lundi 27 juillet 2009

Et la politesse, bordel ?


Je suis allée au supermarché, mon petit panier sous le bras. Dans la galerie commerciale, après avoir acheté un journal et l'avoir lu en buvant un café, je me suis avisée que je n'avais pas de pièce d'un euro, pas de jeton non plus, et que j'avais oublié, comme d'habitude, les sacs, les fameux sacs recyclables gratuits échangeables à vie, dans le coffre de ma voiture.
Demi-tour, sortie, parking.
Ce n'était pas mon jour de chance : au sortir du magasin, j'aperçus mon automobile en travers de l'allée, le museau contre, mais alors tout contre, le coffre d'une de ses consœurs qu'elle bloquait contre le terre plein planté d'un réverbère. Le parking est en pente et je n'avais pas serré le frein à main. Je suis distraite.
Ce n'est pas tout.
Un couple m'attendait de pied ferme de part et d'autre d'un chariot débordant de victuailles. Elle, trente ans, style femme très enceinte, lui, trente ans, style sans style. J'ai sorti mon trousseau de clefs de mon sac en préparant des excuses, mais je n'ai pas eu le temps d'en placer une, ils me sont tombés dessus en trépignant. Oui, je reconnais, c'est de ma faute. Oui, à première vue, le pare-choc a l'air amoché, mais bon, il fait beau, et nous avons des assurances, n'est-ce pas ? Ah bon, les surgelés décongèlent, eh bien, je vais vous les racheter, vos surgelés, je vous dois bien ça, pour le temps perdu... Comment ça, gourde, maladroite, connasse... Connasse ? Hein ? mais pourquoi vous vous énervez comme ça ? Connasse ?
Ma voiture, au moins, n'a pas trop souffert. Par contre, j'avais beau cliquer sur la clé, les portières ne s'ouvraient pas. Faux contact ? Sous le choc sans doute, mon petit coussin jaune est tombé, ainsi que le livre que j'avais laissé sur le tableau de bord.
A moins que...
Non, il n'y avait pas non plus de siège bébé à l'arrière de ma voiture à moi. Ma voiture à moi elle était dans l'allée 7, et là on était dans la 9. Nuance.
Ok, je leur ai dit. Je n'ai pas envie de discuter avec des gens impolis, je vais boire un café, je reviens dans une heure. Et je suis partie d'un pas rapide vers le magasin, mais j'ai contourné un gros camping car pour rejoindre l'allée n° 7, avant que n'arrivent les gladiateurs de la Sécurité.

vendredi 24 juillet 2009

Les voiles sur les bateaux, pas sur les femmes.



- Allo?
- Bonjour, vous êtes bien au Gîte rural "Les Embruns", camping à la ferme.
- Je voudrais réserver deux chambres pour la semaine du 8 août, c'est possible ?
- Oui madame, nous avons deux chambres disponibles avec vue sur la mer.
- Je vois sur votre site que vous proposez des repas du soir à base de produits de votre potager et de votre basse-cour, ce sera possible d'avoir des menus sans charcuterie, sans porc ?
- Mais oui madame, naturellement, aucun problème, nous avons également du poulet, des oeufs...
- Et la plage, comment elle est la plage ? Correcte ?
- Ah, oui, il n'y a jamais eu aucune pollution, toujours classée en eau saine...
- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Il n'y a pas de gens indécents, on peut y aller le soir se baigner sans se déshabiller, par exemple ?
- Euh, il y a surtout des familles avec des enfants, pas de camp de nudistes, non...
- Et les repas, dans la salle commune ? On pourra avoir deux tables un peu sur le côté pour être à l'abri des regards ? Ce n'est pas que nous les craignons, de toutes façons nous portons le niqab, mais nous préférons être ensemble, et...
- Vous garderez votre voile pendant les repas, et le soir dans la salle de télévision ?
- Mais évidemment, bien évidemment, nous ne l'enlevons que dans l'intimité, et je vous rappelle que la loi vous interdit de nous discriminer. Deux chambres libres, bon, je les retiens. Ah, j'oubliais. Il n'y a pas trop de moustiques ?
- Des moustiques ? Ah, ça non alors. Tout l'intérieur du gîte a été passé au Mousquitox, vous savez, ce puissant revêtement insecticide émulsionné dans de la gélatine porcine... Ah, et puis pour les chambres... Vous préférez la chambre Fesses ou Nichons ? On les appelle comme ça, mais ne craignez rien, c'est pour rire, hein, c'est à cause de mes grandes filles, étudiantes aux Beaux -Arts. Elles ont reproduit des tableaux du Louvre en les peignant directement sur les murs, d'ailleurs, je vous envoie les photos par mail, tout de suite. Pour les arhhes... Allo ? Allo ? Allo ?


***

"F. Truchelut, propriétaire d'un gîte, a été contactée par téléphone par deux femmes à la recherche d’une location pour le week- end du 15 août 2006. Elles avaient visité son site sur internet.
Bien que le gîte ait été en travaux, devant leur insistance, Fanny Truchelut a accepté leur réservation et a reçu un chèque d’arrhes.
Lorsqu’elles sont arrivées voilées de pied en cap, Fanny Truchelut , sans refuser la location réservée, leur a demandé d’avoir la courtoisie de ne pas arborer cette tenue dans le salon de télévision de son gîte, pour en respecter la neutralité et la convivialité. Mécontentes, les deux femmes sont reparties avec leur chèque d’arrhes. Fanny recevra ensuite un appel téléphonique menaçant du beau-frère : « ça ne se passera pas comme ça ! » (la suite ici, sur Agoravox)


Voilà qu’une gérante de gîte rural vosgien est condamnée sévèrement (4 mois de prison avec suris et plus de 8000€ d’amendes et dommages-intérêts cumulés) pour avoir refusé une chambre à deux clientes portant le voile islamique et à qui elle avait demandé de l’ôter dans la salle à manger de son gîte. (la suite ici, sur Riposte Laïque)










jeudi 23 juillet 2009

Toi blogueur, toi pas journaliste

.



[...] il se croit connu. Et important. Et journaliste. Il ne fait pas trop la différence entre journaliste et blogueur : il n'est pas le seul, Dieu sait, mais, lui, il devrait.
C'est chez Didier Goux


[...]-un journaliste est professionnel, payé pour écrire, un blogueur écrit en général pour son plaisir et parfois paie pour bloguer
-un journaliste suit des consignes éditoriales, un blogueur écrit en général ce qu'il veut et quand il veut
-un journaliste est lu et corrigé avant d'être publié, un blogueur est souvent corrigé après la publication de l'article, par ses lecteurs dans les commentaires
-un journaliste écrit en général pour une marque et pas toujours sous son nom, un blogueur écrit soit sous son nom, soit de manière anonyme
-un journaliste dit rarement "je", un blogueur parle souvent à la première personne
-un journaliste dispose d'un espace limité pour s'exprimer, un blogueur peut écrire autant qu'il le souhaite
-un journaliste écrit ce qu'il sait ou le résultat de son travail, un blogueur a plus tendance à partager des expériences et démarrer des conversations
-un journaliste est soucieux de la qualité de son écriture, un blogueur écrit comme il parle, est très spontané
-un journaliste bénéficie de la "protection" de son éditeur en cas de litige

Pour conclure, en général les blogueurs ne se prennent pas pour des journalistes, ils ont tout à fait conscience de ces différences."

C'est chez Loïc Le Meur



"La carte de blogueur officiel conçue comme une carte de presse a été lancée bien avant les Leftblogueurs par les initiatives de LLM lors de la présidentielle. On l'a vue lors des métingues pour l'élection de notre grandiose président. Ils se sont juste engouffrés dans le vide qui a été créé par son départ pour une ville à fort potentiel Seesmic. Ils ont repris le truc et se définissent maintenant comme reporters de Marianne ou de Courrier international, tout en ne menant aucune enquête de terrain, aucun entretien préparé, aucun dossier lu, mais avec un beau logo sur leur page d'accueil et leur classement Wikio ou le lien vers Vendredi. Auparavant, les pseudos reporters d'AgoraVox bâtonnaient des dépêches AFP et Reuters comme des journalistes de la PQR ou de la presse gratuite, tout en déclarant que le journalisme non citoyen était mort et qu'ils exprimaient la voix de la rue forcément citoyenne..."
C'est chez Le Petit Champignacien Illustré

J'ai eu du mal a trouver un titre à ce billet :
Option blogage au bac pro
Le blogueur, le journaliste et le petit tapin
Dis, maman, c'est quoi un journaliste ?
Parle à mon blog, ma presse est malade
.

mardi 21 juillet 2009

J'ai un plan pour sauver le PS


C'est le bazar dans les blogs de gauche. Les pauvres militants ne savent plus à quel saint se vouer. Y z'ont plus d'chef ! Y z'ont plus d'espoir de chef ! Les grosses têtes du PS sont pathétiques*, même les jeunes sont vieux, bref tout le monde demande à corps et à cri un homme providentiel. (Parce qu'une femme présidentielle, ils ont déjà donné). Ah ben oui, mais ça ne se trouve pas comme ça, un socialiste providentiel.
Mais si, mais si... Il faut du neuf, du vierge de tout complot, de toute magouille, de tout conflit, un charismatique pêché frais dans la base, un gentil qu'a du bagoût, qui ne fasse pas peur, un amateur qu'a de la profession, quoi.

Moi je sais qui. Jeanne d'Arc avait entendu des voix divines lui dicter sa mission, je pense qu'on pourrait s'allier pour que des voix bloguines débouchent sur la naissance d'un grand, d'un très grand parti : le PMS . Partageons Mon Socialisme. Le [s'crétaire] messie est déjà né, il est là.

*pathétiques tac toc pour J.D.

vendredi 17 juillet 2009

Quand on en aura fini avec Orelsan (billet superfétatoire et inintéressant)



Quand on en aura fini avec Orelsan, et qu'on aura pour lui retapé le bagne de Cayenne, on pourra se pencher sur les textes suivants :



Quand je danse avec le grand frisé
Il a une façon de m'enlacer
J'en perds la tête
Je suis comme une bête
Y'a pas, je suis sa chose à lui
Je l'ai dans le sang, quoi, c'est mon chéri
Oh! si je l'aime, je l'aime, mon grand frisé

Il me cogne, il me démolit, il me crève
Mais que voulez-vous, moi j'aime ça
Après je m'endors dans un rêve
En me pelotonnant bien dans ses bras
Je me revois lorsque j'étais toute gosse
Et que me câlinait ma maman
Que j'ai tuée de chagrin en faisant la noce
Aussi tout ce qui me reste maintenant
Quoi... c'est mon homme

Damia : Le grand frisé

***


Tu as volé mon enfant
Versé le sang de mon sang
Aucun Dieu ne m'apaisera
J'aurai ta peau tu périras
Tu m'as retiré du coeur
Et la pitié et la peur
Tu n'as plus besoin d'avocat
J'aurai ta peau tu périras

Tu as tué l'enfant d'un amour
Je veux ta mort
Je suis pour

Les bons jurés qui s'accommodent
Des règles prévues par le code
Ne pourront jamais t'écouter
Pas même un Christ à tes côtés
Les philosophes les imbéciles
Parceque ton père était débile
Te pardonneront mais pas moi
J'aurai ta tête en haut d'un mât

Tu as tué l'enfant d'un amour
Je veux ta mort
Je suis pour

Tu as volé mon enfant
Versé le sang de mon sang
Aucun Dieu ne m'apaisera
J'aurai ta peau tu périras
C'est trop facile et trop beau
Il est sous terre tu es au chaud
Tu peux prier qui tu voudras
J'aurai ta peau tu périras

Tu as tué l'enfant d'un amour
J'aurai ta mort
Je suis pour

Michel Sardou : Je suis pour

***


Est-ce que tu rappelles quand on prenait le temps
De s'aimer vraiment
Est ce que tu te souviens de tes sourires innocents
On était des enfants
Ce soir je suis là pour toi, j’ai coupé mon téléphone
Je ne veux voir personne
Je veux qu’on soit comme avant
Qu’on ait les mains qui tremblent
Je veux plus attendre

Ho ! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Comme si je sortais de prison
Après 20 ans de réclusion

Ho ! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

J’ai vu des culs toute la journée
Tant pis c’est toi qui va payer

Ho tu vas prendre !

Je suis fragile comme une fleur
Fragile comme la soie
J’ai besoin de toi.
Je ne tarderai pas mon cœur
Glisse toi dans les draps
Mais surtout ne t’endors pas
Parce que ce soir tu vas prendre

Ho tu vas prendre !

Je vais t’en mettre pour 10 ans
Tu raconteras a tes enfants

Ho tu vas prendre !

Oui tu vas prendre

J’espère que tu es véhiculé
Parce que tu pourras plus marcher

Ho tu vas prendre !

L’amour c’est un peu ça
C’est comme au cinéma
D’ailleurs j’ai pris la caméra

Et ce soir tu va prendre !
Ho tu vas prendre !

Je sais t'as bouffé chez ta mère
Mais je t’ai ramené le dessert
Ho tu vas prendre !
Oui tu vas prendre !
Si jamais tu as encore faim
J’ai ramené 2/3 copains

Ho tu vas prendre !
Mais tu vas prendre …

Lalala
Lalala

Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Lalala
Lalala

Max Boublil : Ce soir


***


“Hey x3
hey hey
your
girlfriend
Lick it up like
Like icecream

J’aime les chattes
Quand je rentre dans la boite
J’ai la trique
Toutes les chattes des putes sont moites
C’est pratique
Elles vont frotter toute la nuit
Pute, chuis ton mac alors suce ma bite gratuit
Torse nu
Je donne des claques à ton cul et tu cries
Tu oublies tout quand t’as bu
Quand tu jouis
Soudain toute la boite te mate (mate)
Pute c’est normal j’ai mis mon doigt dans ta chatte
J’aime ton air sévère est-ce que je peux t’offrir un verre
J’t'emmène en Mercedes
Jusqu’à mon belvédère
C’est garanti ma ptite on va baiser comme des lapins
Donc engloutis ma bite comme après une grève de la faim
Elles ont des rêves de catins
Genre bijoux et draps de soie
Le lendemain matin je n’leur dis pas bonjour
Mais casse-toi
Pas de joie pour les salopes
Ca c’est ma loi
Marche droit
Parle pas
Avale
Aboie
Met un doigt dans ton cul
Sale pute viens d’arriver le mac
On m’appelle Cuzinier
Laisse-moi donc te dire aç
Aç Aç Aç Aç Aç
Bouge ton gros cul pute
Fais-le rebondir
Et prends ça dans ta gorge
Ca j’n'ai pas besoin de le dire
Suce-moi bien pétasse
Prend des initiatives
Moi j’n'hésite pas
Car direct j’te sodomise !
Je suis beau
Lèche-moi
Toute la nuit
Afin que ta chatte ne sèche pas

hey hey
your
girlfriend
Lick it up

Tid’ un marteau-piqueur
Survoltage, pute en cage
Je m’appelle magicien
Pimage vidange
Twist et string
Swing et stress
Cuisses et seins
Puis j’la lime
Sa p’tite chatte devient mauve
Et elle m’aime, elle gémit

Vas-y suce ma grande..
Ton dessert et sert toi
Ma ptite bitch
J’aime les putes les bimbos
La cochonne veut sa cartouche
M’engrener dans une partouze
Avec son pote la tarlouze
Une caillera déterminée
Copuler avec madame Y
Sur la photocopieuse
J’suis défoncé et tout transpirant
Aspergé, j’ai rempli l’réservoir
Je lui colle dans les yeux
Elle est motivée sous pression un récipient
Adultère
Et son mari me paye pour que je la surveille
Détective
Omnubilé
J’suis tombé amoureux
Je lui dévoile l’histoire
En mordant ses fesses

Like icecream
Girlfriend
Lick it up
Girlfriend
Suck it up
Girlfriend

Girlfriend
Suck it up
Like icecream

TTC : Girlfriend.

mercredi 15 juillet 2009

Scoop de l'été: une photo de Dorham enfant






Pour faire plaisir à Catherine, qui n'aime pas le minois d'Admiral T.
Ne me demandez pas comment j'ai fait, qui j'ai du soudoyer, combien de pattes (al dente) j'ai du graisser, quels réseaux j'ai du pénétrer, combien d'ordinateurs j'ai du pirater, de chevaux de Troie infiltrer, mais ça valait le coup, non ?

lundi 13 juillet 2009

Orelsan est un petit joueur

Orelsan est un petit malin qui a surfé sur la colère des féministes, chiennes de garde, Femmes Engagées et autres consoeurs.
Chez l'Abominable Homme de la Comète, M écrit ceci : "lançons la chanson "sale pédé", Jack Lang la défendra vous croyez au nom de la liberté d'expression ?"

Pas besoin de se creuser le ciboulot, M. C'est déjà fait, et ça n'a pas déchaîné l'ire de la censure, bien au contraire.






«À mort les pédés» ou «Brûlez-les»

Ils vont cuire comme de l'eau dans un chauffe-eau
Les pédés ce sont des cigarettes, brûlez-les juste comme des mégots
Empêchez devant moi les hommes et les hommes de s'embrasser
Tout de suite je les chasse comme des Rambo
Tu peux être sûr qu'ils sortiront blessés
Ce que je dis c'est ce que je pense moi même je ne suis pas un faux
Les pédés vont cuire plus que des défauts
Je ne choisis aucun thème juste pour trouver des vag flo
Si tuer les pédés c'était du sex je serais un nympho...
On est venu pour brûler les pédés qui restent près de l'hôtel de ville
Les pédés sont morts maintenant, les pédés sont morts, les pédés sont morts.

Admiral T, qui a reçu le Césaire de la Musique, en 2006. Le Césaire (d'Aimé Césaire, grand poète martiniquais) est un prix destiné à promouvoir la musique noire francophone.

Marseille, à deux pas du Vieux Port


















.
.
















.

















.























.

jeudi 2 juillet 2009

La concierge est dans l'escalier


La concierge est dans l'escalier

à moins que...




Je ferme les commentaires pendant une petite semaine. Amusez-vous bien, ne soyez pas trop sages, et à bientôt...

mercredi 1 juillet 2009

Revue de blogs, comme si vous y étiez.


Chez Nicolas, c'est triste ce matin. On parle de la mort d'un petit homme qui n'a pas eu beaucoup de chance dans la vie et qui a fini la sienne tout seul.

On sort de chez Mademoiselle S avec l'odeur du barbecue dans les cheveux ; c'est normal, c'est l'été. Mademoiselle S jette un regard furieusement féministe sur la burqa et nous parle avec son talent habituel des vrais problèmes, ne nous trompons pas de problèmes. Joli filet de plume, cette vilaine Mlle S. (et je n'avouerai jamais que j'aime beaucoup certains de ses commentateurs, surtout quand ils vont au grand galop)

Crêpe Georgette s'est fendue d'un très long billet dont le sujet est "pourquoi il ne faut pas punir une femme qui porte la burqa". C'est argumenté, intéressant, sérieux, et bien écrit.

Le Procureur du Peuple combat avec de plus en plus d'ardeur le réactionnariat qu'il détecte partout partout partout. Il n'a fait que quatre fautes dans son dernier billet , ce qui est très peu si on compare à d'autres mais assez ballot pour un "fétichiste de l'orthographe"

De très jolies photographies chez Catherine, qui a très bien saisi le lever du jour et ses brumes laiteuses, et merci aussi à Audine pour son "Graciles" qui m'a donné envie de rechercher tous les mots qui expriment une nuance de vert.

Sinon, j'ai découvert Un prof vide son cartable, de Charly un blog de prof vif et amusant.