bêtises... et les bêtises, on les lui passerait, mais les méchancetés ! Il a peut-être beaucoup souffert, mais il ne sait pas se conduire.
lsa : une fois encore (et après, je te demanderai gentiment d'aller t'exprimer ailleurs),c'est débile de venir sous des tas de pseudos. Je me suis moquée de ce que tu écris sur un blog, pas de ton âge, de ta voiture, de ta petite taille, de ta calvitie,du fait que tu vives chez tes parents, de tes tristes fesses ou je ne sais quoi encore.
Le genre "j'ai lu tout Deleuze et je me la pète", ça va à 17 ou 20 ans, mais après, Dieu que c'est pénible...
C'est bien ce que je pense : perception de ce qui l'environne qui relève de la pathologie...
RépondreSupprimerNous préférons citer Deleuze et d'autres auteurs que de nous en référer à vos arguments qui courrent toujours obstinément au ras des paquerettes. De bien jolies fleurs en vérité.
Vous me faites penser à ce professeur de philosophie qui dit à propos d'un élève "a atteint les profondeur de la débilité mais creuse toujours"...
....
RépondreSupprimerC'est de ma faute, aussi.
Je me moque des andouilles, et après, je me plains qu'ils soient andouilles.
ça m'apprendra.