J'ai failli écrire à Didier Goux pour m'auto-dénoncer afin qu'il me flagelle dans ses moderneuneus.
On ne devrait pas relire ses commentaires.
Enfin, moi je ne devrais pas, mais il y en a surtout certains que je n'aurais pas du écrire, ou pas comme ça... Comme celui-là, chez miss Elodie: "On fait encore le grand écart avec une jambe du côté du féminisme pur et
dur, et une autre du côté de "ne stigmatisons pas le garçon arabe au
nom d'un féminisme instrumentalisé qui fait le jeu des racistes
d'extrême-droite."***
Le plus étonnant est que les jambes ne se soient pas encore désarticulées, depuis le temps."
Ce
n'est pas que je veuille me vanter en réclamant la palme de l'auto-dérision, mais quand j'ai relu cette belle envolée une heure après, je me suis fais éclater de rire toute seule, à cause de
l'image évoquée par ce grand écart.
Je vais mettre moins de café dans mon calva, le café, ça énerve.
*** Voir le commentaire de Chieuvrou, plus bas
C'est pour cela que vous n'êtes pas une vraie réactionnaire : parce que vous connaissez les mérites de l'auto-flagellation... Bravo. Vous êtes désormais mûre pour intégrer une communauté chrétienne : je m'en occupe tout de suite et je vous tiens au courant...
RépondreSupprimereuh... je crois que je vais aller faire des crêpes, finalement !
RépondreSupprimerC'est possible d'en faire dans les communautés... Voyez ? Tout s'arrange.
RépondreSupprimerVade retro, papiste, calotin !
SupprimerOh oui, on va se faire un grand crêpes-party !
SupprimerCatherine, il veut nous envoyer faire des crêpes au couvent...
SupprimerEn plus de crêpe à voile, il n'y a qu'un pas…
SupprimerVive les mantilles ! (et les sombreros...)
SupprimerOui j'avoue que la métaphore du grand écart était... hum... comment dire...
RépondreSupprimerN'est-ce pas ?
SupprimerOui et je dois bien reconnaître qu'il m'a été difficile de m'en détacher pour te répondre. D'où mon modeste "oui"...
Supprimer(et aucun vil macho de passage n'en a profité pour se livrer à quelques judicieuses plaisanteries. Le frisé de la Comète a du se couper un autre doigt, et il ne peut plus clavioter. Ou alors il est occupé avec son affaire de classements de blogs, et il ne pensera qu'en fin de réflexion c'est à dire tard le soir à lire un ou deux blogs qui ne soient pas des blogs de gars)
SupprimerPas de vil macho pour l'instant
SupprimerHé ho ! Laissez moi finir ma bière, les grosses.
SupprimerJe suis partante pour les crêpes, si tout le monde lève la patte et met un tutu.
RépondreSupprimerLe tout en faisant sauter la crêpe comme à la chandeleur, bien entendu ?
SupprimerMais mais mais !!!! C'est une maison sérieuse, ici, madame !
Ce trait d'union à extrême droite a effectivement de quoi laisser perplexe, mais, bon, de là à éclater de rire…
RépondreSupprimerChieuvrou: je ne suis plus à un ridicule près!
Supprimer(et en plus, on me l'a dit, on me l'a répété... mais dites, pour le grand écart, on ne pourrait pas le considérer ce trait d'union comme un petit coussin, quelque chose de confortable pour ce qu'il y a entre ces deux jambes extrêmement écartées ?)