Ça chauffe au Mali. Je plains les Maliens.
Il y a quatre ans, j'ai rencontré un écrivain avec qui j'ai discuté au salon des Etonnants Voyageurs, à Saint Malo, en 2008. C'était le bibliothécaire de Bamako, Ousmane Diarra. Je l'ai raconté dans un billet de septembre 2009, au moment où le Parlement Malien proposait un nouveau code de la famille assorti d'une lutte contre l'excision et devait faire face à une opposition islamique vigoureuse.
Aujourd'hui, France-Culture est au Mali. Son nom n'est pas mentionné dans la liste des participants de la journée.
Je me demande ce qu'il fait, comment il vit. S'il est toujours en vie, déjà.
Mais il est noir !
RépondreSupprimerMoins que vous après huit heures du soir !
RépondreSupprimerC'est malin.
Supprimer(cékikacomencé ?)
SupprimerQuestion débile => aucun moyen de le contacter ou de le retrouver sur la toile?
RépondreSupprimerJ'ai cherché rapidement. J'ai pensé envoyer un mot à son éditeur, mais je ne connais pas cet écrivain plus que ça, il ne doit pas se souvenir des lecteurs avec qui il a discuté lors d'un festival où il y a beaucoup de monde.
RépondreSupprimerOui c'est sûr, mais comme tout auteur, il doit apprécier qu'on prenne de ses nouvelles ;-)
SupprimerEt puis si ça se trouve, peut-être qu'il a la même mémoire qu'Amélie Nothomb qui, d'un salon à l'autre et parfois des années plus tard, se souvient presque de chacun-e de ses fans!
Ah, j'ai mieux cherché, il écrit toujours dans les journaux, en tout cas :
Supprimerhttp://sergepacomeabonga.blogvie.com/2012/12/13/mali-lafrique-condamne-la-%C2%ABderive-fasciste%C2%BB-de-sanogo/
Ah ben voilà!
SupprimerCet écrivain me laisse de bons souvenirs de lecture; tenez-nous donc au courant. Sympa de penser à lui!
SupprimerComme tout LE nègre que vous connaissez.
RépondreSupprimerSuzanne, comme c'est triste d'avoir à se poser ce genre de question.
RépondreSupprimerTant mieux si vous avez retrouvé sa trace.
Solveig, oui pour tout.
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