Sachons lire les images et interpréter les messages qu'elles contiennent.
Nous avons là des chaussures de réforme, dont la semelle intérieure est composée d'écrits. Elles ont fait leur temps, on les abandonne pour un projet rose. D'autres chaussures les remplaceront, elles seront plus légères, sans doute moins coûteuses, mais elles sont encore en magasin, promises par une marque standardisée, bon marché, non élitiste. Seront-elles mieux, moins bien ? On ne le sait pas encore.
ha .....les chaussures dont la semelle intérieure est remplacée par du papier journal, ça sent la très grande précarité en général , on ne les abandonne pas sur le bord de la route, on les garde! un peu comme la basquète du journaliste irakien , celle qu'il avait balancé sur dobeul iou , il s'agissait d'un homme prénommé mountaser , pour le patronyme, je sèche
En zoomant sur la deuxième photo, on lit fort clairement, sur le papier journal qui tient lieu de semelle : "Hippisme. Grand prix de la ville d'Ecouflant."
Vous avez un coup de pompe ?
RépondreSupprimerPoint.
RépondreSupprimerSachons lire les images et interpréter les messages qu'elles contiennent.
Nous avons là des chaussures de réforme, dont la semelle intérieure est composée d'écrits. Elles ont fait leur temps, on les abandonne pour un projet rose. D'autres chaussures les remplaceront, elles seront plus légères, sans doute moins coûteuses, mais elles sont encore en magasin, promises par une marque standardisée, bon marché, non élitiste. Seront-elles mieux, moins bien ? On ne le sait pas encore.
La métaphore est pourtant claire, non ?
(Ah, non, je n'ai pas bu ! )
Un projet rose ?
RépondreSupprimerCe seraient donc des chaussures de Socialiste ???
Solveig: elles ont connu la défaite de 2002...
Supprimerha .....les chaussures dont la semelle intérieure est remplacée par du papier journal, ça sent la très grande précarité
Supprimeren général , on ne les abandonne pas sur le bord de la route, on les garde!
un peu comme la basquète du journaliste irakien , celle qu'il avait balancé sur dobeul iou , il s'agissait d'un homme prénommé mountaser , pour le patronyme, je sèche
"en général , on ne les abandonne pas sur le bord de la route, on les garde!"
SupprimerSauf si elles vous ont trop fait souffrir. Celles-là n'iront pas au paradis des souliers de Félix Leclerc.
En zoomant sur la deuxième photo, on lit fort clairement, sur le papier journal qui tient lieu de semelle : "Hippisme. Grand prix de la ville d'Ecouflant."
RépondreSupprimerComme par hasard.
Ali Devine: je cherche le rapport... Voyons voyons... (du coup, j'ai appris sur Ecouflant et son hippodrome des choses inutiles)
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