C'est la grande poste, en plein centre de Rennes. Comme il y a des dealers sous les arcades et sur le parvis, eh bien... « Il faut fermer les arcades. Les « vitrer »
en y favorisant l'installation de petites cellules commerciales. Cela
permettra d'éviter les allées et venues. Les dealers ne pourront plus
utiliser cet espace pour organiser leur trafic." (Ouest-France - 18 septembre)
les dealers ne sont-ils pas en eux-mêmes des "petites cellules commerciales" ?
RépondreSupprimerCe baiser flottant m'évoque l'enfant de la haute mer.
Mère Castor, ah, oui pour Supervielle.
RépondreSupprimerVous nous racontez quoi, là ?
RépondreSupprimerVitrer ou vitrifier les dealers ?
Confiner les amoureux dans des "petites cellules commerciales" ?
Ou les mettre sous verre comme la photo des noces des anciens qui prend la poussière sur la commode ?
Excusez-moi, je ne suis pas très réveillé.
Bon, je sors…
Oh, Plouc, 2010, ce n'est pas si vieux. Ces amoureux ne mériteraient pas de prendre la poussière.
SupprimerPour le reste... ça se passe de déclarations et de commentaires, non ?
C'est triste en soi
Avant, les dealers étaient sur une autre place. Depuis qu'on y a mis la video surveillance, ils sont venus ici, et dealent (et pas que du cannabis!) entre les policiers municipaux et les CRS, qui stationnent à demeure. On ne peut pas dire qu'on manque de police de proximité, il y a des moments où il doit y avoir plus de flics que de dealers. Ouvertement, en plein jour. On les voit. C'est un peu bizarre.
Alors, le petit commerce salvateur...
Vitre, un abris.
RépondreSupprimerfenêtre vitre fous cacher ici ?
Supprimer- Was ist das ?
Supprimer-Petite fenêtre.
Malavita: Ave (lux fiat)
Supprimer(il n'a pas osé le cri de la brebis qui , au retour de la transhumance dans les Alpes Suisses, aperçoit les tours de la bergerie de son château breton et s'écrie "bêêê, Vitré !"
Supprimer(à propos de Richard Millet)
SupprimerEt voilà qu'il publie un pamphlet au titre pour le moins douteux : "Eloge littéraire d'Anders Bêêê Vitre"
C'est à cause de ce pamphlet qu'on chercha à Millet des poux dans la tête. Pouilleux, Millet ? Peut-être, mais que dire de ses détracteurs ? (elle a des lentes, Ernaux)
SupprimerEt c'est pas parce que Millet est édité par le fils de Dominique de Roux qu'il faut qu'elle jette les Cahiers de L’Herne au feu, Annie.
SupprimerEt voilà, je sèche lamentablement... je cherche la fenêtre ou le vitrier !
Supprimer(j'ai vérifié sur wikipédia que Dominique de Roux n'a pas édité un roman de Millet intitulé "L'Ange est lu", mais non)
SupprimerPierre-Guillaume de Roux a publié De l'antiracisme comme terreur littéraire.
SupprimerIl est le fils de Dominique de Roux, un des fondateurs de L'Herne, les Cahiers de L'Herne étant une des collections de cette maison d'édition.
Il n'y a ni fenêtre ni poux, rien que les cahiers de l'Ernaux feu.
"Il n'y a ni fenêtre ni poux, "
SupprimerForcément, comment voulez-vous que je m'y retrouve, alors ?
(mode totale mauvaise foi "on")
Putain, mais vous êtes tous passés au crack ou bien ?
SupprimerMadame, je pense que vous avez raison de tenir ce blog. L'échange ci-dessus est aussi stimulant que vos engagements en faveur de la liberté d'expression ou des enfants roumains dont on détruit les cabanes ou encore des deux clodos aux chiens. Je crois qu'un moineau vient de lâcher une fiente sur votre vitre et qu'il y a sûrement matière à billet. Courage et tenez bon, la mort vous sera un belle délivrance.
SupprimerMerci Léon pour cet intérêt charmant envers ma modeste personne et mes œuvres, plus modestes encore. Je n'en mérite pas tant.
Supprimer"La mort vous sera une belle délivrance".
tiens, c'est gentil... et pas faux.
Je demande à la mort la paix, les longs sommeils,
Les chants des Séraphins, leurs parfums, leurs guirlandes,
Les angelots de laine en chaudes houppelandes,
Et j'espère des nuits sans lunes ni soleils
Sur d'immobiles landes.
Mais Vitré, ça existe déjà en Bretagne, non ? Il n'y a qu'à y transporter tous les dealers rennais, et puis c'est marre !
RépondreSupprimerOn ne manque pas d'ilots non plus, où on pourrait les envoyer priser le varech. Mais l'gouvernement y veut pas.
SupprimerJe proteste, pas pour les dealers (quoi que ...)mais parce que,
RépondreSupprimerde l'amoureuse, on ne voit que les pieds !
Peynet, au moins, dessinait les deux.
Même Dubout avait l'élégance de représenter Madame.
Bon, je n'sais pas si "élégance" est le mot qui convient ...
Solveig, cliquez sur le lien qui explique comment j'ai pris la photo, j'explique tout ! (et puis, prendre de face des amoureux qui s'embrassent dans la rue, je n'oserais pas)
RépondreSupprimerMais bien sûr ! ... du coup ma (feinte) indignation
RépondreSupprimerretombe comme un soufflé, vitrifiée.
Mille z'excuses.
Solveig, il n'y a que 461 billets et 28 356 commentaires sur mon blog, phare de la blogosphère. Je suis douloureusement peinée que vous ne les ayez pas tous lu, retenus. (Je vous accorde un délai pour le faire. Jusqu'à demain, disons.)
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