vendredi 2 octobre 2015

Les femmes sont meilleures que les hommes







 Il n'y a pas de femme tueur de masse.


Les femmes commettent moins de crimes, moins d'agressions,  moins de violences, moins de délinquance, et pas  de crimes de masse. Indépendamment de leur ethnie, du pays où elles vivent. 

C'est tout.




62 commentaires:

  1. Sauf madame Thatcher bien-sûr, vous avez raison, point de dictatrice, point de tueuses à gage, sauf dans mes romans policier...

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    1. Et allez, on ressort le vieux poncif de gauche à la con sur Miss Maggie, éculé au delà du raisonnable.

      Point de tueuses à gages dites-vous ? Les services secrets russes et américains ont été les premiers à en former, d'autres nations ont suivi.

      Pas de dictateur ? Au sens moderne du terme, c'est à dire celui qui exerce le pouvoir à la suite d'un coup d'Etat et devient dirigeant à vie, non. Mais il y a des exemples. Nginga Mbandi reine de Ngola en dépit de son titre a exercé un pouvoir vraiment dictatorial, tout comme Tseu-Hi en Chine qui en dépit de son titre d'impératrice douairière a exercé le pouvoir d'une main de fer dans un gant d'acier. on pourrait aussi parler de Catherine II de Russie, de Marie-Thérèse d'Autriche qui n'ont aps été des modèles de douceur.

      Sinon, quelques exemples :

      Le 29 janvier 1979, Brenda Ann Spencer, une lycéenne âgée de 16 ans, ouvre le feu depuis sa fenêtre sur les personnes présentes dans une école élémentaire à San Diego en Californie. La jeune femme équipée d'un fusil de chasse tue deux personnes adultes et fait neuf blessés, dont huit enfants.

      Le 30 octobre 1985, Sylvia Seegrist, une femme de 25 ans, ouvre le feu dans un centre commercial de Springfield (Pennsylvanie). Trois personnes trouvent la mort dont un enfant âgé de 2 ans. Sept autres seront blessées.

      96% des tueurs de masse sont des hommes, mais dire qu'il n'y a pas de femmes, y compris chez les tueurs en série (Belle Sorenson Gunness, Charlene Williams, Aileen Wuornos, Karla Homolka, Bervely Allitt, Hélène Jégado, Magdalena Solís, Vera Renczi, Rosemary West, Jeanne Weber,...), c'est tout simplement une falsification.

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    2. Koltchak, tueur de masse et tueur en série, ce n'est pas la même chose.

      Un tueur en série commet plusieurs meurtres mais pas en même temps.

      Ok pour vos exemples, Brenda et Sylvia. La définition de tueur de masse, c'est tuer au moins quatre personnes, mais quand l'intention y est, on ne va pas pinailler.
      Néanmoins, si on compare aux tueurs en série masculins, c'est vraiment peu de chose.

      Je me doutais bien qu'on allait me ressortir Thatcher et Catherine de Russie, et il y a certainement en ce moment, dans une tribu loin de chez nous, une reine sanglante qui commet des horreurs. Sans parler de madame le Maire de Saint-Machin, en Vendée, qui fait régner la terreur sur ses administrés, humilie et dénonce au fisc ses amants déchus.

      MAIS, dans l'ensemble...

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    3. Winnie Mandela par exemple de "reine" tribale qui a fait régner la terreur dans les townships au faîte de sa gloire.

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    4. Et sinon JeanMi, les protestants morts lors de la Saint Barthélémy rigolent bien de là où ils sont en lisant votre commentaire. Bon c'est vrai, comme toutes les femmes, Catherine de Médicis n'a pas exécuté son forfait directement, elle a suggéré à d'autres de donner les ordres.

      La violence féminine est sournoise, elle ne se voit pas.

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    5. Ceci dit, la Saint-Barthélémy était tout à fait justifiée. Car quoi, quel état peut accepter qu'une fraction de la population noue des alliances diplomatiques et militaires avec une ou plusieurs puissances étrangères en guerre avec le pays ?

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    6. Bah quand la majorité du pays envisage de vous exterminer, ça me semble tout à fait justifier.

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  2. moins, ce n'est pas pas ou point !

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  3. Si j'ai bien lu, j'ai vu "pas de crimes de masse" et point "moins"... Mais bon...

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    1. oui, j'ai écrit "pas".

      Crime de masse, tuerie de masse, c'est tuer quatre personnes au moins, la plupart du temps sans mobile apparent.
      Koltchak a cité deux cas où l'intention y était, mais il n'y a pas à ma connaissance, de crime commis par une femme équivalant aux derniers crimes de masse aux USA, par exemple.

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  4. C'est vrai que, dans certains domaines, les femmes sont en retard sur les hommes ( moins de PDG de grandes entreprises, moins de criminelles), mais on peut espérer qu'elles vont les rattraper progressivement.

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    1. Parité oblige n'est-ce pas.

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    2. Ah écoutez, il faut être de son temps, enfin si j'en crois les mots d'ordre.

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    3. @ Koltchak91120

      Vous noterez que vos exemples sont tous pris aux Etats-Unis, pays qui se caractérise par la facilité des ventes d'armes, et que c'est justement un argument majeur de leurs défenseurs (" More guns, less crimes") : grâce aux armes, les femmes compenseraient leur infériorité physique dans un combat contre les hommes: le vainqueur n'est plus le plus costaud, mais celui qui sait le mieux se servir de son arme.

      En France, on note tout de même, depuis quelques années, la violence croissante des gangs d'adolescentes.

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    4. Koltchak91120

      "il faut être de son temps"

      En fait, je ne plaisantais qu'à moitié; si on peut supposer (mais il reste à le démontrer) qu'un taux plus faible de testostérone entraîne une agressivité moindre, et qu'il faut de l'agressivité aussi bien pour être un(e) criminel(le) que pour être un(e) PDG de grande entreprise et un(e) " cost killer" ( qui ne peuvent pas être des enfants de chœur), on peut aussi se demander si l'espèce humaine ne se caractérise pas par une importance accrue du rôle du cerveau, dans le comportement, par rapport aux constituants physiologiques.

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    5. "Le tueur de masse n’est donc pas une spécificité américaine?

      Pas du tout. Même si les Etats-Unis sont les plus touchés. Entre 1984 et 2008, deux tiers des tueries de masse ont eu lieu aux Etats-Unis. Sur la période, l’Europe a connu plus de 30 massacres, ce n’est donc pas marginal. On en recense par exemple quatre en Allemagne et ils ont tous concerné des moins de 18 ans."
      (voir le premier lien de mon billet)

      Les tueries de masse sont plus spectaculaires aux USA parce qu'il est plus facile de se procurer une arme efficace.
      Il y a beaucoup de fusils de chasse en France. Presque tous mes voisins en ont un.

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    6. Comment prouver que la testostérone y est pour quelque chose, ça c'est délicat. J'ai bien quelques idées, les féministes radicales aussi, mais elles ne vont pas plaire.

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    7. La somme d'études scientifiques sur les tueurs et tueuses en série est conséquente, malheureusement elle n'est pas ou peu traduite. Globalement, il semble que la testostérone ou autre dérèglement hormonal ne soit pas à l'origine de cette pathologie criminelle.

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    8. y a plus que pas mal de tueries de masse au moyen orient
      la dernière ; lorsque les djiadhistes du derche sont allés massacrer les péguts d'à côté de kobané
      dans leur sommeil pour la plupart
      ne me dites pas qu'il s'agissait d'action militaire , pas un seul pêche melba n'a été occis dans l'affaire

      plus loin dans le temps , on se souvient des tueries de masse effectuées par les djihadistes en algérie au temps des années de plomb ( 2000 )
      là aussi aucune justification militaire
      égorger des chibanis et des femmes sans défense , ma foi, ça s'apparente à des tueries de masse,non?
      j'attend que vous me démontriez le contraire

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  5. Les femmes sont effectivement moins criminelles et délinquantes que les hommes, et ce dans une proportion importante. Pan dans la face des gender studies et des égalitaristes.

    Mais les femmes sont aussi du coup moins apte au commandement, moins douée dans les arts. En moyenne l'intelligence des femmes est supérieure à celle des hommes, mais il y a moins de femmes aux extrémités du spectre, c'est à dire peu de femmes qui soient complètement abruties, mais aussi peu de femmes qui soient des génies.

    Cela dit il y a un point que vous n'évoquez pas et qui est pourtant essentiel. Les femmes commettent peu de violence physiques, leur violence à elle, c'est une violence verbale et psychologique. Il est démontré que les femmes apprennent à maîtriser le langage plus tôt que les hommes et ont une aisance à l'oral souvent plus grande.

    Leur violence s'exercera donc là. C'est la violence de la mère castratrice à l'encontre de son enfant. C'est la violence verbale de l'épouse qui humilie par la parole son époux qui manque de répartie pour répondre. Ce dernier point explique d'ailleurs certaines "violences" conjugales.

    Lorsqu'un homme est humilié verbalement par une femme, et qu'il ne sait pas répondre, parce qu'il n'en a pas les capacités, il cogne.

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    1. Oui, mais côté sexe ça donne quoi?

      Les femmes sont meilleures que les hommes est la proposition de départ.

      Bon.

      Mais au plumard, ça donne quoi?

      Travaillant comme vous, Buck Danny, je vais m'essayer à énoncer un certain nombre de vérité premières, des poncifs, histoire de faire un peu de doxologie:

      - Les femmes sont des coincées du cul, elles avouent majoritairement ne pas avoir de fantasmes et très souvent la migraine, ce qui leur garantit une certaine tranquillité

      - Les femmes sont attirées par le phallus de l'homme et parviennent à l'orgasme indépendamment de la personnalité de l'homme qui est derrière ce phallus, par des truchements personnels et intimes qui sont déconnecté du corps de l'homme

      - Les femmes sont des lesbiennes qui s'ignorent

      - les femmes ont toutes des problèmes d'identité sexuelle avec leur mère

      - Les femmes ont une sexualité de faible intensité, capable d'endurer la privation

      - Les femmes sont naturellement multi-partenaires

      - Les femmes sont exclusivement inaptes à une sexualité riches et polyvalente, car elles sont spécialisées dans la reproduction monovalente de l'identique du mâle qui les féconde, en vue de la reproduction de la race, telle que la conçoit la religion dominante de la zone géographique d'habitat féminin (dans ce modèle la femme est sédentaire, l'homme nomade)

      Allez zou, au boulot.

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    2. Tschok, vous ne croyez pas qu'on va vous répondre, tout de même ?
      Arrêtez un peu de faire vot' p'tit pédant, là...

      (doxologie... j't'en foutrai, moi...)

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    3. Buck Danny, j'ai lu, mais... ce sont des généralisations.
      Pour l'art et les femmes artistes, je ne suis carrément pas d'accord (voir Virginia WOOLF, "une chambre à soi") et pour l'intelligence, je me demande sur quoi vous vous basez...

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    4. Oui ce sont des généralisations effectivement... Et donc ?

      Je sais que c'est un lieu commun moderne de rejeter tout argument en disant "c une généralisation" mais il n'en demeure pas moins que ce n'est pas sérieux comme contre-argument. Je parle en règle générale. Comme vous au passage.

      Votre article c'est quoi sinon une généralisation ? Il y a des femmes criminelles, et des hommes doux et pacifiques comme des agneaux... Pourtant ce que vous expliquez dans votre article, bien qu'étant une généralisation, n'en est pas moins vrai.

      Pour l'intelligence c'est un article documenté que j'avais lu dans une revue. Mais bon vous pouvez très bien estimer que j'invente, je ne suis pas du genre à faire une guerre des sources. En gros des études sur le QI ont montré que le QI moyen des femmes pour une même population est supérieur à celui des hommes, mais que les femmes ont tendance à être très resserrée autour de la moyenne. Alors que pour les hommes l'éventail était beaucoup plus large. Beaucoup plus d'hommes que des femmes avec des QI très faibles, et aussi beaucoup plus d'hommes que de femmes avec des QI très élevés.

      Quant à vous tschok, votre phrase qui nous dit que les femmes sont des coincées du cul et n'ont pas de fantasme vous discrédite d'entrée. Les femmes qui disent être coincées et ne pas avoir de fantasmes, disent ça tout simplement parce que leur compagnon ou amant est nul et ne sait pas s'y prendre, donc elles préfèrent expliquer que le cul ne les intéresse pas plutôt que de s'ennuyer avec un nul au lit.

      Après oui les femmes en matière sexuelle, sont en général plutôt dans la suggestions, elles ne vont pas "assumer" franchement et directement leurs désirs, mais ces derniers n'en sont pas moins réels.

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    5. Buck Danny, là ? http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/c-est-prouve-les-femmes-sont-plus-intelligentes-que-les-hommes_1139618.html

      Les résultats aux tests de QI ne sont pas les mêmes d'un pays à l'autre.
      Et non, je ne généralise pas. Enfin, j'essaie de ne pas généraliser quand il y a un doute. "les hommes sont physiquement plus forts que les femmes", c'est vrai et il n'y a pas de raison que ça change radicalement, "les hommes sont plus doués pour l'art que les femmes", rien n'est moins sûr même si, historiquement, etc...

      Je me pose souvent des questions idiotes, comme par exemple: pourquoi, quand on se balade sur une plage et qu'on regarde les enfants qui jouent, constate-t-on que plus de trois enfants sur quatre qui font des châteaux de sable sont des garçons ?

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    6. Je ne sais plus si c'était dans l'express ou ailleurs. Peu importe de toute façon.

      Je pense que faire des généralisations est important et nécessaire, sinon on ne peut plus penser. Votre remarque sur les châteaux de sable le montre bien.

      Ce n'est pas grave de généraliser, du moment qu'on enferme pas un individu (homme ou femme) dans une généralisation. Oui je pense qu'il y a plus de garçons que de filles qui aiment construire des trucs que ce soit des châteaux de sable ou autre, pour autant il doit bien y avoir quelques filles à qui cela plait aussi, et c'est très bien.

      Ce que je déplore, c'est de constater souvent, lors d'échanges sur Internet, que si je fais un constat d'ordre général, on va me reprocher de vouloir enfermer les gens dedans. Par exemple si je dis "les petites filles n'aiment pas jouer à la guerre, c'est plutôt quelque chose qui plait aux garçons", il y aura bien une imbécile pour me dire "ah donc les filles ne devraient pas jouer à la guerre, bonjour le cliché, on est en 2015 !" alors que je n'ai jamais rien dit de tel. On peut décliner ça à l'infini.

      C'est un peu ce qui est arrivé à une certaine Nadine récemment : "La France est un pays de blancs", réaction des abrutis : "ah donc un Noir ne peut pas être Français !!??" ....

      Parce qu'on généralise, les gens pensent qu'on ne sait pas considérer chaque individu séparément, c'est triste...

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    7. Commentaire frappé au coin du bon sens. Et on en arrive à déprimer, de vivre dans une époque où de telles évidences doivent être rappelées encore et encore. Sans grand résultat, en plus.

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  6. "moins de violences"

    Mouais... J'en connais une qui a contraint un ancien docker rouennais belliqueux à s'exiler au Nebraska. Dès le lendemain, la voilà qui administrait encore une petite fessée à un avocaillon aux souliers luisants et à l'éloquence gominée.
    Avec des pacifistes pareilles, faut pas s'étonner que les bonshommes veuillent s'armer jusqu'aux dents (poil aux dents).

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    1. Anton, ha ha ha ! Ce grand écrivain injustement méconnu rendrait méchant un bigorneau dépressif.

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  7. Moi je croyais que c'était de la blague, ce billet, mais on dirait que non. C'est inquiétant.

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  8. De la blague ? Pas du tout.

    Ce matin, je vaquais à quelques occupations domestiques en écoutant la radio. Finkielkraut était l'invité de Patrick Cohen.
    J'étais sur le point de sortir la poubelle quand j'ai vu derrière la porte deux extraterrestres. Ils avaient la taille d'un enfant de quatre ans, ils étaient fluets, gracieux, et verts. Ils ressemblaient aux Martiens des couvertures de fanzines de jadis, avec des antennes fluorescentes et de beaux yeux, comme les billes d'agate que je gagnais à la récré, à l'école Gambetta. J'ai remis la poubelle sous l'évier et je leur ai ouvert la porte.
    L'ordinateur était éteint. Ils ont trépigné devant, alors je l'ai allumé. Et là, rien qu'en balançant leurs antennes, ils se sont mis à écrire sur l'écran. Plus exactement, les mots apparaissaient, mais c'était un mélange de tant de langues terrestres que j'avais du mal à comprendre quoi que ce soit.
    Nous avons donc bu un café ensemble, et, à neuf heures, un journaliste a parlé de la tuerie dans l'Oregon. Les extraterrestres écoutaient attentivement. Ils ont allumé la télévision et ont zappé sur des tas de chaînes d'information.
    Ils n'ont pas eu besoin de m'expliquer qu'ils étaient venus sauver la Terre, je le savais, j'ai beaucoup lu.
    En quelques minutes, ils avaient compris le truc: les hommes commandaient d'autres hommes, on se battait, on se tuait, il y avait peu d'endroits paisibles sur la planète. Les femmes avaient peu ou pas de pouvoir dans la majeure partie du monde.
    Les extraterrestres ont décidé qu'il fallait changer tout ça. Les hommes avaient eu le temps de montrer ce qu'ils savaient faire, à chacun son tour et c'était le tour des femmes. On inversait les rôles.
    Nous reviendrons dans quelques siècles pour voir comment vous vous en tirez, m'ont-ils dit. Puis ils sont partis, après avoir vidé la poubelle et caressé le chat.

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  9. Il y a plein de commentaires ici. J'arrive en retard.

    Je voudrais signaler à la taulière qu'aucun mec ne s'habille en minijupe pour se faire violer et porter plainte ensuite. Non mais sans blague.

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  10. (je ne sais même pas quoi répondre... )

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    1. Ne répondez surtout pas que vous ne savez pas quoi répondre.

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    2. Ben si, je n'ai pas honte. QUAND C EST TROP BETE ON NE SAIT PAS QUOI REPONDRE.

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  11. Le saviez-vous ?

    Avec un régime adapté une tueuse de masse peut perdre jusqu'à 20 kg.

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    1. Je me doutais bien que quelqu'un allait venir me parler de régime d'exclusion ..

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    2. Je pense que chez les tueurs de masses c'est le ressentiment ou une frustration impossible à assumer qui conditionne le passage à l'acte (voir Le perdant radical, Hans Magnus Enzensberger) : donc c'est la faute des gonzesses, à l'évidence, un peu comme avec l'alcoolisme.

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    3. Et pourquoi ce ressentiment, cette frustration, épargnerait-ils les femmes ?

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    4. Parce que le déséquilibre entre l'offre et la demande n'est pas équivalent chez les ♂ et chez les ♀ ?

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    5. Je crois que les femmes ne réagissent pas de la même manière à la frustration.

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    6. Parce qu'elles peuvent la sublimer d'une façon qui n'est pas accessible aux hommes, en mettant des enfants au monde ? Et/ou les frustrations subies ne sont pas les mêmes si les attentes déçues diffèrent (rôles sociaux genrés, ce genre de trucs) (je lance ça comme ça, je n'en ai absolument aucune idée)

      Ça m'a fait penser à l'expression going postal (CLIC) et le lien vers une liste de tueries de ce type recense une auteurE sur une vingtaine d'occurrences (CLAC).

      En tous cas, il y a un truc mnémotechnique pour ne pas se tromper : raptus rime avec phallus.

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  12. Excellent billet. Vraiment . J'ajouterai un seul autre poncif, la femme est l'avenir de l'homme.
    Cela dit, le débat sur ce blog est intéressant mais celui proposé par Taddei est passionnant et bien traité, mais pas plus important que l'excès de testostérone mal placé bien connu chez les jeunes garçons

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  13. Et les gardiennes de camps nazis ou soviétiques, on les classe où ?

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    1. C'étaient des subordonnées. Elles n'étaient pas pires que les hommes dans la même position.

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    2. Certes, mais rien ne les a obligées à rester, elles pouvaient demander leur changement de poste, hors elles sont restées et ont souvent fait preuve d'initiative et d'ingéniosité dans le mal.

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    3. Oui, mais et alors ? vous leur reprochez de ne pas porter les vertus chrétiennes exaltées dans le culte marial ? Il y a aussi des femmes sadiques avec leurs enfants qui les torturent et les tuent, des femmes proxénètes qui n'ont rien à envier à leurs confrères, etc...

      L'interrogation première de mon billet, c'était: quand une personne prend un fusil et tire sur des inconnus, sans raison apparente, c'est toujours un homme, pourquoi ?

      (toujours, ou tellement presque toujours ... )

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    4. Une interrogation?

      Pas exactement. C'était plutôt une affirmation d'ordre général et sur le plan du jugement de valeur: "les femmes sont supérieures aux hommes".

      Ladite affirmation fondée sur l'énoncé d'une semi vérité statistique: il n'y a pas de femme tueur de masse (il y a en, très peu mais il y en a).

      L'affirmation se voulait sans doute provocante, mais elle passe quand même par un biais: comparer deux populations sur le pire de ce qu'elles peuvent faire, alors que les comportements criminels violents sont en pratique ultra minoritaires.

      Le critère qui vous sert à évaluer est minuscule: vous émettez un jugement sur une tête d'épingle. Le crime de masse, c'est un pouillème.

      Fin XIXième et début XXième siècle, il y a eu des affaires d'empoisonneuses. Le poison étant une arme perfide, on en a déduit que la femme était perfide et la littérature policière naissante a associé le poison à la femme.

      Pourtant, statistiquement parlant, c'était un tout petit truc, complètement insuffisant pour tirer un telle conclusion.

      En définitive, dans votre affirmation, le plus important, c'est l'affirmation, pas ce qui la fonde. A la limite, la question du pourquoi les tueuses de masse sont minoritaires, on s'en fout. Ou alors, on intègre la question du pourquoi on veut affirmer que la femme est meilleure que l'homme.

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    5. Tschok, ah bon ?

      - On prétend que les gauchers sont davantage sujets aux maladies auto immunes, est ce que c'est vrai ?
      - Est-ce qu'on retrouve quelque chose comme la dyslexie chez les enfants qui apprennent le langage des signes ?
      - Pourquoi un tel bashing envers Onfray, juste maintenant ?
      - Est-ce qu'il y a des autistes asperger partout dans le monde ?
      - Mais quel était le titre de cet étrange roman de dans lequel deux hommes sont persuadés que les aèdes se donnent toujours rendez vous dans un lieu secret pour chanter leurs épopées, comme au temps d'Homère, et partent sur leur trace ? Il y avait des histoires de verbes déponents et de futur antérieur...

      Ce sont mes dernières questions d'aujourd'hui. Vous pouvez tenter d'y répondre en assénant à chaque fois que ce ne sont pas de vraies questions mais de diaboliques affirmations, que j'ai bien des idées derrière la tête et comme ça, ce sera bien fait pour moi, qui ne pourrai même plus faire la maline alors que le SuperTschok aura vu clair dans mon jeu.

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    6. "Fin XIXième et début XXième siècle, il y a eu des affaires d'empoisonneuses. Le poison étant une arme perfide, on en a déduit que la femme était perfide et la littérature policière naissante a associé le poison à la femme."

      ça, c'est vraiment n'importe quoi.
      Les empoisonneuses étaient connues depuis l'antiquité, et n'empoisonnaient pas n'importe qui sans raison. Rien à voir.

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    7. Je ne vous dis rien de tout cela.

      Je vous dis juste que tirer des généralités à partir de cas particuliers est un exercice qui est périlleux, puisque vous allez émettre un jugement de valeur (en l'espèce une supériorité genrée) que vous allez poser un principe général, abstrait et absolu ( une loi: les femmes sont supérieures aux hommes) en vous fondant sur des qualités marginales (aptitude à la violence armée, soudaine, sauvage, et homicide à l'encontre d'inconnus, ce qui n'est pas une norme), donc statistiquement rares, et qui vous semblent à vous même absurdes(dénuées de sens).

      Vous le dites vous-même: cette violence vous semble dépourvue de sens, et pourtant, nonobstant, vous l'interprétez assez librement pour produire un résultat idéologique orienté sous forme d'une proposition légale: les femmes sont supérieures aux hommes.

      (ici "loi" veut dire non pas autorité qui soumet, mais reproductibilité du phénomène avec un taux de certitude voisin de 100%: ce n'est pas la définition sociale de la loi, mais scientifique).

      De deux choses l'une: soit vous êtes capable d'interpréter cette violence (le crime de masse) auquel cas elle peut revêtir un sens. Soit vous n'en êtes pas capable, auquel cas elle reste mystérieuse. Partant, il est hasardeux d'en tirer des conséquences, ce que pourtant vous faites avec la certitude de celle qui veut avoir raison.

      Dans ce fil de dial vous avez reconnue être incapable de donner un sens à cette violence (le crime de masse). Donc, je vous pose la question: comment pouvez vous en tirer des conclusions générales, absolues et abstraites du type "les femmes sont supérieures aux hommes"?

      C'est juste une question de méthode.

      Vous n'êtes pas la première ni la dernière à commettre l'erreur de raisonnement: une partie du genre littéraire policier (et une partie de ce genre journalistique particulier qu'est la chronique judiciaire) reproduit cette erreur en routine.

      On associe une qualité énorme à une quantité infime.

      Par exemple: les violeurs sont tous des pervers. ou les gauchistes sont des terroristes.

      Et ensuite discours sécuritaire: on associe une quantité énorme à une qualité infime.

      Ex: les réfugiés sont tous des terroristes.

      Il faut remettre les choses dans l'ordre en faisant preuve de méthode. C'est ça la clé.

      Avec des raisonnements comme le vôtre on met Coupat en taule, alors que le dossier est vide de preuve (il est rempli de soupçons, ça oui). Cela dit on l'a fait, ce qui signifie donc que votre façon de raisonner est le régime normal de réflexion.

      Je pense qu'on peut faire mieux et je me permets de vous le dire, en toute amitié, puisque vous êtes de gauche, ce qui, aux yeux de Buck Danny, est quand même un gros défaut.

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  14. N'est-ce pas une question d'éducation ? Le père Noël apporte des poupées aux filles et des mitrailleuses-jouets aux garçons; il n'y a que depuis très peu de temps qu'on trouve des femmes dans les métiers où on doit parfois se servir d'armes pour descendre des gens ( militaires, flics, etc.), les hommes qui pratiquent la chasse sont bien plus nombreux que les femmes (et cela remonte à la préhistoire), etc.

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    1. Elie, oui. J'ai une amie enceinte. Elle croyait attendre un garçon, et à sa dernière échographie on lui prédit une fille. Au départ, ça lui était indifférent d'avoir un garçon ou une fille, mais elle a imaginé un sexe plutôt qu'un autre, et je suis surprise de voir l'étendue de son désarroi. Et c'était une femme qui aurait offert des poupées à son garçon, ou des camions à sa fille....

      Il y a eu des femmes guerrières (au Dahomey, au Sénégal, sans parler des mythiques amazones). Mais ça n'a rien à voir avec le phénomène des tueurs de masse.

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    2. Ici un excellent reportage d'une chaine publique norvégienne qui parle de ce sujet, à savoir les différences garçons filles sont elles le fruit de l'éducation ou sont elles innées : https://www.youtube.com/watch?v=ORJsEMesvVA

      Le commentaire d'Elie ne me surprend pas. L'homme de gauche a un problème absolu avec l'inné, pour lui tout est forcément le fruit d'une cause extérieure que l'on peut contrôler. Toute sa théorie de l'égalité est fondée là dessus. S'il y a des différences et des inégalités, elles ne peuvent être que construites, socialement ou culturellement.

      L'homme de droite lui, estime que l'égalité des droits ne présuppose pas une égalité réelle.

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    3. J'ai regardé le reportage.

      "S'il y a des différences et des inégalités, elles ne peuvent être que construites, socialement ou culturellement."
      Elles le sont effectivement quand on peut en démontrer la fausseté.
      Exemple, toute l'encre qui a coulé pour expliquer pourquoi les femmes ne seraient jamais des médecins ou des chirurgiens fiables, ou pourquoi elles ne devaient pas apprendre à conduire, ou pourquoi il ne fallait pas les laisser voter (et j'en passe).

      Maintenant, les études qui ne prouvent que ce qu'elles voulaient prouver, hein...

      Il y a des théories féministes qui prétendent que si les filles sont moins grandes et fortes que les hommes, c'est parce que leur mère les nourrit moins, donne les aliments les plus énergétiques aux garçons. Il y a des parents qui élèvent leurs enfants en leur laissant ignorer leur sexe tant que c'est possible. J'ai commenté un certain temps dans des blogs qui reprenaient ces théories, mais je me suis fait virer pour cause d'ironie persistante. Les positionnements idéologiques au départ ne sont pas intéressants pour celui qui a envie d'une réponse scientifique, d'explications plausibles.

      Dans le cas des tueries de masse, cet acte qui consiste à tuer plusieurs inconnus sans raison apparente, on voit qu'il n'y a pas (ou si peu) de meurtriers femmes.
      Il y a eu des cas de tueurs au couteau, ou à la hache autrefois. On aurait plus facilement désarmer une femme, et donc expliquer l'échec des tentatives par l'infériorité musculaire des femmes, mais maintenant, avec les armes modernes, il y a égalité des sexes.
      Bon, je ne revendique pas l'égalité dans ce domaine précis. Je pense cependant qu'avec sa poële à crêpes à fond épais dans une main et son couteau à couper le thon dans l'autre, toute bretonne qui se respecte pourrait commettre une honorable petite tuerie de masse afin d'agrémenter un week-end pluvieux.

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    4. Lire à la fin (j'écris n'importe quoi, sans me relire, pardon)

      "On aurait pu facilement désarmer une femme, et donc expliquer l'échec des tentatives par leur infériorité musculaire , mais maintenant, avec les armes modernes, il y a égalité des sexes."

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    5. Le problème de certaines études c'est que parfois elles commencent par ce qui devrait être leur conclusion. Ainsi dans le cas des gender studies, des gens vont passer du temps à faire des recherches dont l'objectif, fixé dès le départ, est de démontrer qu'il n'y a aucune différence entre homme et femme, et que toutes les différences observées sont le fruit d'un pur construit social et culturel...

      Quand on travaille comme cela, on est déjà hors de la Science. C'est comme les écrits que vous évoquez cherchant à démontrer qu'une femme pouvait pas être médecin ou chirurgien, c'est du même niveau.

      Pour ce qui est des tueurs de masse, je pense effectivement que c'est un domaine quasi exclusivement masculin. Le fait qu'il y'en ait une plus grande fréquence aux USA ne s'explique pas seulement par le libre accès aux armes. Cette société est génératrice d'une violence et d'une frustration pour les jeunes hommes, que l'on imagine mal, et qui n'a jamais été sérieusement étudiée.

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  15. Ouf, j'ai bien fait de répondre vite... parce qu'après ça dérive un peu les commentaires!
    Même Nicolas... un bière de trop?

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    1. Alix: allez donc vous faire voir ailleurs (sur les blogs avec alcootest à l'entrée, tiens)

      Voilà quelqu'un que je ne connais pas qui vient jouer les dames de vertu de la ligue anti alcoolique ?

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    2. Une bière ne peut JAMAIS être "de trop", andouille !

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Modération parfois, hélas, mais toujours provisoire, ouf.