J'aime beaucoup l'humour et le détachement sur les choses de la vie de Philippe Meyer. Son émission "la prochaine fois je vous le chanterai" est un régal. Et merci de votre petit mot.
...et officie sur cette même station le dimanche matin à l'heure de la messe, avec différents acolytes « commentateurs de l'actualité », dont l'indéboulonnable Max Gallo (lequel, peut-être pour expier son passé socialisant, n'en finit pas de chanter les louanges de la politique de Nicolas Sarkozy, en accumulant pour l'occasion – mais sans doute s'agit-il là d'un modeste hommage du docte académicien à sa nouvelle idole – les fautes de français).
Chieuvrou: vous avez dans vos commentaires fins et fleuris quelque chose de Philippe Meyer. D'ailleurs, parfois, je me demande si vous n'êtes pas lui. Max Gallo est bien vieux. Jetons sur lui une cape charitable. Tiens, je pense à la cape de l'abbé Pierre, à propos de vieillards qui causent un peu contre eux dans la fin de leur vie. Cette cape fut rendue aux pompiers après sa mort, puisque c'était un pompier qui la lui avait offerte. Max Gallo a été cité en exemple à des générations de lycéens de lycées professionnels, c'était (euh, c'est) un p'tit gars du peuple qui a fait son chemin avec un bagage d'ouvrier.
Quel texte !
RépondreSupprimer(Bien vu.)
Oh, mon Dieu ! Merci de ce bon moment au bout du lien, Suzanne!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup l'humour et le détachement sur les choses de la vie de Philippe Meyer.
RépondreSupprimerSon émission "la prochaine fois je vous le chanterai" est un régal.
Et merci de votre petit mot.
Philippe Meyer tient chronique tous les jours sur France Culture, à huit heures moins cinq...
RépondreSupprimer...et officie sur cette même station le dimanche matin à l'heure de la messe, avec différents acolytes « commentateurs de l'actualité », dont l'indéboulonnable Max Gallo (lequel, peut-être pour expier son passé socialisant, n'en finit pas de chanter les louanges de la politique de Nicolas Sarkozy, en accumulant pour l'occasion – mais sans doute s'agit-il là d'un modeste hommage du docte académicien à sa nouvelle idole – les fautes de français).
RépondreSupprimerBôsh ?
RépondreSupprimerLa Pecnaude: oui, mais sans accent, je crois.
RépondreSupprimerChieuvrou: vous avez dans vos commentaires fins et fleuris quelque chose de Philippe Meyer. D'ailleurs, parfois, je me demande si vous n'êtes pas lui.
Max Gallo est bien vieux. Jetons sur lui une cape charitable.
Tiens, je pense à la cape de l'abbé Pierre, à propos de vieillards qui causent un peu contre eux dans la fin de leur vie. Cette cape fut rendue aux pompiers après sa mort, puisque c'était un pompier qui la lui avait offerte.
Max Gallo a été cité en exemple à des générations de lycéens de lycées professionnels, c'était (euh, c'est) un p'tit gars du peuple qui a fait son chemin avec un bagage d'ouvrier.